Name: one who knows by Andrew Robertson
Duration: 3 min 21 s
Description: a love song recorded live into a roland sp404mk2 sampler. stella parlor guitar with soundhole pickup and shure sm58.

a love song recorded live into a roland sp404mk2 sampler. stella parlor guitar with soundhole pickup and shure sm58. 

one who knows

dsundre - 528 le jardin jugement surface

A Dream, A Vision, A Deja-vu

alt-Pop, Downtempo, Dreampop, Hypnagogic Pop, Lounge Pop, Pop

white tights (pippa’s version)

Text:
Intro (spoken, distant):
I opened my eyes in the wrong century.
The sun was digital,
and nobody cared.

Verse 1:
The streets hum like broken organs,
faces glow blue in the night.
I asked a man for a match —
he showed me his phone.

Bridge (spoken, confused):
Where are the drummers?
Where is the smoke?
Where are the women dancing
with fire in their throats?

Chorus (half-sung, echoing):
I’m back from the fever dream,
but the dream forgot my name.
I’m back from the cosmic stream,
but nothing feels the same.

(Solo)

Verse 2:
The poets talk in headlines now,
the lovers swipe instead of kiss.
I saw a mirror on a wall —
it showed me what I missed.

Bridge (spoken, building):
I think I died once,
but no one told me.
They wrote songs,
but forgot the melody.

Chorus (sung stronger):
I’m back from the fever dream,
crawling through the screen.
The dead still write the news,
and the living just read the scene.

Breakdown (spoken, manic):
There’s a god in the algorithm,
a priest in the feed,
a million prophets screaming
what no one needs.

They sell salvation
with an access code,
and I —
I’m just trying to find the road!

(Guitar-Solo)

Final Chorus (sung, echoing):
I’m back from the fever dream,
I came too late to see.
The world moved on without me,
and now —
it dreams of me.

Outro (spoken softly):
Maybe I never died.
Maybe the world did.
And I just woke up
to watch it sleep.

My name is Jim Morriso… äh Jim, only Jim

Museum of Unsaid Things

Memory Prison

[Verse]
J'ai soif de ta bouche, de ta voix, de tes cheveux.
Silencieux et affamé, j'arpente les rues.
Le pain ne me nourrit pas, l'aube me perturbe, toute la journée,
je cherche la mesure liquide de tes pas.

[Chorus)]
J'ai faim de ton rire lisse,
de tes mains couleur de moisson sauvage,
faim des pierres pâles de tes ongles,
je veux manger ta peau comme une amande entière.

[Verse]
Je veux manger le rayon de soleil qui flamboie dans ton corps charmant,
le nez souverain de ton visage arrogant,
je veux manger l'ombre fugace de tes cils,

et j'arpente les rues, affamé, reniflant le crépuscule,
à ta recherche, à la recherche de ton cœur brûlant,
comme un puma dans les terres arides de Quitratue.

[Chorus]
J'ai faim de ton rire lisse,
de tes mains couleur de moisson sauvage,
faim des pierres pâles de tes ongles,
je veux manger ta peau comme une amande entière.

[Chorus]
J'ai soif de ta bouche, de ta voix, 
de tes cheveux.
Silencieux et affamé, 
j'arpente les rues.
Le pain ne me nourrit pas, 
l'aube me perturbe, toute la journée,
je cherche la mesure liquide de tes pas.

[Outro]
J'ai soif de ta bouche, de ta voix, de tes cheveux.
Silencieux et affamé, j'arpente les rues.

J'ai soif (Neruda) - Jef Bourgeau

Comment l’Amérique respire ses jours
Ses vastes plaines ses amours en détour
Comment elle porte ses douleurs ses tambours
Dans un soupir rempli de velours

[Verse]
Les étoiles brillent haut dans la nuit noire
Les routes s'étirent comme des rêves sans parloir
L'Amérique chante dans le vent qui dévore
Et l'espoir danse là où le temps déplore

[Verse 2]
Les villes grondent comme un orage perdu
Les déserts murmurent au sable confus
Les rivières coulent avec un cœur bien dur
Mais au fond des plaines
Des secrets restent purs

[Chorus]
Comment l’Amérique respire ses jours
Ses vastes plaines ses amours en détour
Comment elle porte ses douleurs ses tambours
Dans un soupir rempli de velours

[Bridge]
Les voix des anciens éclatent sur les collines
Chaque chemin
Nouvelle racine
Les mains qui bâtissent se serrent en sourdine
Et l’avenir chante une douce doctrine

[Verse 3]
Les miroirs des lacs renvoient des histoires
Cachées dans les ombres des montagnes au départ
Les rues éclaboussent leur lumière d’espoir
Mais au-delà des frontières
C’est parfois le brouillard

[Chorus]
Comment l’Amérique respire ses jours
Ses vastes plaines ses amours en détour
Comment elle porte ses douleurs ses tambours
Dans un soupir rempli de velours

Ô l’Amérique
Mon Amérique
 l’Amérique

Ô l'Amérique

The title track “Afterimage Cathedral” by Iron Wake fuses massive industrial guitars with cinematic atmosphere and haunting choral undertones. It’s a soundscape of light and shadow — where faith, memory, and machinery collide. Built to echo through cathedral walls and neon skylines alike.

Afterimage Cathedral

GOLD is an anthem for the working dreamers , the ones still chasing light through exhaustion, static, and noise.
Across four songs, the album fuses trip-hop grit, shoegaze haze, dream pop emotion, and raw garage energy into something deeply human imperfect, alive, and burning with purpose.

Every track is a reflection of survival, creation, and self-worth in a world that forgets how much heart it takes just to keep going.

one who knows

Andrew Robertson

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