À cette époque, la presse métal classait par défaut tous les groupes étant un peu tordus et novateurs dans la case "Indus", il y a des chances que si "Takis" était sorti en 2006, CUT THE NAVEL STRING se serait retrouvé dans un tiroir hardcore chaotique, voir neocore truc machin... Leur style n'est pas définissable en trois mots. Ils proposaient un mélange d'influences venant d'horizons assez différents. Ils n'avaient rien d'industriel dans la forme (aucune machine n'étant présente ici) mais dans la façon de jouer les riffs (parfois machinaux, déstructurés, chaotiques dépressifs), dans l'ambiance globale et dans un jeu de batterie parfois simpliste (qui ne proposait pas toujours ce à quoi on aurait pu s'attendre). Suivant les morceaux, le style évoluait aussi bien de l'industriel métallique, à du rock presque noise, de la new wave dark des années 80, une sorte de hardcore chaotique... 
Et on pense entre autres à des groupes comme PITCH SHIFTER ("Desensitized"), KILLING JOKE, un zest de GODFLESH (En beaucoup moins torturé quand même), du NO ONE IS INNOCENT du 1er album (qui aurait mangé un truc bien toxique et pas catholique), voir du VOIVOD (pour les riffs dissonants les plus thrashy)...
CUT THE NAVEL STRING restait bien un groupe de "rock" avec une approche industrielle, un groupe qui n'était pas totalement engouffré, aspiré par le chaos et un feeling dépressif déshumanisé et destructeur. Le tout reste quand même relativement humain, et le carcan "rock" n'avait pas vraiment explosé (on peut le ressentir sur certaines parties de chant, de guitare, le jeu de batterie etc...). Dommage que le groupe ait arrêté après cet album, car suivre leur évolution aurait pu être intéressant... J'ai comme le pressentiment qu'ils auraient pu devenir plus abstraits, plus intenses, et vraiment faire peur à l'auditeur. Néanmoins, il en reste un bon album assez varié, avec une bonne ambiance et un côté chaotique plaisant.  Plutôt à conseiller pour les fans du style, même si tout n'est pas accrocheur.
morethansounds


Cut The Navel String - The last

Térébenthine - Terebenthine - album will be available in World on numerical platform - http://www.terebenthine.fr/Terebenthine.html

De leurs années passées en commun au sein du groupe Cho Yang, les deux complices qui ont un jour choisi de se lancer dans un duo baptisé Térébenthine ont gardé leur amitié et l’expérience acquise à la scène à aller se frotter à des groupes comme Nervous Cabaret, Editors ou French Toast … Et puis il fallait bien avancer, alors Guillaume Barre aux guitares et Raphaël Giacomelli à la batterie ont enfermé dans une cave leur côté le plus obscur et n’en sont ressortis que dix huit mois plus tard, avec en poche quelques compositions bien noisy à mettre sur une première galette et avec au moins autant d’idées qui devraient à terme se retrouver couchées sur un split vinyle partagé avec ISaAC … Les concerts n’ont pas tardé à suivre et les Châlonnais ont élargi leur horizon pour s’en aller vers la capitale mais aussi vers Lille, Besançon, Metz et même la Belgique, partageant les planches avec Silent Front, Melatonine, Jack & The Bearder Fishermen ou encore The Seven Mile Journey et démontrant à chaque fois que leur musique un peu surprenante sur le papier et un véritable régal non seulement dans la platine mais aussi à la ville. Des fondations rythmiques profondément plantées dans le sol, des guitares qui tournent autour pour se donner de l’élan et prendre petit à petit de la hauteur, il n’en faut pas beaucoup plus à Térébenthine pour nous scotcher littéralement aux enceintes avec un rock à la fois noisy et psychédélique, une musique faite d’un très juste mélange de force et de finesse, les deux ingrédients majeurs se voyant réunis autour d’une grosse dose d’envie et d’au moins autant d’énergie pour donner naissance à des titres comme « Seeed », « Aaron Winter », « Inhuman Communication » ou « Bateau Ivre ». Ajoutez-y un texte lu par Mr Arnaud et vous obtenez « Menen », la seule exception à la règle établie d’une création instrumentale qui invite les amateurs de belles choses à venir s’y tremper les pinceaux … Et plus si affinités bien entendu !
Fred Delforge / ZicaZic

