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15 Minutes - 2 Tambours avec rappel de fin à 15 Min

https://jeremikarus.wordpress.com/2021/03/10/ondes-cerebrales-tambours-et-etats-de-conscience-🦉/

15 Minutes - 2 Tambours avec rappel de fin à 15 Min

Pour te voir
Belle Ô
Te pourvoir
D’ailes mots
Nuée de sourires au langage
Nid douillet de lettres plumes
Pour s’aimer il n’y pas d’âge
Dissiper la brume
Ouvrir la cage
Souffler sur l’écume
Prends un ascendant
Ton courant d’air chaud
Ces mots bienveillants
Qui t’ont manqués trop tôt
Silence tes sentences
Allège ta langue
Tes jugements seuls à la balance
Sinon boom…erang
Parle de toi avec confiance
Et quand les mots sombres te haranguent
Laboure ton champ lexical
Et récolte la musique
De ta voix amicale
Parle à ton âme en phonétique
Gonfle tes voiles
De syllabes pacifiques
Belle étoile
Te voir magnifique

#POESIE – Pour te voir

Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Je n'avais pas vu, amie, vos pas dans mes traces ;
Toujours soutenu, merci ;
Dans mon coeur la place ;
Pour vous Marie ; 
Egrégore, Vierge ou mère de grâce ;
Un grand merci, hier, aujourd'hui encore ;
De dire je ne me lasse ;
Gratitude infinie, amie ;
Dans ma solitude, Marie.

#POESIE - Marie ("Kapucine" au Piano)

Il y a toujours un loup qui pleure
Une souvenir en cendre
Une maman qui espère 
Une balle à prendre
Un soldat à terre

#POESIE - Pas Seulement De Plomb

Le Temple du silence

Il y a de l’or à se taire
Cher orateur,
Je sais que tu ne manques pas d’air
Mais le silence est d’or

#POESIE - Le Temple Du Silence

#POESIE - La mort II

Ô mort, Maitresse du temps 
Toi, l’Attila des âmes,

Qui m’attends patiemment
Maîtresse de Genghis khan 

Toi qui coupe et toi qui prend
Force occulte et sans orgueil,

De l’être humain, courbes l’arrogance,
Tu passes, tu prends, tu n’as pas d’œil.

Tu aiguises ta faux avec patience,
Pour un jour, vers la poussière, 

D’un coup précis qui tranche,
Enfin libérer nos corps et mettre en bière, 
Le riche, l’opprimé, le sage et le vulgaire. 

Ces mots pour te remercier
A mon égard de ta patience

Et j’ose en prose te tutoyer 
Pour conjurer mon sort avec élégance.

#POESIE - La mort II

Ce poème dégage une force incroyable, une ode puissante à ces figures féminines longtemps marginalisées. Les sorcières, symbole de liberté et de résilience, semblent ici revendiquer leur juste place dans le monde.

L’idée de “brûlées mises en bière”, suivie de “fausse commune”, frappe par son évocation crue de l’histoire et de l’injustice. Le ton s’adoucit progressivement, transformant cette colère en espoir, avec une prière qui invite à la guérison et à la renaissance.

La dernière strophe résonne comme un appel moderne : le temps des sorcières est venu, celles qui portent leur pouvoir en elles, sans distinction. Cela m’évoque une célébration de la féminité dans toute sa diversité, qu’elle soit enracinée dans des traditions anciennes ou réinventée au fil du temps.

Le temps des sorcières

Pour moi Steph...

