ELECTROCORE_INDONESIA
AKR 001 _ THE ARCHIVE FILES
B SIDE

AKR01 - ELECTROCORE_INDONESIA - THE ARCHIVE FILE 2001 - 2009 - B [full]

Radio Free Robots (RFR) is a radio show entirely conducted by robots (spoken through synthetized voices).
The moderator, Macha, runs a set of highly selected guests (robots). Robots specialists but also the everyone robot are discussing topics as diverse as robots' sociology, cyber terrorism, computer linguistic, bio-computing, the place og human being within society, the weather, autonomous objects, ...
The radioshow being located in an undefined future, the topics are debated on a prospective or historical point of view; meaning that the era where the show takes place allows a historical sight over the contemporary topicality and as well anticipates a future of the future. The name Radio Free Robots refers cynically to the infamous US propaganda program fomented by the CIA : Radio Free Europe.

http://radiofreerobots.com/

AKA01 - RADIO FREE ROBOTS - SILICONE CARNE - B1 - RECEPTION 21

Vincent Epplay
Brève Retraite au Couvent Sainte-Marie de la Tourette [excerpt]
AKA09 - 2011

AKA09 - VINCENT EPPLAY - BRÈVE RETRAITE AU COUVENT SAINTE MARIE DE LA TOURETTE [excerpt]

from the coming release Drift2. Multiple overlayered grooves cut test.

DRIFT 2 TEST 1 2015 - 16 - 03

Live Vincent Epplay on Radio NEO for Artkillart X Sonic Protest

Live  Vincent Epplay - AKA X Radio NEO

Datascape, 
by Pali Meursault

Datascapes is a sound research project focusing on the soundscape of data centres. They form an environment that exists everywhere and yet remains most of the time invisible and inaccessible. They are the emerged part of the massive iceberg of our relation with information and communication technology, of which the everyday presence, condensed within interactions with smartphone and computer screens, is mostly a matter of vision. For most users, the network infrastructure is a grey area, an unthought place on top of which our imaginations of a dematerialised world are comfortably set. Of course, the already clichéd image of long corridors of blinking servers would come to most minds, but it bears little material reality and remains a high-tech exoticism, a distant sign of an already workaday future that for most of us is seldom established as an actual place.

Thus the idea of recording the sound environment of data centres would be a poetic way of offering a material and sensitive experience of that hidden yet omnipresent aspect of everyday life: making it audible, tangible. From the perspective of sound art, it is also about focusing on a specific sonic reality: while the industrial soundscape has profoundly influenced 20th century music, from the Futurist avant-garde to electronic music, what will be of the electrical hums and air-cooling drones of the digital age? Instead of predicating the aural uniformity and indistinctness of the contemporary technological landscape, the project intends to make nuances and diversity audible, and bets on the singular acoustic experience that could be extracted from these architectures of never-ending vibrations.

Accesses are negotiated with data centres of diverse means and dimensions across several countries. In each place, a careful sound survey will be made using different sound recording techniques. The work necessitate a few hours of presence each time, allowing to create a site-specific setup and record from multiple microphone sources – while conforming to specific access policies and restrictions.

The Datascapes project is conceived with label Artkillart, its outcome will be the publication of a record gathering the soundscapes from different places.

datascape;teta neutral

[ports]

Datascapes

[routers]

[drives]

[fans]

ISSS Indonesian Space Science Society, by Electrocore Indonesia aka Venzha Christ. AKR02, Artkillart 2018.

AKR02 ISSS B

url : http://artkillart.org/la-capture-de-linaudible/

descr: 

La capture de l’inaudible vise à problématiser la notion d’inaudible dans nos sociétés. Le projet, qui prolonge sous la forme d’une édition spéciale la performance éponyme la performance de Matthieu Saladin dans une édition spéciale, s’articule autour d’un logiciel ad hoc d’ « encodage de l’inaudible », accompagné de différents textes et méta-textes.