Térébenthine - Menen (Voix Mr Armand) - (Terebenthine)

ISaAC - Corps Dur (IT) - album will be available in World on numerical platform - http://atypeekmusic.com/ISaAC.html

ISaAC se forme en 2008 dans un sombre grenier sparnacien lorsque Jean-Christophe Urbain (guitare) et Nicolas Brisset (Batterie) décident de reprendre leur activité musicale après plusieurs années d’abstinence. Si l’origine du projet s’inscrit dans une perspective résolument noise, sous les influences croisées des scènes anglo-saxonnes (Shellac, Jesus Lizard, Big’n, Lightning Bolt), francophones (Deity Guns, Doppler, Bästard, 37500 yens) ou italiennes (Zu), ISaAC ancre également sa personnalité dans une scène locale riche (Les Renaïders, Tunguska, VAVA !). Ce n’est véritablement qu’avec l’arrivé d’Erwan Thomas (Basse), en 2009, que le projet prend corps en s’ouvrant à de nouvelles perspectives et à un métissage entre un son noise 90’s et une basse profonde et puissante. 
Après une année à étrenner un set bestial et énergique, ISaAC enregistre en 2011 son premier album sur les hauteurs d’Epernay. Avec Herpès Maker, mixé et masterisé par Benoît Couribet (Xnoybis, Pord, One Lick Less), le groupe jette toute sa hargne et son envie dans sept titres emplis d’une puissance chaotique et exutoire. Ce premier opus marque le début d’une aventure que l’on espère riche et longue. En 2014 avec leurs amis de Térébenthine, ils sortent en commun un split album de 7 titres "IT", disponible en physique 33T et sur les principales plateformes numériques.

ISaAC - Corps Dur (IT)

Witches Valley - Rien Résiste Aux Racines - album will be available in World on numerical platform - http://www.witchesvalley.fr/Witches_Valley.html

Ecrit par P.Piolat-DK Nguyen-S.Marin Enregistré et mixé par Jérémy Prophet 4 Pistes Tascam Tape Recorder Arrangé par Frank Williams Masterisé par Bernard Natier@Studio Le Garage Musiciens: Rien Résiste Aux Racines II Intro 1988 - Jeremy Prophet : Chant- Guitare - Olivier De France : Batterie - Hungry Angry : Guitare - Kim Ohio Fuzz : Basse - chœurs You're Not Far 1986 Jérémy Prophet: Chant- Guitare Production artistique : Duyen-Kim Nguyen - ©atypeekmusic-witchesvalley Fev 2014. Atypeekmusic www.witchesvalley.fr www.witchesvalley.com www.atypeekmusic.com https://www.facebook.com/WitchesValley?ref=ts&fref=ts

Witches Valley - Rien Résiste Aux Racines II  Intro + You're Not Far 1986

Marteau Mu

Quelque chose qui nous rapproche de l’infini, en beaucoup moins loin.
Thomas Fernier est né Guinea pig, a grandi chevo légé, a vieilli Thomas Fernier. Il vit encore. De ses trois noms et quinze ans de musique, on compte déjà : 7 albums (magnetic recordings, particul system), des collaborations constantes avec le dramaturge Benoît Bradel et le chorégraphe Tomeo Verges, des participations aux soirées poétiques et musicales Poésie is not dead. 
Thomas Fernier est vivant. 
Alice Champion est née, a grandi, a vieilli. Elle vit encore. Des années à Radio Campus Paris pour l’amour du son et des voix, des participations pour Laudanum, une lecture à deux voix avec Eve Couturier. 
Alice Champion n’est pas morte.

