Interpellés par la pauvreté dans les rues et toutes les formes de violence qui se révèlent dans le quotidien de nos vies, du haut de leur 9 ans, ces élèves d'une classe de 4ème primaire ont décidé d'aborder des sujets forts avec une lucidité déconcertante. 

Cette classe de l'école 2 Sans Souci à Ixelles a suivi toute l'année scolaire des ateliers radio qui ont abouti à cette émission en live dans la cours de récréation de l'école à la fin juin 2021 😉

Un projet réalisé par SOS Jeunes-Quartier Libre AMO et Comme un Lundi asbl. Dans le cadre de Parlons jeunes, soutenu par la COCOF. Et projet de Prévention Générale de l’Aide à la Jeunesse.

Radio Sans Souci 🎧 Emission En Entier

La complexité des relations amoureuses et des rapports de genres vue depuis les quartiers dits populaires
 
On aime dans les quartiers populaires comme on aime partout ailleurs. Pourtant, la stigmatisation et les clichés restent encore accolés aux jeunes des quartiers populaires. Il en va de même pour leur sexualité, leur rapport à l'amour et au genre. La sexualité des habitant·es de ces territoires est souvent perçue comme sauvage, voire violente, taboue et problématique. La parole et le vécu des jeunes qui vivent dans ces quartiers restent bien souvent cantonnés aux territoires qu'ils et elles habitent. 
A travers cette émission, nous avons envie de remettre de la complexité et de la densité dans l'approche de ces questions.
 
Invité·es
Elisabeth Meur-Poniris, Enseignante en école secondaire à Saint-Gilles et chercheuse en éducation aux médias. 
https://www.getrevue.co/profile/elimeur 
https://elimeur.additor.io/page/hopeYZpI 

Hayat El Aroud, éducatrice spécialisée à la Maison de quartier Les Pouces dans le quartier de Cureghem à Anderlecht. 
https://www.lespoucesasbl.be/ 

Hassan Jarfi, le papa de Ihsane Jarfi, jeune homosexuel tué en 2012 à Liège. En 2019, il crée le refuge Ishane Jarfi pour accompagner les jeunes LGBTQIA+ rejeté·es de leur foyer. 
https://www.cinenews.be/fr/films/animals-1/ 
http://www.refugeihsanejarfi.be/ 
 
Ihssan Himich, membre de AWSA (Arab Women Solidarity) association laïque et mixte qui milite pour la promotion des droits des femmes originaires du monde arabe, dans leurs pays d’origine ou d’accueil. 
https://www.awsa.be/fr/page 
 
Laura Di Spurio, historienne et chercheuse sur les questions de l'enfance et de la féminité.
Laura est l'autrice de Le temps de l'amour. Jeunesse et sexualité en Belgique francophone. 
Et du livre Du côté des jeunes filles - Discours, (contre-)modèles et histoires de l'adolescence féminine.
https://journals.openedition.org/efg/1070 
https://journals.openedition.org/genrehistoire/6881 
 
Cette émission est réalisée par l’ASBL Comme un Lundi dans le cadre de SEXPOWERMENT, un projet d'échange européen entre associations de Belgique, de France et du Luxembourg. Le but de ce projet est d'ouvrir la réflexion sur l'éducation à la vie relationnelle affective et sexuelle en milieu interculturel. 
 
Avec des extraits de :
Faut (d)oser - Comme un Lundi avec les jeunes filles de la Maison de quartier Les Pouces à Cureghem (Anderlecht).
A l'Ouest Podcast - Comme un Lundi à Beekkant (Molenbeek)
Animals, film réalisé par Nabil Ben Yadir 
 
Comme un Lundi est une association de réalisation sonore et visuelle autour des questions de société. A travers des ateliers, formations et créations, l’ASBL a à coeur de favoriser la réflexion, les rencontres et la participation. Elle accompagne et valorise l'expression des personnes par la parole et le corps.

SEXPOWERMENT #1

C’est l’histoire d’une rencontre, la rencontre avec un groupe. Chloé revit un événement passé. La première fois qu’elle les a rencontré, la première fois qu’elle les a entendus. Elle revit cette ambiance douce, feutrée et introduit tantôt le monolithe vivant du groupe, tantôt les voix, les dynamiques individuelles. Ils et elles se sont rencontré.e.s, ils et elles ont existé.e.s ensemble, comme un groupe, un collectif.

Cette création a été réalisée dans le cadre de la première édition des Ondin.e.s, le laboratoire radiophonique de Comme un Lundi ASBL.

