(Paroles)

L’amour ne s’éteint pas sans l’ombre d’un espoir,
Il glisse doucement au fond de nos mémoires, 
Se terrant dans l’oubli, discret et suspendu,
Espérant un écho, un souvenir perdu.

Lorsque de bon matin, dans la routine grise,
Nos yeux se sont croisés, dans l’écho d’une brise,
Comme un souffle du temps où nos cœurs liés
Célébraient l'amour fou de deux cœurs enlacés,
Cette seconde a suffi à rendre à ma mémoire
Le parfum délicieux de notre ancienne histoire.
Un véritable amour ne meurt jamais vraiment,
Même s’il feint quelquefois d’abdiquer sagement.

Mon Amoureuse, retrouvons la douce magie,
Pour résonner à nouveau de cette mélodie.
Reprenons ce chemin bien trop longtemps perdu,
Où l'amour flamboyait, intense et absolu.
J’ai craint, pendant longtemps, qu’il se fut évanoui,
Les années ont filé, le temps a tout terni.
Mais ce matin, sans bruit, malgré nos différends,
D’un regard, j’ai senti tout en moi tes instants.

Tes instants

(Paroles)

Depuis petit, Kylian, tu rêves du Real,
De devenir un jour un « enfant de sa balle ».
Aujourd’hui, il est l’heure de suivre ton souhait,
Et de quitter le Parc, où jamais t’as triché.

Tu connais les remous de ces choix à murir,
De ces périodes floues, avant de convenir
S'il faut vraiment partir, et tout recommencer,
Ou encore tenir, et encore espérer.

Tu sais des au-revoir aux fans et au vestiaire,
Les airs de désespoir et la saveur amère.
Mais si l’Espagne t'appelle, comment donc retenir,
L'irrésistible élan qui te pousse à partir ?

Aujourd’hui, tu t'en vas, les yeux brillants d’espoir,
Rejoindre le Real, poursuivre ton histoire,
Si ta raison hésite, ton cœur a fait son choix,
Et tu suis la conduite qu'il te dicte tout bas.

On ne se réjouit pas de la grande distance,
Qui nous séparera, mais on te dit « bonne chance ».
Mais si la Champion's League te ramène à Paris,
S’il-te-plait, Kylian, sur le banc reste assis !

Depuis petit, Kylian, tu rêves du Real,
De devenir un jour un « enfant de sa balle ».
Et si on ne s'réjouit pas, de la gran-de distance,
Qui nous séparera, nous, on te dit bonne chance.

Depuis petit

(Paroles)

Depuis petit, Kylian, tu rêves du Real,
De devenir un jour un « enfant de sa balle ».
Aujourd’hui, il est l’heure de suivre ton souhait,
Et de quitter le Parc, où jamais t’as triché.

Tu connais les remous de ces choix à murir,
De ces périodes floues, avant de convenir
S'il faut vraiment partir, et tout recommencer,
Ou encore tenir, et encore espérer.

Tu sais des au-revoir aux fans et aux vestiaires
Les airs de désespoir et la saveur amère.
Mais si l’Espagne t'appelle, comment donc retenir,
L'irrésistible élan qui te pousse à partir ?

Aujourd’hui, tu t'en vas, les yeux brillants d’espoir,
Rejoindre le Real, poursuivre ton histoire,
Si ta raison hésite, ton cœur a fait son choix,
Et tu suis la conduite qu'il te dicte tout bas.

On ne se réjouit pas de la grande distance,
Qui nous séparera, mais on te dit « bonne chance ».
Et si la Champions League te ramène à Paris
S’il-te-plait, Kylian, sur le banc, reste assis.

Depuis petit, Kylian, tu rêves du Real,
De devenir un jour un enfant de sa balle.
Et si on ne s'réjouit pas, de la grande distance,
Qui nous séparera, nous, on te dit bonne chance !

Depuis petit

Céka

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