Marteau Mu - Poule Noir

Time To Burn - B Sides - EP - album will be available in World on numerical platform - http://www.timetoburn.fr/Time_To_Burn.html
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Motivated and characterized by an uncritical devotion to the most extreme sounds. A wild-eyed, unbalanced and obsessive familiarity with noisy post-hardcore and melancholic mammoth soundscapes impregnated with the saddest melodies. The band has released three albums.
///

Le squelette de Time to Burn prend forme à Clermont-Ferrand où Julien (batterie) et Eddy (guitare-chant) partagent la même formation (Waxx). Une première initiative s’achevant avec le départ de Julien pour Paris.
Pour ces mêmes raisons professionnelles, les deux sont amenés à se retrouver à Paris puis par la suite à esquisser l’idée d’un nouveau projet commun. Rejoint par un de leur amis, Seb, la formation compte désormais un nouveau guitariste et le line-up tend à se finaliser. Il sera rapidement complété avec l’arrivée d’un bassiste, Chris. Articulant ses morceaux autour de mélodies enlevées et nourries par une énergie hardcore, ils citent comme références des groupes tels que Botch, Refused, Shovel, Cult of luna, Neurosis, ou encore Breach. Time to burn explore ses multiples aspérités dans des disgressions punk, hardcore ou rock’n’roll et se revendique définitivement proche du post-hardcore. En 2007, Time To Burn sort Is.Land sur Basement Apes, un album sombre qui leur permet de se défaire de leurs influences.

Motivated and characterized by an uncritical devotion to the most extreme sounds. A wild-eyed, unbalanced and obsessive familiarity with noisy post-hardcore and melancholic mammoth soundscapes impregnated with the saddest melodies. The band has released three albums.

Thus the backbone of their music is to be found in major out-standing noise hardcore bands such as Botch, Shora, Shovel, Cult of Luna, Neurosis and Breach, thus incorporating further elements of punk, hardcore and rock n’ roll, so that they could stick firmly to the post-hardcore scene. With sensitive hands and shyness, they can achieve to move on their music to post-rock edges. Time to burn brings their own menace to their songs, partly parting ways with math structures to incorporate crushing waves of metallic heavyness which can foresee a bright future on this ground. And if so Time to burn would provoke an immense crush on their music with an overwhelming doom sludge. Next compositions will tell us. 'Is.Land', wide and deprived of all influences, will hit the underground in october 2007 after being captured at Geneva's TVO studios where Time to Burn feels affiliated with.

Time To Burn - Elena djinn (B Sides - EP)

Time To Burn - Burn the Lie Down - EP - album will be available in World on numerical platform - http://www.timetoburn.fr/Time_To_Burn.html
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Motivated and characterized by an uncritical devotion to the most extreme sounds. A wild-eyed, unbalanced and obsessive familiarity with noisy post-hardcore and melancholic mammoth soundscapes impregnated with the saddest melodies. The band has released three albums.
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Le squelette de Time to Burn prend forme à Clermont-Ferrand où Julien (batterie) et Eddy (guitare-chant) partagent la même formation (Waxx). Une première initiative s'achevant avec le départ de Julien pour Paris.
Pour ces mêmes raisons professionnelles, les deux sont amenés à se retrouver à Paris puis par la suite à esquisser l'idée d'un nouveau projet commun. Rejoint par un de leur amis, Seb, la formation compte désormais un nouveau guitariste et le line-up tend à se finaliser. Il sera rapidement complété avec l'arrivée d'un bassiste, Chris. Articulant ses morceaux autour de mélodies enlevées et nourries par une énergie hardcore, ils citent comme références des groupes tels que Botch, Refused, Shovel, Cult of luna, Neurosis, ou encore Breach. Time to burn explore ses multiples aspérités dans des disgressions punk, hardcore ou rock'n'roll et se revendique définitivement proche du post-hardcore. En 2007, Time To Burn sort Is.Land sur Basement Apes, un album sombre qui leur permet de se défaire de leurs influences.

Motivated and characterized by an uncritical devotion to the most extreme sounds. A wild-eyed, unbalanced and obsessive familiarity with noisy post-hardcore and melancholic mammoth soundscapes impregnated with the saddest melodies. The band has released three albums.

