Tomorrow's Fire

Stick

Liebes Kind (Soundtrack from the Netflix Series)

Step by Step

Steady Freddy

Country

Stewball

par Benoit Basirico
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Voici notre sélection de musiques de films nées sous le signe du groove, conçues avec des guitares wah-wah, des basses hypnotiques et des cuivres déchaînés, par des légendes du funk et des maîtres du cinéma. Se croisent la révolution Blaxploitation et le polar américain (de Lalo Schifrin à Isaac Hayes, de Curtis Mayfield à James Brown, en passant par Roy Ayers, Willie Hutch ou encore J.J. Johnson), avec un détour par l'Europe, de la France à l'Italie (d'Ennio Morricone à François de Roubaix).

Programme  :

Bullitt (1968) - Lalo Schifrin

Sweet Sweetback's Baadasssss Song (1971) - Earth, Wind & Fire

Shaft (1971) - Isaac Hayes

Super Fly (1972) - Curtis Mayfield

Black Caesar (1973) - James Brown

Coffy (1973) - Roy Ayers

Blacula (1972) - Gene Page

Cleopatra Jones (1973) - J.J. Johnson

Foxy Brown (1974) - Willie Hutch

Willie Dynamite (1974) - J.J. Johnson

Hell Up in Harlem / Casse dans la ville (1973) - Fonce Mizell et Freddie Perren

The Taking of Pelham One Two Three / Les Pirates du métro (1974) - David Shire

$ (Dollars) (1972) - Quincy Jones

Sanford & Son (1973) - Quincy Jones

Peur sur la ville (1975) - Ennio Morricone

Les Anges (1973) - François De Roubaix

Lipstick (1976) - Michel Polnareff

La Planète Sauvage (1973) - Alain Goraguer

Big Time (1977) - The Temptations

Youngblood (1978) - War

Le Cogneur / Piedone lo sbirro (1973) - Guido & Maurizio De Angelis

Panorama BO #25 : le Funk au cinéma, 20 musiques originales de films des années 1970 [Podcast]

par Benoit Basirico
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Lalo Schifrin, le caméléon du cinéma

Voici un hommage en musiques à Lalo Schifrin, décédé le 26 juin 2025, afin d'apprécier son style si percutant et hybride, riche en fusions de jazz, funk, symphonique, sonorités urbaines et expérimentales, avec toujours le sens du rythme et de la tension, le tout pour un voyage complet du polar à l'espionnage en passant par la science-fiction et le film de guerre.

Programme des B.O :
"Mission: Impossible" (Bruce Geller, 1966)
"Les Félins" (René Clément, 1964)
"The Cincinnati Kid" (Norman Jewison, 1965)
"Cool Hand Luke" (Stuart Rosenberg, 1967)
"The Fox" (Mark Rydell, 1967)
"Coogan's Bluff" (Don Siegel, 1968)
"Hell in the Pacific" (John Boorman, 1968)
"Kelly's Heroes" (Brian G. Hutton, 1970)
"THX 1138" (George Lucas, 1971)
"Dirty Harry" (Don Siegel, 1971)
"Magnum Force" (Ted Post, 1973)
"Enter the Dragon" (Robert Clouse, 1973)
"Battle Creek Brawl" (Robert Clouse, 1980)
"The Four Musketeers" (Richard Lester, 1974)
"Joe Kidd" (John Sturges, 1972)
"The Amityville Horror" (Stuart Rosenberg, 1979)
"Rollercoaster" (James Goldstone, 1977)
"Caveman" (Carl Gottlieb, 1981)
"The Osterman Weekend" (Sam Peckinpah, 1983)
"The Fourth Protocol" (John Mackenzie, 1987)
"Rush Hour" (Brett Ratner, 1998)
"Tango" (Carlos Saura, 1998)


Panorama BO #26 : Lalo Schifrin, le caméléon du cinéma

Propos recueillis par Benoit Basirico

QUE MA VOLONTÉ SOIT FAITE, à l’affiche le 3 décembre 2025, de Julia Kowalski 
Musique originale composée par Daniel Kowalski

Entretien à lire : https://www.cinezik.org/infos/affinfo.php?titre0=20250523181502

La réalisatrice Julia Kowalski retrouve son frère Daniel Kowalski avec ce qui s'avère être une des meilleures BO de 2025, pour QUE MA VOLONTÉ SOIT FAITE (En salles le 3 décembre 2025), après "Crache Cœur" (2015) et "J'ai vu le visage du diable" (CM, 2023). Ce drame franco-polonais relate l'histoire de Nawojka (Maria Wróbel), une jeune femme de 20 ans vivant dans la ferme familiale isolée avec son père et son jeune frère en Pologne. Suite au décès de sa mère, elle est en proie à des épisodes de transe et d’étranges pouvoirs. Alors que son père s’inquiète de la voir s’isoler, l’arrivée de Sandra (Roxane Mesquida), une femme libre et fantasque, va bouleverser sa vie et l'aider à explorer ses capacités. La musique propose par la guitare électrique, une voix et la batterie une expérience viscérale, sensuelle et sauvage qui reflète la subjectivité de la protagoniste et invite à une expérience de transe, accentuée par un montage abrupt et elliptique. La partition intègre la flûte traversière jouée par la réalisatrice elle-même, pour une touche de western et de "folk-horreur".

Interview B.O #117 : QUE MA VOLONTÉ SOIT FAITE, la réalisatrice Julia Kowalski sur la musique

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