En plus de ses stérilisateurs ultraviolets UV-C CLEARUVC 7, 9, 11 et 18, EHEIM propose désormais deux nouveaux stérilisateurs ultraviolets UV-C plus puissants, équipés, pour l'un d'une lampe de 24 watts et de 36 watts pour l'autre. Ces deux modèles sont destinés à l'équipement de bassins plus importants.

EHEIM propose deux NOUVEAUX stérilisateurs ultraviolets

Les chaetodontidés portent le nom vernaculaire de poisson-papillon. En effet, la plupart d'entre eux passent leur temps à butiner les massifs coralliens afin de se nourrir des polypes. En captivité, il est fondamental de se rapprocher le plus possible de leur régime alimentaire naturel.

Chaetodon spp. : un régime alimentaire pointilleux

On sait depuis longtemps que les femelles Pythons couvent leurs œufs des mois durant, sans se nourrir. Python natalensis, grand pythonidé d’Afrique australe, est certes incapable de produire cette chaleur mais la femelle « couve » aussi ses œufs et adapte son comportement pour réguler la température et l’humidité du nid afin d’optimiser les conditions d’incubation.
Cette vidéo accompagne : https://www.animalia-editions-magazines.com/2018/12/04/les-femelles-pythons-prennent-aussi-soin-de-leurs-jeunes/ 
Source : G. J. Alexander. Reproductive biology and maternal care of neonates in southern African python (Python natalensis). Journal of Zoology, 2018; DOI: 10.1111 / jzo.12554.

Python Natalensis - Soins des jeunes

Maxspect annonce l'arrivée de sa nouvelle pompe, la Gyre 300 SERIES. Il s'agit de la même technologie de brassage que les Gyre 200 SERIES, plus précisément la technologie du Cross Flow. Il ne s’agit plus d’hélices qui entrainent l’eau (comme sur la plupart des autres pompes de brasage) mais de pales effectuant un mouvement rotatif rapide. Une roue à aube allongée, en somme.

Maxspect Gyre 300 Series

Les Sinularia spp., comme de nombreux alcyonidés, ne sont pas des coraux agressifs par contact comme le sont de nombreux cnidaires. Inversement, ils sont extrêmement sensibles aux brûlures des madréporaires et des autres hexacoralliaires (anémones, corallimorphaires, zoanthaires).

Agression et empoisonnement chez le genre Sinularia ?

A l’heure actuelle, peu de reptiles non aviens ont vu leur génome décrypté. Anolis carolinensis a été le premier en 2011. Mais les recherches se sont accélérées, et c’est le tour de la star des terrariums : Pantherophis guttatus. La facilité de son élevage, le fait qu’elle ne soit ni venimeuse, ni de grande taille, ni agressive mais aussi la variété de mutations sélectionnées par les éleveurs en font un sujet d‘étude idéal pour mieux comprendre les variations de coloration.

Le génome de Pantherophis guttatus decrypté, le gène de l’amélanisme découvert

La Fondation Tara Expéditions, première fondation reconnue d’utilité publique consacrée à l’Océan, organise des expéditions pour étudier et comprendre l'impact des changements climatiques et de la crise écologique sur nos océans. Initiative privée (à but non lucratif) française, Tara Expéditions agit depuis 2003 en faveur de l'environnement et de la recherche grâce à un bateau mythique, TARA, taillé pour les conditions extrêmes.
Ce podcast accompagne le billet à lire sur Animalia Presse : https://www.animalia-editions-magazines.com/2018/12/30/fondation-tara-expeditions/

Fondation TARA Expéditions

À la tombée de la nuit, lorsque le zooplancton remonte vers la surface de l’océan, les polypes des scléractiniaires étendent leur dispositif de chasse. Quelle que soit l’espèce, la taille du polype, son anatomie, ses mécanismes sont similaires : gonflement du cœnosarque, ouverture et éversion du stomodeum, extension de la couronne de tentacules et expansion secondaire de filaments mésentériques dans certaines circonstances.
Ce podcast accompagne le billet à lire sur Animalia Presse : https://www.animalia-editions-magazines.com/2019/01/07/anatomie-dun-pol…anisme-de-chasse/

Anatomie d’un polype de scléractiniaire et mécanisme de chasse

Les reptiles non aviens – injustement affublés du terme « animaux à sang froid » - sont des ectothermes : leur métabolisme ne peut pas produire lui-même de la chaleur, mais comme il en a besoin, parfois autant que celui des mammifères ou des oiseaux, il doit la puiser dans l’environnement… la facture d’électricité du terrariophile en est témoin ! En l’absence de sources de chaleur permettant d’élever leur température par rapport à la température de l’air, le corps d’un lézard est à la température ambiante.
Ce podcast accompagne le billet à lire sur Animalia Presse :  https://www.animalia-editions-magazines.com/2019/01/12/lendothermie-rev…e-chez-les-tegus/

L’endothermie révélée chez les tégus

Les dendrobates sont de petites grenouilles tropicales généralement très toxiques. C’est la raison pour laquelle elles arborent des livrées extravagantes et voyantes : ces couleurs aposématiques préviennent les prédateurs du danger qu’ils encourent en s’attaquant aux minuscules anoures. Les molécules toxiques sont des alcaloïdes qui proviennent des divers arthropodes dont se nourrissent les dendrobates.

Toxicité d’Oophaga pumilio

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