Thus the backbone of their music is to be found in major out-standing noise hardcore bands such as Botch, Shora, Shovel, Cult of Luna, Neurosis and Breach, thus incorporating further elements of punk, hardcore and rock n' roll, so that they could stick firmly to the post-hardcore scene. With sensitive hands and shyness, they can achieve to move on their music to post-rock edges. Time to burn brings their own menace to their songs, partly parting ways with math structures to incorporate crushing waves of metallic heavyness which can foresee a bright future on this ground. And if so Time to burn would provoke an immense crush on their music with an overwhelming doom sludge. Next compositions will tell us. 'Is.Land', wide and deprived of all influences, will hit the underground in october 2007 after being captured at Geneva's TVO studios where Time to Burn feels affiliated with.
http://weweretimetoburn.com/
http://atypeekmusic.com
https://www.facebook.com/AtypeekMusic
https://itunes.apple.com/fr/album/is.land/id651269016
https://itunes.apple.com/fr/album/burn-the-lie-down-ep/id718864535
https://itunes.apple.com/fr/album/starting-point/id718869540

Time To Burn - Lyksyr (Burn the Lie Down - EP)

Time To Burn - Starting Point - album will be available in World on numerical platform - http://www.timetoburn.fr/Time_To_Burn.html

Le squelette de Time to Burn prend forme à Clermont-Ferrand où Julien (batterie) et Eddy (guitare-chant) partagent la même formation (Waxx). Une première initiative s'achevant avec le départ de Julien pour Paris.
Pour ces mêmes raisons professionnelles, les deux sont amenés à se retrouver à Paris puis par la suite à esquisser l'idée d'un nouveau projet commun. Rejoint par un de leur amis, Seb, la formation compte désormais un nouveau guitariste et le line-up tend à se finaliser. Il sera rapidement complété avec l'arrivée d'un bassiste, Chris. Articulant ses morceaux autour de mélodies enlevées et nourries par une énergie hardcore, ils citent comme références des groupes tels que Botch, Refused, Shovel, Cult of luna, Neurosis, ou encore Breach. Time to burn explore ses multiples aspérités dans des disgressions punk, hardcore ou rock'n'roll et se revendique définitivement proche du post-hardcore. En 2007, Time To Burn sort Is.Land sur Basement Apes, un album sombre qui leur permet de se défaire de leurs influences.

Motivated and characterized by an uncritical devotion to the most extreme sounds. A wild-eyed, unbalanced and obsessive familiarity with noisy post-hardcore and melancholic mammoth soundscapes impregnated with the saddest melodies. The band has released three albums.

Thus the backbone of their music is to be found in major out-standing noise hardcore bands such as Botch, Shora, Shovel, Cult of Luna, Neurosis and Breach, thus incorporating further elements of punk, hardcore and rock n' roll, so that they could stick firmly to the post-hardcore scene. With sensitive hands and shyness, they can achieve to move on their music to post-rock edges. Time to burn brings their own menace to their songs, partly parting ways with math structures to incorporate crushing waves of metallic heavyness which can foresee a bright future on this ground. And if so Time to burn would provoke an immense crush on their music with an overwhelming doom sludge. Next compositions will tell us. 'Is.Land', wide and deprived of all influences, will hit the underground in october 2007 after being captured at Geneva's TVO studios where Time to Burn feels affiliated with.
http://weweretimetoburn.com/
http://atypeekmusic.com
https://www.facebook.com/AtypeekMusic
https://itunes.apple.com/fr/album/is.land/id651269016
https://itunes.apple.com/fr/album/burn-the-lie-down-ep/id718864535
https://itunes.apple.com/fr/album/starting-point/id718869540

Time To Burn -  Lost In Poetic Words (Starting Point)

Marteau Mu

Quelque chose qui nous rapproche de l’infini, en beaucoup moins loin.
Thomas Fernier est né Guinea pig, a grandi chevo légé, a vieilli Thomas Fernier. Il vit encore. De ses trois noms et quinze ans de musique, on compte déjà : 7 albums (magnetic recordings, particul system), des collaborations constantes avec le dramaturge Benoît Bradel et le chorégraphe Tomeo Verges, des participations aux soirées poétiques et musicales Poésie is not dead. 
Thomas Fernier est vivant. 
Alice Champion est née, a grandi, a vieilli. Elle vit encore. Des années à Radio Campus Paris pour l’amour du son et des voix, des participations pour Laudanum, une lecture à deux voix avec Eve Couturier. 
Alice Champion n’est pas morte.

