tu reste encore celle qui m’ensorcelle
en corsaire, forcé d’admettre que face à elle j’suis faible 
panel de tournesl dans l’jardin d’éden
j’écris mieux à côté d’elle, 
charnellement spirituelle, 
elle émerveille le septième ciel 
ses lèvres sur mon sexe, sa langue sur la feuille
ses blessure interne empire son deuil 
J’suis dans sa chambre très loin d’une feuille 
Mais proche de ses seufs 
l’impression d’me noyer dans les abysses la pression est constante 
la vision aveuglé par les artifices, les désirs inconstant 
concentré quand elle est consentante, j’songe a ses avances, rêves enchanté emplies d’chanvres 
élévation dans le spleen 
elle évanouie les plus sensibles 
J’plisse les yeux faces aux supplices
Dans ses pleurs j’croise mon reflet 
Dans son coeur j’rencontre son vice
festin mesquin dans notre lit 
j’te nuie c’est la nuit qui nous unie
j’te prend dans le coin quand t’es punie 
yeux revolver dans ses pupilles un fusil 
T’es en raccord avec ton corps
j’suis en accord avec tes courbe 
on slalom jusqu’à l’aurore 
l’eau à la bouche quand ses lèvres coule 
j’roule doucement, j’ouvre ses jambes, ses envies sont sourdes 
j’coule lentement, j’écoute le vent, pas bavard mais fourbe
mariage de paria dans la prairie 
Pas d’marche arrière dans l’euphorie

løve

cyclique

sablier

prod. by wonderlust & ae beats

[couplet 1]
Le vent se leve lorsqu’on roule un autre teh 
Jeune faible laisse sa conscience s’extraire 
J’espere trouver l’eternel, dans l’creux d’son derrière 
Dans l’destinataire de mes prières 
Dans l’fond d’ses prunelles, j’croise quelque cerbères 
j’suis dans l’tunnel, j’vais tout droit vers la lumière 
elle est aussi frêle que cruel, perfide dans l’passé
malgré qu’elle a cause mes peines, j’freine rien quand on est à 5 centimètre 
tout est simple avec elle, j’perd la raison quand elle me chuchote dans l’oreille 
ses sérénades me berne, c’est son regard qui me berce 
face à elle je m’abaisse, aucun contrôle quand j’vois mon reflet dans ses prunelles 
sur d’elle à chaque instant, j’serais jamais sûr qu’elle m’aime autant 
j’gaspille mon temps a croire que tout sera comme avant
ça devient lassant mais sûrement pas tannant 
ensemble on se surprend à chaque instant 
fascinant à quel point la haine est passante 
C’est pas qu’un passe temps, chaque cambrure est etaptante 
Mais la sienne est différente, parait si naturelle et me fige dans l’instant 
elle se remet en question quand elle est a 14g dans l'sang mais ça n’a aucune influence
Elle veut jamais s’admettre qu’elle est la cause de tout ces pleurs 
ce serait trop de peine sur son p’tit coeur 



[refrain :]
J’fais style d’m’en foutre 
Mais de plus en plus j’souffre 
 j’plonge dans l’gouffre 
J’veux plus sentir ton groove 
J’veux plus toucher tes courbes 
Meme si j’en rêve chaque jour 

[couplet 2]
Une simple nuit ensemble peut me détruire 
Je regrette la veille quand j’me reveille dans mon lit vide 
Spleen et ideal pour nous décrire 
J’veux pas qu’on soit qu’un simple souvenir sur un visage livide 
L’ideal est aussi rare qu’un rayon de soleil dans la tempête
Un baiser une caresse un je t’aime m’font perdre la tete 
J’me sens si seul si vide, juste envie de finir la teille de Campbell
Petasse arrête de te mentir a toi meme 
j’lit si facilement ton visage, j’vois pas une once de regret
T’es heureuse d’être la ou t’en est, 
moi j’fais face aux large 
les doutes et des images refont surface 
l’impression qu’ont a toujours fait du surplace
Pourtant ton regard me donne envie de briser la glace 
Malgres que tu m’ai fais les pires crasses, dans tes bras j’me sens comme un as

[refrain :]
J’fais style d’m’en foutre 
Mais de plus en plus j’souffre 
 j’plonge dans l’gouffre 
J’veux plus sentir ton groove 
J’veux plus toucher tes courbes 
Meme si j’en rêve chaque jour 

[couplet 3]
mon honnêteté me trahit, j’suis celui qui souffre 
t’es celle qui s’ennui, quand j’reviens tu t’enfuis 
quand j’te haie tu me supplie 
tu me manipule, tu m’envoûte, j’pourrais croire que le père noël existe 
aveugle par mes désirs, j’ai juste besoin d’entendre que ton cœur est vide 
j’crois qu’au fond j’me complais dans la souffrance 
j’suis pas celui qu’il te faut, trop honnêtes, trop tendre 
longtemps qu’on a perdu ce quon ressentais 
j’m’enfonce dans les substances mais y’a plus d’trance 
faibles sont nos chances de mourir ensemble 
ton regard me mets la boule au ventre, les papillons danse
on vascille, on semble s’aimait encore mais le silence est d’or, victime d’un sale sort 
la vraie vie nous rappelle à l’ordre a l’aurore

dernières lignes

fâme

vision

prod : P.Soul
lyrics :

jamais satisfais, ramène la tise frère 
tres prèt d’m'affirmer sur la scène      
faut qu’j’extermine les faux frère  
13 verre dans les veines, j’ressens plus la peine 
dire qu’hier j’voulais briser les meme avec un bout d’verre 
j’attend qu’le jour s’éteigne pour m’allumer
Y’a pas d’maluma dans la playlist 
les jaloux parlent mais font pas l'tier  
bimo sort trente bière, j’ramene le camembert 
j’sais qu’on va cépér avant la trentaine, 
Même du corner j’atteint mon but 
on opère précisément
Même si l’tonerre chute
Jamais j’arrête j’en fais l’serment
Franchement honnêtement sincèrement 
le talent c’est pas à la naissance, c’est d’la persévérance 
Tu crois qu’le 11e mouvement s’apprend en un  instant 
on les dépasse plus D’500 tours d’avance 
quand j’flingue, c’est précis aucun tremblement 
On va marquer c’temps 
Marginal comme le marquis d’sade
j’affine l’art dans ma cabine sale 
Les reflex sont abyssale 
j’applique mal c’que j’ai appris sad 
Le manque de sativa fait naitre un animal 
jamais j’donnerai mes master a des proxénètes 
le plan c’est d’être indépendant d’ces vipères
j’vais viscère des tonnes de cd, la visière m’empêche de voir claire 
trop d’chef d’œuvre on va faire naître, j’veux voir l’seum sur leur têtes 
Sans plan b on avance a toute vitesse
j’ecoute la p’tite voix qu’est certaine de l’faire
La voix du stress est plus grande cette tainp veut m’faire perdre 
ONE TAKE BTCH

BUD

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