Vanuatu Interception

Chant religieux, ce soir à l’église Saint-Cyrille D'Alexandrie au Caire.

Georges Bachaalany

La bataille de Trois-Rivières

TP - AKLI - ECOLE FORGET 13'13

Municipales. A Sainte-Marie-Madeleine, une election tres fortement disputée.

OK AKLI POMPIERS

COVID : A Côte-des-Neiges, les défis d’une école de quartier.

Je ne suis pas un monstre, je suis un lutin fou....

A Thala, en Tunisie. Février 2013.

Aînés et covid: deux ans de solitude.

La Rockeuse Du Desert

J’ai mon appart’, ou l’histoire heureuse d’une mobilisation citoyenne

La guerre et les enfants de Montréal.

EGYPTE EGLISE ST - CYRILLE 2013

Egypte Café Boustan 2013

ALEP HOPITAL 2013

Perception des américains à Lahore

Cachemire (rivière Neelam), rescapés du séisme.

Liban-Beyrouth-Petits Cireurs

Libye Breguia

Libye Benghazi

Mourir a domicile… le sujet est régulièrement évoqué, il l’était encore récemment a l’occasion d’un forum qui a réuni toute une batterie de spécialistes des soins palliatifs. Au-delà des coûts –Le maintien des personnes en fin de vie a domicile est bien moins onéreux que de les envoyer a l’hôpital- se pose la question des choix de société que nous pouvons faire, ou ne pas faire. Avant d’en discuter avec Gaétan Barette, ministre de la santé et des services sociaux, je vous propose de faire un rapide état des lieux.  
Quand il n’y a plus rien à guérir, mais que tout reste à soulager, 
Le reportage d’Akli Ait Abdallah

Quand il n’y a plus rien à guérir, mais que tout reste à soulager.

Mourir a domicile… le sujet est régulièrement évoqué, il l’était encore récemment a l’occasion d’un forum qui a réuni toute une batterie de spécialistes des soins palliatifs. Au-delà des coûts –Le maintien des personnes en fin de vie a domicile est bien moins onéreux que de les envoyer a l’hôpital- se pose la question des choix de société que nous pouvons faire, ou ne pas faire. Avant d’en discuter avec Gaétan Barette, ministre de la santé et des services sociaux, je vous propose de faire un rapide état des lieux. 
Quand il n’y a plus rien à guérir, mais que tout reste à soulager, 
Le reportage d’Akli Ait Abdallah

Quand il n’y a plus rien à guérir, mais que tout reste à soulager (Version courte)

En avez-vous beaucoup entendu parler, vous, des questions autochtones, tout au long de cette campagne électorale québécoise ? Poser la question, c’est y répondre. 
D’ailleurs,  le chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, Ghislain Picard, déplorait récemment que les autochtones avaient été, encore une fois, oubliés,  et il s’en était même ouvert aux chefs des partis politiques. 
‘’Est-ce-que ça prend une tragédie pour qu’on parle de nous ? ‘’
C’est un peu en ces termes que Ghislain Picard avait voulu faire passer son message. 
A Desautels, on s’y intéresse cette semaine. …A l’occasion de son passage en Abitibi il y a quelques jours, notre collègue Akli Ait Abdallah est allé voir, en milieu urbain, comme au sein des communautés, algonquines dans cette région,  comment ces questions sont abordées par les différents candidats, et l’écho qu’elles provoquent en retour.

Campagne électorale en Abitibi: la solitude des autochtones.

