j’dors pour vivre dans un autre monde 
un endroit où j’ai pas d’regret, 
et j’lai pas choisis de mon gré,
ce malheur est comme une boucle une ronde, 
j’aimerais me le faire greffer mon coeur,  
tout est d’ja vide à l’intérieur.
les soirs j’entends le ciel qui gronde 
mais j’garde ma grâce auprès de Dieu, 
bien trop peureux pour rejoindre les cieux, 
j’me butte pour avoir l’corps d’un grec, 
un train d’vie beliqueux et des sous qui deviennent trop precieux, 
la galère pour graille un grecque, 
et ouais la vie c’est pas gratos / Alors je gratte les soux, achat revente dans l’sale, mes premières liasses j’entasse, 
j’me suis promis d’avancer sans même l’aide d’une petasse, un reseau efficace, mon âme vendu au diable même pas la class à dalass , 
j’peux voyager en classe biz 
à quoi bon si j’noie dans la tise, 
dans mes sotises je ressasse, j’ai pas été si coriace,  le corridor et le hall degueulasse, 
j’me détruit plus que les ienclis que j’visser
 à quoi ca sert de faire de  l’argent si ton train de vie est amer, j’aurais préféré me noyer dans l’amour de mon père.  c’est pas une blague écoute les conseilles de ta mère, avant de me mettre en veille j’aimerais pouvoir courir au bord d’la mer, confesser à mon père que j’ai pêche lui montrer que j’le considère,
 j’vois trop de petit qui coffrent pour une AR, enculé t’es con faut coffrer pour nos pairs, 
tu crois tu vas faire la guerre, éloigne toi de cet enfer, 
tu tiendras même pas 1/3 de seconde, 
et j’fais des rondes de pluie la ville s’inonde , pour pas risquer d’me faire cramé j’mène une vie vagabonde, 
j’veux une femme qui a des valeurs nan j’veux pas d’une belle blonde 
j’veux pas être étonné qu’cette timp ait fait le tour du monde, 
c’est immonde moi j’veux d’une justice profonde, quitter cette odeur nauséabonde quand j’bonchar, je rêve d’une type f jaguar, 
nan j’veux pas d’une vie d’rockstar j’veux la puissance d’un tsar, faire des sous sales comme Qatar. 
Voy a te matar si la mifa tu touches j’te couche taché d’sang j’devrais prendre une douche.  
dans ma te-té c’est louche, le ck-glo pointé sur ton front c’est normal que tu louches, 
luchar por la liberdad, o mater para sobrevivir, 
sobre mais je bibi , à ta feumeu j’fais pas la bise, pas d’respect pour les clodos qui forcent les go au telo  avec d’la tise, 
pas d’respect pour ces lames ass, ces chiens d’la casse, qui croient avoir un semblant de classe, dans leur sacoche y’a un shlass, font les chaud se sentent Parnasse, en vérité je les baffe, que des cons qui touchent la caf, mais veulent flex avec mes liasses, c’est des loss ils font pas gaffe, font les lossa , que ces cons jacasse. ils mériteraient qu’on les casse.

DALLAS

j’suis pas dans l’mal j’ai juste des moments d’blanc j’aimerais lever le drapeau blanc mais c’est pas en abandonnant que mes sentiments seront comme avant.

En vrai j’inhale tellement que j’en oublie mon mal , malhonnête ils sont , j’entends le son de la fin , mon corps sur les railles d’un train. qu’est ce que j’suis en train de faire ? tu le vois pas que j’me fou en l’air et que j’me fou des autres car la plupart pensent qu’à me faire. faire ou ne pas faire la décision se pose mes pieds posés sur un tabouret je t’avourais comme j’aimerais bien que mes problèmes s’oppèrent.
J’ai trop pleuré mes yeux deviennent aride plus d’goutte d’eau sur les joues rien qu’une avalanche de sang, et sans me vanter j’aurais aimé les fumer, mais la vie me le fit avant. les filaments qui lient mon coeur s’arrachent très violemment. 
J’ai plus le temps pour une lueur de coloris mon malaitre les fait golri j’aimerais quitter Paris ou bien ce monde que j’trouve bien trop immonde, j’ai plus la fois Dieu ne croit plus en moi depuis que j’ai baissé les bras.

Dans ma tête tout est vide je n’pense même plus à me les vider, un bon royal kush pour léviter, à chaque fois que je croise cette p*te je ne fais que l’éviter les VVS me font baver mais j’ai plus un sous je suis ruiné.
Ruiné de l’intérieur j’essaye de relativiser mais quand j’relate le passé j’me dis mieux vaut éviter alors je sombre comme une merde entre gue-dro, guetto, gâteau de l’espace et j’en passe le meilleur.
J’casse un teh j’crois que c’est l’heure le TP touche à sa fin h24 dans le bat, entouré de proches et d’assassins.
J’rentre tard le soir les kilos passent la vie d’famille me lasse j’préfère faire tourner les ck-sti pour être sappé de Louis Vi,c’est sensé être mon ami mais il agit comme le reufré de Pogba, bastos dans le bag j’bat à mort quiconque touchera à mes sauces, il sauce à mort pour un 0,5 de plus dans sa sacoche Hugo Boss.

On bosse pour être dans la norme, j’veux pas être semblable à Rick Ross, réaliser mes rêves de gosses, devenir le boss de mon boss, j’veux pas rouler en carosse j’veux faire des tours dans l’gamos, des caresses me demande elle, ta meuf a b’soin d’une gamelle, j’aime trop mes gars mais elle j’lui f’rais des scenars dorcel, dors et déjà et déjà qu’tu vois, d’or c’est quand j’lui fou mes doigts. tu dors seul pendant qu’tes potos se meurent qu’est il arrivé l’enfant qui voulait sortir d’la galère, ca t’ressemble pas tu t’présentais comme solidaire, préserverant t’allais pas t’laisser devorer par la misère . qu’est il arrivé à cet homme qui avait l’amour d’une mère, qui s’est fait prendre par la gue-dro qui en a même eu des ulcères, qui en a même perdu ses frères qui en est v’nu a prier l’pere 
qu’est il arrivé a cet homme qui a sombré comme une de-mer, qui en a même perdu l’affaire, qui à chercher à en finir avec un fer.                                                   
heureusement le frérot en est venu à faire des prières, des idées très loin du revolver, une lueure dans sa vie l’éclaire, et il comprends que les épreuves de la vie sont à surmonter sûrement pas à éviter par la facilité, face à cela il faut rester gainé, prier encore prier et affronter sans redouter

8molly

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