Ensemble contre la Leucémie.  Reprise de Comptines

Joyeux enfants de la Bourgogne

Chante la vie, Chante.

La Cage aux Oiseaux

La Complainte du Phoque en Alaska

La Tendresse

Chanson pour toi

Version française de la célèbre chanson allemande.

Lili Marlene (French Version)

Slip Sliding Away

Lori Lieberman version. The best one ever

Killling Me Softly With His Song

Mon ptit loup.

Ma Révérence

Cathy's Song

Il y a

T'es Marron

Petit Papa Noel

Parce Que.

Les Jardins d'hiver papa victoire.mp3

In 2005, I found myself at the Pink Paradise in Paris with friends, carrying the weight of a lingering blues after my recent divorce. The evening had that strange flavor of moments when you try to forget, seeking an escape without really knowing what you’re hoping to find. I had had a few drinks, and that’s when I met her: Zo, an Australian student as beautiful as she was unattainable. From the first glance, I fell in love. In just a few seconds, she had captured my full attention.

We spent a little time talking, which, I knew, wasn’t exactly within the usual rules of a club like that, especially for someone like her. But that brief, almost stolen conversation was enough to turn my world upside down. She worked there to pay for her studies, and behind her stunning appearance lay an equally brilliant mind. She was pursuing a doctorate in political science and spoke almost perfect French. She touched me in a way few people ever had.

That night, as I returned home, I let myself be carried away by a mix of emotions and inspiration. I wrote a piece I titled “Heaven Sent,” as if that encounter had been sent by something greater. Before leaving, she had discreetly given me her email, and for a few months, we exchanged messages. Those messages, though rare, were warm and sincere, and they brought me comfort. But one day, she returned to Australia, and our exchanges ceased. I never heard from her again.

Tonight, nearly twenty years later, I decided to turn that piece into a song, as a tribute to Zo and what she represented: a light in a dark time, a brief yet unforgettable encounter. This is the song I present to you today, one that I hope is as sincere and moving as the memory it honors.

HEAVEN SENT

Out Here on my own.

L’intelligence artificielle, nouvelle extension de la créativité humaine

Je ne prête aucune attention à ceux qui dénigrent l’intelligence artificielle, car je pense qu’ils n’ont toujours pas compris qu’elle n’est qu’une extension de nous-mêmes. De la même manière qu’une guitare, une batterie ou une basse amplifient la créativité d’un musicien, l’IA est un outil qui permet d’élargir nos possibilités. Croire qu’une chanson produite avec l’aide de l’IA se crée « toute seule » relève de l’ignorance totale. Derrière chaque œuvre, il y a un artiste qui écrit, façonne et ajuste jusqu’à obtenir le résultat désiré.

La création du morceau de ce soir : tout est parti de mes mains

Le morceau qui accompagne ce commentaire a été créé ce soir avec Suno, entièrement sous mon contrôle. Chaque note, chaque instrument, chaque arrangement a obéi à mes ordres. Je ne me suis pas contenté de lancer un logiciel pour espérer un résultat automatique. J’ai d’abord structuré la composition comme on le ferait pour un blues, en programmant précisément les accords, le style musical et les instruments. Ensuite, j’ai peaufiné, ajusté, modifié jusqu’à ce que le morceau sonne comme je le voulais. Ce travail est comparable à celui de n’importe quel auteur-compositeur.

Je n’ai pas eu besoin de musiciens ou de graphistes externes pour compléter ma vision. Je suis autonome. Grâce à cela, je suis auteur-compositeur-interprète à part entière. D’ailleurs, en tant que propriétaire de mon compte Suno, cette œuvre m’appartient de droit, et je peux même la déposer à la SACEM. Et si je souhaite que cette composition soit jouée par des musiciens professionnels, je peux en extraire la partition avec des outils comme Moises.ai et la faire interpréter en live.

Une évolution naturelle de la musique

Ceux qui rejettent l’IA répètent les mêmes erreurs que par le passé. À chaque innovation technologique, la réaction est la même : lors de l’arrivée des disques vinyles, certains ont annoncé la mort des bals populaires ; avec les plateformes de musique en ligne, on a prophétisé la fin des disques. Pourtant, la musique ne disparaît pas : elle s’adapte et se transforme. Ce que l’on vit avec l’IA n’est qu’une nouvelle étape de cette évolution.

Le rôle de l’artiste reste central

Sans la direction d’un artiste compétent, l’IA est incapable de produire des chefs-d’œuvre. Si vous demandez à Suno de composer une chanson en pilotage automatique, vous n’obtiendrez qu’un résultat fade et sans âme. Le véritable enjeu repose sur la capacité à maîtriser le prompt engineering, cet art subtil de donner des instructions précises à l’IA pour en tirer le meilleur.

