Abstraction is what remains when everything else collapses.
When forms no longer have meaning, when words are no longer enough, all that remains is a beat, a vibration, a breathing silence. Music is born in the blur, in the loss, in this fatigue of existing that suddenly becomes beautiful.
Love, this same illusion, we throw ourselves into it to forget we're alone, we burn ourselves in it to feel something, anything. And sometimes, in this burning, we touch a truth: that there is nothing to understand, only to traverse.

L’abstraction est ce qu’il reste quand tout le reste s’effondre.
Quand les formes n’ont plus de sens, quand les mots ne suffisent plus, il ne reste qu’un battement, une vibration, un silence qui respire. La musique naît dans le flou, dans la perte, dans cette fatigue d’exister qui devient soudain belle.
L’amour, cette même illusion, on s’y jette pour oublier qu’on est seul, on s’y brûle pour sentir quelque chose, n’importe quoi. Et parfois, dans cette brûlure, on touche à une vérité : celle qu’il n’y a rien à comprendre, seulement à traverser.

abstrakt // Click Beep (Day 0.1)

abstrakt // Synthetic Skin (Dance mix)

Journey41 / Harlock

abstrakt // Too Slow

Quand les formes n’ont plus de sens, quand les mots ne suffisent plus, il ne reste qu’un battement, une vibration, un silence qui respire. La musique naît dans le flou, dans la perte, dans cette fatigue d’exister qui devient soudain belle.


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abstrak / Too Slow

abstrakt / Day 0

abstrakt / Shadows in the Static

02_abstrak_Empty Love

Sacool

Beneath the flickering neon of a pixelated Tokyo, everything seems calm, but something moves in that alley. The light crackles, the rain pulses, darkness spreads... and the air begins to vibrate...

Pikuseru no Tokyo, yureru neon no shita de wa shizukesa ga tadayou. Daga, roji no oku de nanika ga ugoita. Hikari ga hajike, ame ga myakuuchi, yami ga hirogatte iku... soshite kuuki ga furue hajimeru.

Sous les néons tremblants d’un Tokyo en pixels tout paraît calme, mais quelque chose bouge dans cette ruelle. La lumière crépite, la pluie pulse, l'obscurité se répend... et l'air se met à vibrer...

Ring no Haiboku (easymix)

Ô Vulgarité, sœur ivre de Vérité,
tu rends les rois grotesques, tu rends les gueux sacrés.
Car ta laideur, Ô Muse, éclaire nos faiblesses :
tu fais jouir le verbe, et bander la tendresse.


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