Prise de son et montage : Chloé Payen

Les Ondin.e.s est un laboratoire radiophonique. Il prend la forme d'un cycle d'ateliers qui accompagne les réalisateur.ice.s en herbe dans leur processus créatif. Les Ondin.e.s est un espace de rencontres et d’expérimentation, un terrain de jeu convivial pour creuser l’expression de projets radiophoniques et leur donner vie.

ONDINES22 - Bloc connexion - Chloé Payen

Dans son village natale, en Hesbaye liégeoise, la narratrice tend l’oreille aux ancien.ne.s fermier.e.s du coin. De la vache à la moissonneuse, cette génération d’agriculteur.ri.ces a connu de profonds bouleversements. Pour en rendre compte, les bribes de récit s’entremêlent autour d’un fil rouge : le pain.

Cette création a été réalisée dans le cadre de la première édition des Ondin.e.s, le laboratoire radiophonique de Comme un Lundi ASBL.

Prise de son et montage : Lucile Denis

Les Ondin.e.s est un laboratoire radiophonique. Il prend la forme d'un cycle d'ateliers qui accompagne les réalisateur.ice.s en herbe dans leur processus créatif. Les Ondin.e.s est un espace de rencontres et d’expérimentation, un terrain de jeu convivial pour creuser l’expression de projets radiophoniques et leur donner vie.

ONDINES22 - Arsène Lepain - Lucile Denis

À quoi ça rime de devenir amies quand on a 90 ans ? En maison de repos, forcées de se côtoyer, elles se sont découvertes et ont formées entre-elles une solidarité. Solidaires du temps qui passe, du corps qui lâche ou d’une mémoire qui flanche, elles deviennent complices, inséparables, voire indestructibles.

Cette création a été réalisée dans le cadre de la première édition des Ondin.e.s, le laboratoire radiophonique de Comme un Lundi ASBL.

Prise de son et réalisation : Louise Jonard
Musique : Leonard Gaab

Les Ondin.e.s est un laboratoire radiophonique. Il prend la forme d'un cycle d'ateliers qui accompagne les réalisateur.ice.s en herbe dans leur processus créatif. Les Ondin.e.s est un espace de rencontres et d’expérimentation, un terrain de jeu convivial pour creuser l’expression de projets radiophoniques et leur donner vie.

ONDINES22 - L'amitié - Louise Jonard

Aujourd'hui, on estime qu'un couple sur 10 consulte un médecin parce qu'il rencontre des difficultés à concevoir un enfant. Lorsque cela est nécessaire, les couples qui ne peuvent pas avoir d'enfant naturellement sont accueillis dans une clinique de fertilité afin d'entamer un « parcours PMA » (procréation médicalement assistée).

La femme n'est pas forcément (seule) responsable de l'infertilité au sein de son couple, mais c'est toujours les femmes qui reçoivent et subissent les traitements pour l'assistance médicale à la procréation. Les patientes est une création sonore où les voix de ces femmes, nous racontent ce que c'est que d’attendre dans l’antichambre de la maternité. 

Cette création a été réalisée dans le cadre de la première édition des Ondin.e.s, le laboratoire radiophonique de Comme un Lundi ASBL. 

Prise de son et montage : Valentine Gouget
Mixage : Maxime Thomas

Remerciements 
- Aurélie, Pauline, Léa et Marie pour leurs précieux témoignages.
- Les patientes de l’atelier vocal du centre de fertilité du groupe hospitalier Diaconesses Croix Saint Simon, et Pauline Corbaz, qui les fait chanter.
- La Dr Keromnes et Laurence Pavie, respectivement cheffe de service et sage-femme cadre de ce centre.

L’équipe de Comme un lundi ASBL et aux autres participant.e.s des Ondin.e.s. 
- Marie Betbèze, Maïwenn Guiziou, Julien Grande.

Les Ondin.e.s est un laboratoire radiophonique. Il prend la forme d'un cycle d'ateliers qui accompagne les réalisateur.ice.s en herbe dans leur processus créatif. Les Ondin.e.s est un espace de rencontres et d’expérimentation, un terrain de jeu convivial pour creuser l’expression de projets radiophoniques et leur donner vie.

ONDINES22 - Les patientes - Valentine Gouget

Margaux et Zaza vont avoir un enfant ensemble. Elles sont amies - elles ne sont pas amoureuses l’une de l’autre. Elles ont décidé un jour que la famille dont elles rêvaient ne naîtrait pas au sein d’un couple. Elles ont douze ans d’écart, ont déjà eu des partenaires amoureux, masculins la plupart du temps. Des histoires souvent décevantes, qui les ont poussées à chercher d’autres repères et à se construire ailleurs.

Cette création a été réalisée dans le cadre de la première édition des Ondin.e.s, le laboratoire radiophonique de Comme un Lundi ASBL.