L’inaudible est ici compris au sens de ce qui appartient au royaume des sons ne pouvant être entendus car se situant en-deçà ou au-delà du spectre audible par l’oreille humaine, ou bien masqués par d’autres sons plus forts émis simultanément ou presque. D’autre part, l’inaudible renvoie à ce qui excède l’écoute, sinon l’entendement d’un groupe, d’une communauté, voire d’une société, en tant qu’il est construit socialement, culturellement et historiquement, autrement dit à ce qui ne peut être entendu car demeurant inintelligible pour ce groupe, cette communauté ou cette société, et selon, là aussi, des effets de seuils et de masques. À l’acception phénoménologique de l’inaudible s’adjoint ainsi une acception politique, sans que l’on puisse en réalité tracer une frontière nette entre l’une et l’autre, notamment dès lors que l’on aborde l’écoute en tant que sens pris dans des dispositifs (du reste comme tous les sens), qui l’agencent de manière stratégique, la façonnent techniquement, juridiquement, historiquement et socialement, soit une écoute “appareillée” quand bien même celle-ci ne serait munie d’aucune prothèse visible.

L’encodeur (logiciel créé dans le cadre du projet) agit de manière exactement inverse au traitement du signal que réalise habituellement un encodeur MP3 : il ne conserve que les fréquences que supprime l’encodage MP3, c’est-à-dire l’inaudible selon l’idéologie qui gouverne cette technologie. Le choix du MP3 ne se veut néanmoins pas une critique de la compression des données audio qu’il opère, ni des usages, ni des écoutes qui le mobilisent, mais intervient simplement en tant qu’il exemplifie la porosité de la frontière censée séparer les deux acceptions de l’inaudible précédemment citées.

_

Matthieu Saladin est artiste et musicien. Sa pratique s’inscrit dans une approche conceptuelle de l’art, réfléchissant, à travers un usage récurrent du son, sur la production des espaces, l’histoire des formes et des processus de création, ainsi que sur les rapports entre art et société du point de vue économique et politique. Elle prend aussi bien la forme d’installations et de performances que de publications (livres, disques), de vidéos et de créations de logiciels. Il est également maître de conférences en arts plastiques à l’université Paris 8, membre de l’équipe TEAMeD au sein du laboratoire Arts des images et art contemporain (AI-AC). Sa recherche théorique porte principalement sur les arts sonores et les musiques expérimentales. Il codirige la collection Ohcetecho aux presses du réel, participe aux comités de rédaction des revues Volume! et Revue et Corrigée, et est directeur de rédaction de la revue de recherche TACET. Son travail est représenté par la galerie Salle Principale.

http://artkillart.org/la-capture-de-linaudible/

La capture de l'inaudible

AKA15 - MATTHIEU SALADIN - LA CAPTURE DE L'INAUDIBLE [remix WUNDERLITZER A1 AKA07]

url : http://artkillart.org/la-capture-de-linaudible/

descr : 

La capture de l’inaudible vise à problématiser la notion d’inaudible dans nos sociétés. Le projet, qui prolonge sous la forme d’une édition spéciale la performance éponyme la performance de Matthieu Saladin dans une édition spéciale, s’articule autour d’un logiciel ad hoc d’ « encodage de l’inaudible », accompagné de différents textes et méta-textes.

L’inaudible est ici compris au sens de ce qui appartient au royaume des sons ne pouvant être entendus car se situant en-deçà ou au-delà du spectre audible par l’oreille humaine, ou bien masqués par d’autres sons plus forts émis simultanément ou presque. D’autre part, l’inaudible renvoie à ce qui excède l’écoute, sinon l’entendement d’un groupe, d’une communauté, voire d’une société, en tant qu’il est construit socialement, culturellement et historiquement, autrement dit à ce qui ne peut être entendu car demeurant inintelligible pour ce groupe, cette communauté ou cette société, et selon, là aussi, des effets de seuils et de masques. À l’acception phénoménologique de l’inaudible s’adjoint ainsi une acception politique, sans que l’on puisse en réalité tracer une frontière nette entre l’une et l’autre, notamment dès lors que l’on aborde l’écoute en tant que sens pris dans des dispositifs (du reste comme tous les sens), qui l’agencent de manière stratégique, la façonnent techniquement, juridiquement, historiquement et socialement, soit une écoute “appareillée” quand bien même celle-ci ne serait munie d’aucune prothèse visible.

