Sin Pagar Renta

MMXX's

ELOVRGA

Letra

Quemando esa hierbita mala
Con unos tragos de más y estas ganas
Que me presiona el salir a buscarla
Si no, llamarla
A estas horas no suena tan mal

Te robaste mi calma
Mami, te juro que tú eres mi karma
Tú me deshaces, cuando quieres me armas
Me das mis alas, luego las quitas; me traes de bajón

Y es que cada día que pasa te pones más buena
Me vale verga que tú seas ajena
Pa’ los problemas soy más cabrón que al que traes de cabrón

No me importa si esta calentura es pasajera
Si en el infierno mi alma se quema
Valdrá la pena
Mientras tanto, mami, hazme el amor

Sí, él te compra esos vestidos, pero ya te desvestí
Hace todo pa’ que te quedes y aun así te hago venir
Ya no digas que lo amas
No te engañes, sí me extrañas
En tu vida no hay pasión, aunque tenga la intención
 
Sí, él te compra esos vestidos, pero ya te desvestí
Hace todo pa’ que te quedes y aun así te hago venir
Ya no digas que lo amas
No te engañes, sí me extrañas
En tu vida no hay pasión, aunque tenga la intención

Y así suena la doble P (¡au!)
Christian Nodal

Cada que te atreves lo hacemos más rico
De esa que me das, mami, me hizo un adicto
El otro día en el antro te miré bailando
Brillas más que los diamantes que me cargo

Las otras te miran les gana la envidia
Quisieran ser tú, no quisieran tu vida
Por ser como eres, mas nadie te olvida
Ese estilo fino y cuerpo que aniquila

Y es que cada día que pasa te pones más buena
Me vale verga que tú seas ajena
Pa’ los problemas soy más cabrón que al que traes de cabrón

No me importa si esta calentura es pasajera
Si en el infierno mi alma se quema
Valdrá la pena
Mientras tanto, mami, hazme el amor

Sí, él te compra esos vestidos, pero ya te desvestí
Hace todo pa’ que te quedes y aun así te hago venir
Ya no digas que lo amas
No te engañes sí me extrañas
En tu vida no hay pasión, aunque tenga la intención

Sí, él te compra esos vestidos, pero ya te desvestí
Hace todo pa’ que te quedes y aun así te hago venir
Ya no digas que lo amas
No te engañes, sí me extrañas
En tu vida no hay pasión, aunque tenga la intención

#ChristianNodal #PesoPluma #LaIntención

Christian Nodal, Peso Pluma - La Intención

La Renta

Belinda, Natanael Cano - 300 Noches

Volando Bajito

AMARTE ME HIZO ODIARTE

AMOR

Ese Vato No Te Queda

WEEKND

Il suffit parfois de trois petits points.
Ceux qui s’affichent, puis disparaissent. Ceux qu’on guette avec l’absurde espoir d’une réponse, d’un mot, d’un signe. Puis rien. Le néant. Un "vu" sans suite. Un message avalé par le vide numérique, comme s’il n’avait jamais existé. Et pourtant, il a bien été lu. Il a bien été reçu. Il a bien été ignoré.

C’est de cette blessure discrète mais profonde que naît *« Lus, mais sans suite »*, chanson cynique, faussement légère, construite sur des phrases courtes, des rimes parfaites, et une lucidité brutale. Derrière ses couleurs vives et son énergie pop, elle dénonce une nouvelle forme de mépris, sociale, intime, parfois cruelle : celle de ne pas répondre.

Dans notre monde ultra-connecté, il n’a jamais été aussi facile de dire "ok", de mettre un cœur, un emoji, un mot rapide. Pourtant, il n’a jamais été aussi fréquent de ne rien dire du tout. Pas par oubli. Pas par manque de temps. Mais parce que, dans la hiérarchie des priorités, certains ne méritent même plus une seconde d’attention.

La chanson parle de ces silences assassins. De ces "non-réponses" qui sont en réalité des messages clairs : *« Ce que tu me dis ne m’intéresse pas »*, ou pire, *« Je t’ai lu, mais tu ne mérites pas que je réponde. »*

Avec des couplets acérés et des refrains entêtants, *« Lus, mais sans suite »* transforme la frustration en arme poétique. Le texte, précis, frappe juste, et le ton, faussement désinvolte, cache une vraie douleur : celle de se sentir transparent. Ou pire : peser si peu qu’on ne mérite même pas un mot.

Mais au-delà du constat, la chanson porte aussi une invitation : celle de répondre. De ne pas laisser les autres en suspens. De ne pas traiter les liens comme des options. Car derrière chaque message lu se cache une attente. Une voix. Une personne.

*« Lus, mais sans suite »* est donc bien plus qu’un titre ironique. C’est un miroir tendu à notre époque. Un cri étouffé sous les émojis. Une mise en musique du mépris moderne. C’est aussi un hymne pour ceux qui écrivent sans retour, qui tendent la main dans le vide, et qui finissent par comprendre : parfois, le silence est la plus cruelle des réponses.

Et maintenant, toi qui lis ceci… tu réponds ? Ou tu laisses ça… sans suite !

LUS, MAIS SANS SUITE

Ese Vato No Te Queda

Carin Leon

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