C'est l'automne

Vous avez peut-être vu passer cette annonce en début de semaine. Elle a été faite par le nouveau ministre délégué à la santé et aux services sociaux, Lionel Carmant, qui promet que chaque région du Québec, disposera, d’ici fin 2020, d’une équipe d’intervenants en CLSC qui aideront au dépistage des troubles de développement et d’apprentissages des enfants de 0 à 5 ans.
Tout le monde est d’accord, cette période, qui va de la naissance jusqu’à l’entrée à l’école est cruciale, et les chiffres qu’une enquête de grande ampleur menée en 2017 par  l’institut de la statistique du Québec vient de nous fournir sont préoccupants, voire alarmants. 
Plus du quart des enfants (ça c’est plus d’un enfant sur 4)  entrent en maternelle 5 ans avec des difficultés  -l’enquête emploie le terme de vulnérabilités- dans des domaines  de compétences très précis, qui peuvent peser lourd dans la suite de leur parcours scolaire. 
Akli Ait Abdallah, qui s’est rendu dans une école de Montréal, en est revenu avec  ce reportage, où enfants, enseignantes, mais aussi spécialistes de la question, se passent la parole pour nous instruire.

MATERNELLE 5 ANS

Nous avons à quelques reprises au cours des dernières semaines abordé à l’émission la question des maternelles 4 ans universelles, que le gouvernement de la coalition avenir Québec projette de mettre en place à partir de la rentrée prochaine.
Et aussi celle du débat que cette promesse électorale soulève quant à la mission des CPE 4 ans, qui disposent de leur propre programme éducatif. 
Avant de recevoir à ce micro Camille Bouchard, auteur d’un rapport célèbre,  Un Québec fou de ses enfants, mais aussi l’un des artisans du réseau des centres de la petite enfance, nous allons dans un premier temps vous présenter un reportage, réalisé par mon collègue Akli Ait Abdallah qui raconte, de façon très concrète, le quotidien de ces institutions qui préparent les tout-petits, avec leurs forces et leurs faiblesses, à l’école.

CPE-4ANS

HAITI 2020-Reportage-Insécurité

HAITI 2020-Reportage-Camps

HAITI 2020-Le 15-18, le 10 janvier à 15h06

MARCHÉ CENTRAL DE TUNIS

Lavaltrie, ou la Covid a tué la premiere fois.

https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/metier-journaliste/segments/entrevue/189005/akli-ait-abdallah-journalisme-metier-biographie-palestine-algerie-arafat

« La vraie parole est dans la rue » : le journalisme selon Akli Ait Abdallah

« Les journalistes sont les derniers à aller où personne ne va. » Après sept années à travailler comme recherchiste, Akli Ait Abdallah a fait le grand saut du côté des reporters avec sa première couverture, celle de la guerre du Kosovo en 1999. Depuis ce moment, il multiplie les sorties en territoires hostiles : il se rend en Syrie pour les funérailles du président Hafez El-Assad; traverse l'Égypte, Israël, la Jordanie et les territoires palestiniens dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001; il couvre le référendum présidentiel de Saddam Hussein et la guerre d'Irak, et donne même un interview à Yasser Arafat.

Né dans le tumulte de la guerre d’Algérie, Akli Ait Abdallah est devenu journaliste dans les années 80 pour un hebdomadaire de langue française. Il a quitté son pays d’origine en 1990 pour Montréal, où il a rejoint les rangs des recherchistes à Radio-Canada.

C’était sept années extraordinaires sur le plan humain et professionnel. La recherche m’a formé sur l’actualité internationale. C’est un passage qui m’a permis d’être autonome et de savoir me débrouiller tout seul. […] Tout journaliste demeure un recherchiste toute sa vie. 
Pour sa première couverture à l’étranger, Akli Ait Abdallah s’est rendu en Albanie en 1999 pour couvrir l’exode des Kosovars qui fuyaient les violences de l’armée serbe. Cet épisode marquant dans sa vie lui a donné la certitude de vouloir poursuivre une carrière comme reporter international, mais surtout, de vouloir raconter les histoires de celles et ceux que l’on a oubliés.


« La vraie parole est dans la rue, portée par les enfants qui vivent une situation de guerre, de stress, de conflits. La vraie parole, elle est dans les maisons, dans la bouche des mères qui racontent le défi quotidien de nourrir une famille en temps de guerre et en temps de désastres naturels. Elles le font mieux que n’importe quels spécialistes au monde. »

Métier : journaliste. Le journalisme selon Akli Ait Abdallah, 18 juillet 2020.

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