L’encodeur (logiciel créé dans le cadre du projet) agit de manière exactement inverse au traitement du signal que réalise habituellement un encodeur MP3 : il ne conserve que les fréquences que supprime l’encodage MP3, c’est-à-dire l’inaudible selon l’idéologie qui gouverne cette technologie. Le choix du MP3 ne se veut néanmoins pas une critique de la compression des données audio qu’il opère, ni des usages, ni des écoutes qui le mobilisent, mais intervient simplement en tant qu’il exemplifie la porosité de la frontière censée séparer les deux acceptions de l’inaudible précédemment citées.

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Matthieu Saladin est artiste et musicien. Sa pratique s’inscrit dans une approche conceptuelle de l’art, réfléchissant, à travers un usage récurrent du son, sur la production des espaces, l’histoire des formes et des processus de création, ainsi que sur les rapports entre art et société du point de vue économique et politique. Elle prend aussi bien la forme d’installations et de performances que de publications (livres, disques), de vidéos et de créations de logiciels. Il est également maître de conférences en arts plastiques à l’université Paris 8, membre de l’équipe TEAMeD au sein du laboratoire Arts des images et art contemporain (AI-AC). Sa recherche théorique porte principalement sur les arts sonores et les musiques expérimentales. Il codirige la collection Ohcetecho aux presses du réel, participe aux comités de rédaction des revues Volume! et Revue et Corrigée, et est directeur de rédaction de la revue de recherche TACET. Son travail est représenté par la galerie Salle Principale.

http://artkillart.org/la-capture-de-linaudible/

la capture de l'inaudible

AKA15 - MATTHIEU SALADIN - LA CAPTURE DE L'INAUDIBLE [remix DRIFT-01 splitted master A1 T AKA11]

PALI MEURSAULT {PRESS}
– Side A: Galvanic (4mn03s), Pressing (9mn10s), Packaging (7mn09s)
– Side B: 33 revolutions

Press completes a “mechanist” trilogy, started by Pali Meursault with Offset in 2013 and Mécanes in 2016. Following the investigation of gestures and machines cycles in printing and letterpress workshops, this new work is a mise en abyme of the record as an object, created from field recordings of a vinyl record pressing plant: Rand Muzik in Leipzig.

Composed in the studios of GRM, Press is a piece of industrial musique concrète. The microphonic explorations of factory noises, as “byproducts” of the fabrication process, reveal the pulsations, rhythms, frequencies and sequences of an electroacoustic matter that seem to be already pointing to industrial and electronic music. Noise is apprehended as a social and cultural phenomenon, which attests of both a production process and an auditory culture.

The piece fills the first side of the record with three “movements” that correspond to the three main stages of the record fabrication: electrotyping, pressing, and packaging.

The second side is a deconstruction of the first one, presenting 33 locked groves. The medium conditions the shape of sound by imposing the never-ending repetition of the 1.8 seconds in take to complete a rotation.

Sound matter recorded in the R.A.N.D. muzik pressing plant in Leipzig. Music composed in the studios of GRM in Paris. Lacquer cut at DK Mastering by Hervé de Kéroullas.

Thanks to François Bonnet, Jan Freund, and Víctor Mazón Gardoqui.

Limited edition of 300 copies manufactured at R.A.N.D. muzik and co-released by Universinternational & Artkillart — Ui024 + AKA16

_

About Pali Meursault

Pali Meursault’s electroacoustic research turns into compositions for records, radio pieces, installations, or performances. His approach uses field recordings, inherits from musique concrète, and explores the sound environment to its audible limits: infra et ultrasounds, and electromagnetic phenomena. For over 15 years, he has been carrying his microphones and antenna to industrial and urban places, alpine glaciers or amazonian forests. His last works capture the sounds of workplaces, confronts animal communication and electromagnetic fields, or reveal the hidden sound environment of datacenters.