http://www.marteaumu.com/

Marteau Mu - Big Red Ball

(The True) Scorpio Rising - The Invisible Society - album will be available in World on numerical platform - http://www.atypeekmusic.com/%28The_True%29_Scorpio_Rising.html

(The True) Scorpio Rising est le projet solo d'Antoine, ancien guitariste des G.I. LOVE. Lorsque les G.I. LOVE se séparent en 1991 après deux albums de hardcore psychédélique (« 16 Hardcore Romances », chez All or Nothing en 1989, « Chemical Gardens » en 1991 chez Go Get Organized), Antoine abandonne quelque temps la musique pour se consacrer à ses études de philosophie.

Quelques années plus tard, il forme un duo guitare électrique/violoncelle avec Justine, violoncelliste de formation classique. Ensemble, ils composent et enregistrent un grand nombre de morceaux qui, ajoutés à d'autres morceaux composés et enregistrés par Antoine seul, formeront l'album « The Blues Resurrection Project », achevé en 2000 et produit par Philippe Laurent, pionnier de la musique électronique en France. Puis le duo se sépare amicalement et Antoine poursuit seul son projet à l'aide de sa guitare, de sa voix et de quelques machines. L'album « Born/Reborn » est achevé en 2002, suivi de « The Invisible Society » en 2003, puis de « Brain Catalogue » en 2004. Sur ce dernier album, inspiré par les neurosciences, Stéphane, ancien bassiste des G.I. LOVE et aujourd'hui contrebassiste de jazz, apparaît sur trois morceaux et cosigne avec Antoine le morceau « Modern Slaves ».

En 2006, l'album « I know you but you don't know me » se présente comme un concept-album consacré au thème de la famille et de l'inceste, inspiré par le passage d'Antoine dans diverses institutions psychiatriques en tant que soignant. En 2010, Antoine achève « Phallus Imperator », qu'il présente comme le premier opéra-rock lacanien. La musique de (The true) Scorpio Rising mêle les influences du jazz post-free, du black métal, du hardcore 90 et de la musique orchestrale du XXe  siècle. Les paroles des morceaux décrivent le plus souvent la situation de l'homme moderne, homme sans Dieu ni maître, toujours en quête de nouvelles aliénations, et exposé à la menace permanente de la folie.


(The True) Scorpio Rising - Low Life Heroes (The Invisible Society)

(The True) Scorpio Rising - Born/Reborn - album will be available in World on numerical platform - http://www.thetruescorpiorising.com

(The True) Scorpio Rising est le projet solo d'Antoine, ancien guitariste des G.I. LOVE. Lorsque les G.I. LOVE se séparent en 1991 après deux albums de hardcore psychédélique (« 16 Hardcore Romances », chez All or Nothing en 1989, « Chemical Gardens » en 1991 chez Go Get Organized), Antoine abandonne quelque temps la musique pour se consacrer à ses études de philosophie.

Quelques années plus tard, il forme un duo guitare électrique/violoncelle avec Justine, violoncelliste de formation classique. Ensemble, ils composent et enregistrent un grand nombre de morceaux qui, ajoutés à d'autres morceaux composés et enregistrés par Antoine seul, formeront l'album « The Blues Resurrection Project », achevé en 2000 et produit par Philippe Laurent, pionnier de la musique électronique en France. Puis le duo se sépare amicalement et Antoine poursuit seul son projet à l'aide de sa guitare, de sa voix et de quelques machines. L'album « Born/Reborn » est achevé en 2002, suivi de « The Invisible Society » en 2003, puis de « Brain Catalogue » en 2004. Sur ce dernier album, inspiré par les neurosciences, Stéphane, ancien bassiste des G.I. LOVE et aujourd'hui contrebassiste de jazz, apparaît sur trois morceaux et cosigne avec Antoine le morceau « Modern Slaves ».