On observe déjà que des œuvres réalisées avec l’aide de l’IA ont remporté des concours prestigieux en Beaux-Arts, littérature, musique, mais dans tous les cas, c’est un artiste qui est derrière la machine. Cette nouvelle ère de la création ne fait que confirmer que l’outil, aussi performant soit-il, reste tributaire de l’intention artistique humaine.

Un défi pour les professionnels traditionnels

Je ne nie pas que cette révolution sera un défi pour de nombreux musiciens, graphistes, peintres ou écrivains. Mais les évolutions technologiques ont toujours été exigeantes. Seuls ceux qui sauront exploiter ces nouveaux outils pour enrichir leur vision artistique tireront leur épingle du jeu.

Bientôt, avec l’émergence des IA généralistes, certaines IA seront capables de composer des pièces musicales rivalisant avec celles de Mozart, Beethoven ou Chopin. Mais même alors, elles ne seront qu’un prolongement de la vision humaine. L’IA ne crée pas sans direction : elle amplifie la créativité de celui qui sait la guider.

L’intelligence artificielle ne remplace pas l’artiste : elle l’élève à un niveau où il peut devenir totalement maître de son œuvre. Le morceau de ce soir est la preuve que, lorsque l’IA est mise au service de l’humain, elle devient un partenaire de création puissant.

GOODBYE BLUES

Mi Enlèv mon soulié!

Don't think twice.mp3

🎵 Fire and Rain – James Taylor (1970)
🔁 Reprise personnelle, en hommage.

Il y a des chansons qui traversent le temps avec une vérité nue, comme un cri retenu. Fire and Rain en fait partie.

James Taylor l’a écrite après le suicide de son amie Suzanne Schnerr, alors qu’il était lui-même en traitement pour dépression. Ses proches, pensant le protéger, ont choisi de lui cacher la nouvelle jusqu’aux funérailles. 

Cette décision l’a profondément marqué et blessé. 

Dans ce morceau, sorti en 1970, il parle de la perte, de la solitude, des espoirs brisés. Il évoque aussi son ancien groupe The Flying Machine, tombé à l’eau, et sa lutte intérieure.

Quand je pense que James a 77 ans. Que je l'ai vu Sur Seine la première fois il y a peut-être 40 ans. Quand je pense comment il a failli mourir de son addiction à l'héroïne... de sa dépression chronique. C'est une des personnes qui m'a le plus inspiré dans ma vie par ses textes et son jeu de guitare. Combien de fois j'ai croisé Francis Cabrel dans les concerts. Francis qui avait adopté son look quand il a sorti son premier album. Francis qui a toujours été fidèle à James en adaptant des chansons comme Millworker et Sweet Baby James. Francis avait deux grandes idoles, Bob Dylan et James Taylor. Je ne sais pas si je reverrai James sur scène. J'ai eu la chance de le rencontrer plusieurs fois notamment grâce à mon Samuel Légitimus grand fan devant l'éternel grand spécialiste de James.

Fire and Rain

Dance Me To The End Of Love

La Maison.mp3

J’ai décidé de reprendre à ma façon une chanson culte de Bourvil : Le Petit Bal perdu.

Sortie en 1959, écrite par Robert Nyel et Gaby Verlor, cette chanson raconte une histoire simple et universelle : un couple se laisse entraîner par hasard dans un petit bal de village, un moment sans prétention… dont on ne garde aucun détail, sinon l’essentiel : “c’était bien”.

À travers cette valse douce et nostalgique, Bourvil mettait en lumière la beauté de l’instant présent, ces instants de bonheur éphémères qui marquent une vie sans qu’on sache vraiment pourquoi. C’était aussi le reflet d’une France qui sortait de la guerre, où les bals populaires offraient aux gens des parenthèses de joie et de légèreté.

C'était Bien (Le Petit Bal Perdu)

Il y a des millions d'années

Pourquoi Finine (Sega)

Demain? Qui sait?

Domin Ki Koné?

Inch'Allah

Je veux quitter ce monde heureux

Fields of Gold

Les retrouvailles

The Boxer

Pourquoi Madagascar va-t-elle si mal?

En Souvenir de Vous

et si finalement l'abolition de l'esclavage n'avait pas été une vaste fumisterie simplement pour prolonger les privilèges d'une oligarchie créole?

Histoire de la Réunion - Du Code Noir à la Départementalisation...

Belle chanson de Llasa. Musique : Victoire Buffet Chant : Didier Buffet

La Confession

demo Homeward Bound

Une comptine qui parle de tous ceux qui ont une grande....bouche.

Ah! les Crocodiles!

Ce matin un lapin...

Projet lancé il y a 10 ans...J'ai décidé de reprendre toutes les chansons que j'ai aimé et chanté durant ces presque 40 dernières années. Guitare + voix pour la plupart des chansons, parfois je chante mes chansons, parfois je chante avec ma fille Victoire qui elle est une vraie guitariste. Peut-être trouverez vous un peu de joie a écouter ces chansons que je partage comme si nous étions au coin du feu en toute amitié. 

Didier

DiBu

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