C’est, un punk intérieur

Un hypersensible flamboyant

Un intelligent discret

Uu ostéopathe magicien

Dans le miroir de ta douleur - Poésie pour mon Steph

https://jeremikarus.wordpress.com/2024/12/28/poesie-temps-des-sorcieres/

Sorcières en colère

https://jeremikarus.wordpress.com/2024/08/14/poesie-4-jours-avant-laube/

4 jours avant l'aube - Daph

https://jeremikarus.wordpress.com/2025/05/22/poesie-🖤-roxane/

Roxane

https://jeremikarus.wordpress.com/2025/05/30/poesie-tu-mas-dit/

_ Tu m’as dit

https://jeremikarus.wordpress.com/2025/04/23/poesie-7-fois-le-devoir/

Sous les ordres, adoubé de morale

Tu m’as dit

https://jeremikarus.wordpress.com/2024/09/27/poesie-au-bord-de-la-ligne/

Sur le fil de la vie, se grandir

 https://jeremikarus.wordpress.com/2022/08/05/poesie-sous-le-ciel/

Sous le ciel

[Refrain]
Tu proposes…
Moi, je dispose…
Mais chaque silence laisse une trace
Comme un souffle qui s’attarde et lasse
Ma porte est ouverte, sans clef, sans cadenas
Blandine, si tu veux, je suis là.  

[Couplet 1]
Tu dis “coucou”, c’est déjà doux
Un souffle d’ether et un voeu flou
Tu veux bien, mais pas maintenant
C’est ok, respectons le vent
 
[Couplet 2]
 Deux fois déjà t’as décliné
Nos rendez-vous t’as effacé
Pas de reproche, juste un reflet
D’un cœur qui questionne, sans juger  

[Refrain]
Tu proposes…
Moi, je dispose…
Mais chaque silence laisse une trace
Comme un souffle qui s’attarde et lasse
Ma porte est ouverte, sans clef, sans cadenas
Blandine, si tu veux, je suis là.

[Couplet 3]
Tu dis grose agenda, pas de promesse
Mais dans ta voix, y’a une tendresse
Allora conservo in me questa finezza
Anche se l’attesa lascia una debolezza

 [Couplet 4]
Je ne suis pas un mirage à attraper
Pas une case de plus à cocher
Mais si tu veux du vrai, du vivant
Je suis ce feu tranquille, pas pressant

[Refrain]
Tu proposes…
Moi, je dispose…
Mais chaque silence laisse une trace
Comme un souffle qui s’attarde et lasse
Ma porte est ouverte, sans clef, sans cadenas
Blandine, si tu veux, je suis là. 

[Couplet 5]
Speedy Blandine dans son vacarme 
Aspire au silence et au calme
Mais si nos rythmes s’accordaient
Si notre instant devenait parfait !?  

[Couplet 6] 
Comme un jardin, mon coeur est tient.  
Alors Blandine, appelle et viens !
Pas pour combler mais pour créer.
Pas pour remplir mais pour aimer. 

Marker & Jermikarus

Speedy Blandine

Parle-toi comme à un ami – ta santé mentale t’écoute…

Et si le vrai poison, c’était ta propre voix ?
Pas celle que t’entendent les autres. Celle que tu t’envoies en pleine face chaque matin, quand personne ne regarde.

Les mots que tu te dis.
Les phrases que tu rumines.
Celles qui tapent là où ça fait déjà mal.
Ou qui, parfois, te recousent l’âme sans faire de bruit.

Ce texte, c’est pas un mode d’emploi. C’est un miroir.
Une secousse douce pour rappeler une clef trop souvent perdue :
nos mots créent du réel.
Ils peuvent exploser ton estime ou construire ton socle. Ils peuvent t’enfermer ou t’ouvrir la cage.

Alors, ouais, ça peut “aider” quelqu’un.
(Et si ce quelqu’un, c’était toi ?)
Avant de courir après des affirmations positives trouvées sur Insta, commence peut-être par observer ce que tu t’infliges — ou t’offres — en silence.

Bref.
Lis.
Écoute.
Et si ça résonne, n’oublie pas de te parler comme tu le ferais avec un ami en galère : avec douceur, lucidité… et cette bienveillance qu’on mérite tous, surtout de soi à soi.

Prenons soin de nous, donc de la Nature, restons libres et insolants,
Mitákuye Oyás’iŋ
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#amourjoie9mm #jeremikarus

Caïn7777777

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