Teufelskreis (Instrumental premix)

Toujours plus haut vers Elle (Instrumental premix)

L'essence du M. (Instrumental premix)

Atmospheric Connections (Instrumental premix)

Etrangeté n°42 (Instrumental premix)

Prélude à l'onirique

Amour fantasmagorique...



Amour fantasmagorique, es-tu celle que je recherche ?
Oh mon amante onirique, avoir ta voix qui me berce,
Ton corps tout contre le mien, les yeux au fond des tiens,
T'imaginer m'emmène enfin dans un monde fou et infini.

Tes lèvres délicates embrasent mon corps à leur contact,
Ta tête posée sur mon épaule, et c'est mon être qui s'envole,
Es-tu une déesse inaccessible, qui a fait de moi sa cible ?
Un lys en drapé d'épines, telle une épreuve ultime.

Ensemble, on pourrait partir, loin, et ne plus jamais revenir.
Ensemble, on pourrait rester, construire du vrai, et juste s'aimer.
Ensemble, on pourra même mener une vie de bohèmes
 - parcourir l'Asie du sud ou partir en barque dans les Bermudes.
On peut aussi rester que nous deux ; si tu en as envie, je le peux.



Amour fantasmagorique, es-tu celle que je recherche ?
A ta force tellurique, s'offrent mon âme et tendresse,
Notre avenir et mon destin, ma lueur entre tes mains,
Ta seule odeur m'enivre enfin de la douceur du lendemain.

Mais, malheur à moi, 
Ton cœur est pris, mal m'en a pris.
Seulement t'aimer est trahison,
Comment te monter ma passion ?

Amour fantasmagorique, es-tu celle que je recherche ?
Velours ambre et prismatique, c'est par ton cœur que je prêche.
Oh mon étoile doucereuse, je suis à toi si tu l'oses,
Nos vibrations en osmose, je te veux mon amoureuse !



Amour fantasmagorique, tu es celle que je recherche,
Oh mon amante onirique, veux-tu ma voix qui te berce ?
Mon corps tout contre le tien, les yeux au fond des miens,
Veux-tu me laisser t'emmener dans mon monde fou et infini ?

Amour Fantasmagorique   [rehearsal]

ENIVREZ-VOUS

Il faut être toujours ivre, tout est là ; c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.

Mais de quoi? De vin, de poésie, ou de vertu à votre guise, mais enivrez-vous!

Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge; à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est. Et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront, il est l'heure de s'enivrer ; pour ne pas être les esclaves martyrisés du temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse de vin, de poésie, de vertu, à votre guise.

C. Baudelaire, Les petits poèmes en prose


Lecture : Serge Reggiani 

PHASE 1, Déni : "Enivrez-vous"

PHASE 2, Marchandage : "Moi non plus, je ne suis pas tout rose."

PHASE 3, Colère : "WALL"

PHASE 4, Dépression : "Le livre des mondes"

PHASE 5, Acceptation : "Au revoir"

Video clip here : https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=uvAipGfM9Vo

SYNTHESE : "YOYOI"

"Je me plaîs à être l’aléa cynique de la tempête,
Cycle inattendu, frappe où tout semblait sans émois,
Sans déboires, sans ce que l’on n’aurait pas voulu voir,
Mais qu’intimement on savait posséder en son être.

Et si ma propre prose provoque, est-elle bien mienne ?
Ma raison : un seul et simple lien trans-générationnel ?
Une insidieuse boucherie cinglante dont on jouit bouche bée,
Hébétés ; un bout de vie dont Elle se rit, la Fin sanglante.

Semblants et fausses facéties confortent notre foi, ce doux fantasme
D’Hommes fantasques, quelle fendarde fantaisie !
Pathétique trac qu’on troque contre un coup de trique, qui trinque
à la santé de notre esquive, de l’essence de vivre.

Là surgie un instant mon anonyme animosité, hésitante tantôt
Seulement, insistante dans le fond, dure, diabolique,
D’une nature adaptée à l’hypocrite pavé de l’Enfer
Où nous marchons, où nous naissons, où nous crèverons,

Tous ! Vas-y fume, baise, bois et tousse ! Toi aussi tu fuis,
Comme tous les autres, mais pense l’issue si tu l’oses..."

Doux comme la braise

Original sing : Ultra Nate - Free : https://www.youtube.com/watch?v=JgRBkjgXHro

Free (Ultra Naté Remix)

W - Theory [Part II]

W - Theory [Part I]

Summertime sadness (Lana Del Rey Remix)

La troisième porte

The Melanthropist

Strange World

ARTICLE 13

Drum'n'Bad

Song of a Beach

The end bedroom

$uicideboy$ - For the last time

Stay in the cut on the Northside
Hollowpoints, trigger fingers
On my fucking .45
Demons rising out the crypt
I snort me a fat line
Never gave a fuck
Grew up out the mud
Pull up, then I pop the trunk
Grew up with the fucking robbers
Always kept the mask on
Motherfuckers gon' die if we take the mask off
Suicide when I ride bitch
$carecrow the walking shadow
Mozart with no piano
Kill when I'm Sleepy Hollow
That mystic motherfucker that's addicted to prescriptions
Xanax for the panic
Mental problems you can add in
Multi million owned business
You just signed a deal, bruh?
Three years passed, still broke
And you ain't paid up
Dollars I ain't touched yet
Burn it for the fuck of it
Infamous lunatic
You, you just suck dick
Cut throat with the deathwish
Raised where the savage lives
Straight out the death pit
To keep alive the triple six
Ruby such a Misfit
Hollywood Babylon can't resist it
Fuck a cop bitch
I'm ducking all these piglets
7th Ward be my motherfucking district
Yeah, I still got my motherfucking wrist slit
Bleeding like a pissed bitch
Scheming I'ma hit licks after licking hits of acid in her fucking split lips
Wig split just a fucking tidbit
Dick itch from ingesting pill bits
Blue bill sick of snorting powder
I'ma ditch this hunnid for five twentys
TSA keep testing my money
Now I'ma dip quick
Find me a thick bitch
Tit gripped
Tip gripped
Dick spit in her thick hips
Fuck
Fuck with me, bitch, I'm a-fucking-ddicted
And I don't really give a fuck what it is
Told you already that Ruby can't resist it
Big clip to my head, watch that shit drip

For the last time ($uicideBoy$ Remix) [Prod. By AxN]

Butternote

Here it goes from jazz to electronics, from hip-hop to classic piano, or from love songs to harsh noise. 
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AxN

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