En 2006, l'album « I know you but you don't know me » se présente comme un concept-album consacré au thème de la famille et de l'inceste, inspiré par le passage d'Antoine dans diverses institutions psychiatriques en tant que soignant. En 2010, Antoine achève « Phallus Imperator », qu'il présente comme le premier opéra-rock lacanien. La musique de (The true) Scorpio Rising mêle les influences du jazz post-free, du black métal, du hardcore 90 et de la musique orchestrale du XXe  siècle. Les paroles des morceaux décrivent le plus souvent la situation de l'homme moderne, homme sans Dieu ni maître, toujours en quête de nouvelles aliénations, et exposé à la menace permanente de la folie.

(The True) Scorpio Rising - Sweet Submission - Born/Reborn

Biographie
« Tout à fond, c'est vos réglages ? » Noise rock joué à 200 km/h dans la mauvaise direction, beats lo-fi épileptiques, spasmes saturés. Tout est oublié, rien n'est à venir, laissez rentrer les monstres, ce soir aucune nourriture n'est autorisée. Red City Noise c'est le calvaire et les rêves d'un homme, 
la bétise et le génie d'un primate sous électrochoques.
Un pas de plus en direction du vide, extinction rouge, à la fin il ne reste rien.


*En:
Digital No Wave music, for autistic people, energetic nerds. Run to the rhythm of the beast, die with flashes of the film-coat vomit on stage. And above all, never forget: PSYCHODIRTYCHAOS is your religion!

Passions du groupe
cinema, comics, sexdrug&rocknroll, mud&swamp, apocalypse, dancing party, fucking noisy dirty chaos
-http://redcitynoise.free.fr/ 
http://atypeekmusic.com/Red_City_Noise.html



Red City Noise - Gone With The Wild (Black Lodge)

Mortar - Various Artists - album will be available in World on numerical platform - http://www.mortar.fr/Mortar.html

Numerical Reissue Originally by PDCD
Le label allemand P.D.C.D. a eu la bonne idée de sortir dans les années 1990 une compilation reprenant l'essentiel de son vaste catalogue. Avec des titres de CABLE REGIME, COP SHOOT COP, NOX, Caspar BRÖTZMANN-MASSAKER, GORE, FALL OF BECAUSE (Justin K. Broadrick) et GRILL. 11 titres Noise et Drone. Une compilation culte qui représente parfaitement la scène Noise underground de cette période. Atypeek Music dans le cadre du partenariat avec PDCD, diffuse la première édition numérique de cette compilation sur l'ensemble des plateformes mondiales.
The German label P.D.C.D. had the brilliant idea in 90’s to issue a compilation that includes the essential part of their catalogue, with tracks by CABLE REGIME, COP SHOOT COP, NOX, CASPAR BRÖTZMANN-MASSAKER, GORE, FALL OF BECAUSE (Justin K. Broadrick) and GRILL. A cult compilation which represents perfectly the noise scene of this period. Atypeek Music in the context of the partnership with "PDCD" diffuse the first digital edition of this compilation on all the world platforms. Nox: Recorded and mixed at ON/OFF studio (Paris). Caspar Brötzmann-Massaker: Recorded live at CCAM (Nancy) during Music International 90. Gore/Hoer: HOER's first loot has been STEREO. It is the result of the collaboration with the Amsterdam located dance choreographer Xander Vervoort, who, inspired by GORE, made an invitation to compose the dancetracks to his latest dance piece, STEREO. Through this invitation the making of music got a new perspective. The invitation became assignment. Making music on demand. Therefor it wasn't possible to go under the flag of GORE, which was enough of a reason to create HOER. Fall Of Because: Original version recorded mid'86, sampled and generally torn apart-february'91. Grill: Recorded live in Exyl, February'91.