He is also involved in many collaborations with collectives (∏-Node, Ici-Même), other musicians (Lee Patterson, Frédéric Nogray, Nicolas Montgermont, Alice Q.) or filmmakers (Lise Fisher, Naïs Van Laer). Alonside these activities, he teaches and writes about sound art, he is responsible for the recent french publication of an anthology of radioart pioneer Tetsuo Kogawa.

http://www.palimeursault.net

Pali Meursault { PRESS } AKA16+Ui24 - Excerpt

PALI MEURSAULT {PRESS}
– Side A: Galvanic (4mn03s), Pressing (9mn10s), Packaging (7mn09s)
– Side B: 33 revolutions

Press completes a “mechanist” trilogy, started by Pali Meursault with Offset in 2013 and Mécanes in 2016. Following the investigation of gestures and machines cycles in printing and letterpress workshops, this new work is a mise en abyme of the record as an object, created from field recordings of a vinyl record pressing plant: Rand Muzik in Leipzig.

Composed in the studios of GRM, Press is a piece of industrial musique concrète. The microphonic explorations of factory noises, as “byproducts” of the fabrication process, reveal the pulsations, rhythms, frequencies and sequences of an electroacoustic matter that seem to be already pointing to industrial and electronic music. Noise is apprehended as a social and cultural phenomenon, which attests of both a production process and an auditory culture.

The piece fills the first side of the record with three “movements” that correspond to the three main stages of the record fabrication: electrotyping, pressing, and packaging.

The second side is a deconstruction of the first one, presenting 33 locked groves. The medium conditions the shape of sound by imposing the never-ending repetition of the 1.8 seconds in take to complete a rotation.

Sound matter recorded in the R.A.N.D. muzik pressing plant in Leipzig. Music composed in the studios of GRM in Paris. Lacquer cut at DK Mastering by Hervé de Kéroullas.

Thanks to François Bonnet, Jan Freund, and Víctor Mazón Gardoqui.

Limited edition of 300 copies manufactured at R.A.N.D. muzik and co-released by Universinternational & Artkillart — Ui024 + AKA16

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About Pali Meursault

Pali Meursault’s electroacoustic research turns into compositions for records, radio pieces, installations, or performances. His approach uses field recordings, inherits from musique concrète, and explores the sound environment to its audible limits: infra et ultrasounds, and electromagnetic phenomena. For over 15 years, he has been carrying his microphones and antenna to industrial and urban places, alpine glaciers or amazonian forests. His last works capture the sounds of workplaces, confronts animal communication and electromagnetic fields, or reveal the hidden sound environment of datacenters.

He is also involved in many collaborations with collectives (∏-Node, Ici-Même), other musicians (Lee Patterson, Frédéric Nogray, Nicolas Montgermont, Alice Q.) or filmmakers (Lise Fisher, Naïs Van Laer). Alonside these activities, he teaches and writes about sound art, he is responsible for the recent french publication of an anthology of radioart pioneer Tetsuo Kogawa.

www.palimeursault.net

Pali Meursault { PRESS } AKA16+Ui24 - Playing With B-Side

In 2016, Sébastien Roux presents Succession of timbres with one partial in
common as part of the exhibition Max Feed – Work and Heritage of Max Neuhaus, organized by Daniele Balit at Frac Franche-Comté. The title refers to and summarizes two sentences written by Neuhaus in the text that accompanies the drawing, and thus immediately reveals the influence of the Southwest Stairwell works – the experience of the staircase and that of Neuhaus’ drawing. It is a sound installation for a set of six loudspeakers that are perfectly aligned and equally spaced over a distance of ten meters along a wall. Also here, the work is based on a succession of timbres. But Roux pushes the concept of succession and Neuhaus’s description of this principle to a new height in a drastically systematic composition:

“The basis for the upcoming timbre is a partial of the previous one. Each speaker represents a partial, a timbre is fully formed and complete when the six speakers are active. Once the full timbre has been maintained for about ten seconds, the partials disappear again, one after the other. The last partial that remains then serves as a basis for the construction of a new timbre.”

Artkillart

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