Features mostly exclusive cuts from Fall Of Because (pre-Godflesh) ["Grind (Manipulation '91)"], Cable Regime ["White Subway (action/sound)"], Caspar Brötzmann-Massaker ["Massaker
(live @ CCAM, Nancy, France, 1990)"], Cop Shoot Cop ["Chameleon Man/Suck City"], Gore/Hoer ["Stroke/None (test recordings)"], Grill ["Cherumen/Titan"], and Nox ["Never Enough/Encore (rough mixes)"]. 
Tracklist
1/ Cable Regime – White Subway (Action/Sound)
2/ Cop Shoot Cop – Chameleon Man
3/ Cop Shoot Cop – Suck City (Here We Come)
4/ Nox – Never Enough
5/ Nox – Encore (Rough Mixes)
6/ Caspar Brötzmann-Massaker
7/ Gore / Hoer* – Stroke
8/ Gore / Hoer* – None (Test-Recordings)
9/ Fall Of Because – Grind (Manipulation 91)
10/ Grill – Cherumen
11/ Grill – Titan
First release at PDCD

http://atypeekmusic.com/Mortar.html

RED CITY NOISE
Digital No Wave music, for autistic people, energetic nerds. Run to the rhythm of the beast, die with flashes of the film-coat vomit on stage. And above all, never forget: PSYCHODIRTYCHAOS is your religion!
http://atypeekmusic.com/Red_City_Noise.html

Mortar - Various Artists - Sampling Teaser by "Red City Noise"

The Dirteez - The Wild Side of Love - album will be available in World on numerical platform - http://www.thedirteez.com/The_Dirteez.html

L’histoire des Dirteez est proche de celle des Cramps. C’est l’histoire d’un couple Wild Cat Lou/Clint Lha Zar et Poison Ivy/Lux Interior, et l’origine des ces groupes est lié à leur première rencontre. The Dirteez se découvrent une passion commune pour la sous-culture des 45 tours rock’n’roll rares et obscurs, les films de série B et tout ce qui est Trash. Le groupe se forme en 1986 à Paris et enregistre un premier disque « The wild side of love » sur le label Go Get Organized. La production est signée par Chris Wilson (Flamin’ Groovies, The Barracudas). The Dirteez possède une culture rock qui, d’Elvis aux Cramps, des Sonics à T. Rex, de Johnny Horton à Russ Meyer, de Traci Lords à John Waters de David Lynch et Betty Page fait référence aux séries B.
Après une décennie sur la route, The Dirteez s’établit à Sète, à Montpellier, puis Nice pour s’intaller durablement à Marseille. En 2000 The Dirteez revient sur le devant de la scène et sort le disque « How I lost my fur and became an angel ».
Les années 2000 voient The Dirteez redoubler d’activité. De nombreux albums sont sortis depuis cette « renaissance», « Labyrinth » en 2001, « Talisman » en 2003, « The Curse of the haunted cobra » en 2004 et « A fistful of blue spells » en 2006. Leur musique est un mix entre The Cramps et Sonic Youth.
2013 voit une réédition numérique du premier album « The Wild Side Of Love ».

The Dirteez - Gipsy Rose Lee (The Wild Side of Love)

Goz Of Kermeur  - Irondelles - album will be available in World on numerical platform - http://www.gozofkermeur.com/Goz_Of_Kermeur.html

Goz Of Kermeur s'est forgé une solide réputation dans la scène Européenne rock/expérimentale/ hard-core durant la fin des années 90. Beaucoup de concerts, trois albums dont le dernier était une commande d'œuvre de Pro Helvetia. 
Le groupe a joué dans la plupart des grands festivals européens de musiques nouvelles ainsi que celui de Victoriaville au Québec.
1991 - 2000 : Goz of Kermeur : Andreas Valvini : batterie / Yves Charmillot : Guitare / Adrien kessler : Doublebass Voice. Still my songs,the music is organic and with the energy and the particular shape all this takes, we take most of the audiences in our psychadelic turbulence. We are three in front. Goz of Kermeur was explosive, intimate, dangerous, sweet and violent, powerfull and fragile, full of humor but completely naive. 150 concerts through europe, east europe new york and Canada, 3 albums : Goz of Kermeur (1992) Irondelles (1993) Mythoman (1996-97). Touring with the Young Gods, and Dominique A, and shared the stage with many other musicians. Such as John Zorn Masada, Napalm Death, Legendary Pink Dots, Ornette Coleman, joe baron, The Ex, New model Army... Last tour in 2000. Yves Charmillot dies of cancer in september 2001. With him the band. Best memories to our old friend…

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Popular tracks