Prise de son et réalisation : Pauline Vanden Neste

Les Ondin.e.s est un laboratoire radiophonique. Il prend la forme d'un cycle d'ateliers qui accompagne les réalisateur.ice.s en herbe dans leur processus créatif. Les Ondin.e.s est un espace de rencontres et d’expérimentation, un terrain de jeu convivial pour creuser l’expression de projets radiophoniques et leur donner vie.

ONDINES22 - Le projet - Pauline Vanden Neste

En rentrant en Bourgogne, je savais que mon frère n’était pas au top de sa forme. A Bruxelles, je me sentais un peu inutile face aux problèmes qu’il rencontrait sur sa ferme. Alors quand je suis rentré, on a fait une ballade dans les champs et on a parlé.

Cette création a été réalisée dans le cadre de la première édition des Ondin.e.s, le laboratoire radiophonique de Comme un Lundi ASBL.

Réalisation : Gaëtan Charbonnier et Louise Moret

Les Ondin.e.s est un laboratoire radiophonique. Il prend la forme d'un cycle d'ateliers qui accompagne les réalisateur.ice.s en herbe dans leur processus créatif. Les Ondin.e.s est un espace de rencontres et d’expérimentation, un terrain de jeu convivial pour creuser l’expression de projets radiophoniques et leur donner vie.

ONDINES22 - Nen mais t’rends compte ? - Gaëtan Charbonnier et Louise Moret

“Toutes les filles que je connais, on a la marche rapide”. Dans les rues de leur quartier “pas très safe”, les filles se sentent comme des proies subissant les regards et remarques déplacés des hommes. Dans l’espace sécurisant de l'association, ces voisines partagent leurs expériences : Certaines se défendent, d’autres adaptent leur allure et leur comportement “Si on va lentement et qu’on les regarde, on est foutues..”
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Le podcast “Faut (d)oser !” a été réalisé dans le cadre d’ateliers organisés avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces, par Hayat El Aroud dans la volonté de créer un espace de parole et de réflexion avec un groupe de 8 adolescentes du quartier, âgées de 14 à 18 ans, majoritairement d’origine marocaine et une congolaise, toutes rattachées à une religion. 

"Faut (d)oser !" a reçu une mention spéciale du jury au festival⁠⁠ Longueur d'ondes, Festival de la radio et de l'écoute⁠⁠ pour le prix création jeunesse. 

Un podcast de⁠⁠ Comme un Lundi asbl⁠⁠ et⁠⁠ Le Pav'⁠⁠
Réalisé avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces

À l'initiative de : Hayat El Aroud
Production : Comme un Lundi asbl
Réalisation : Pauline Bombaert
Montage : Noé Béal
Aide à la scénarisation : Laetitia Gau
Mixage : GSARA asbl
Musique : Virgile Guillaud
Avec le soutien de ⁠⁠equal.brussels⁠⁠
Stagiaire : Jihane Bufraquech

Faut (d)oser ! - Les forçeurs (1/6)

Le groupe d’adolescentes et leur éducatrice partent en camp entre filles en Ardennes, loin du tumulte de la ville. C’était plus difficile pour les filles de convaincre leurs parents de les laisser partir que pour leurs frères. Là-bas, elles font l’expérience de la sororité “Vu qu’on est entre filles, on se sent fortes !”. Un soir, leur éducatrice les emmène en forêt à la rencontre du monde des invisibles pour affronter leurs propres peurs.

> Avec la participation du collectif Imazi.Reine (collectif féministe bruxellois,intersectionnel, décolonial, anti-raciste et inclusif) et Ihssan Himich de AWSA (association laïque et mixte qui milite pour la promotion des droits des femmes originaires du monde arabe, dans leurs pays d’origine ou d’accueil)
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Le podcast “Faut (d)oser !” a été réalisé dans le cadre d’ateliers organisés avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces, par Hayat El Aroud dans la volonté de créer un espace de parole et de réflexion avec un groupe de 8 adolescentes du quartier, âgées de 14 à 18 ans, majoritairement d’origine marocaine et une congolaise, toutes rattachées à une religion. 

"Faut (d)oser !" a reçu une mention spéciale du jury au festival⁠⁠ Longueur d'ondes, Festival de la radio et de l'écoute⁠⁠ pour le prix création jeunesse. 

Un podcast de⁠⁠ Comme un Lundi asbl⁠⁠ et⁠⁠ Le Pav'⁠⁠
Réalisé avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces

À l'initiative de : Hayat El Aroud
Production : Comme un Lundi asbl
Réalisation : Pauline Bombaert
Montage : Noé Béal
Aide à la scénarisation : Laetitia Gau
Mixage : GSARA asbl
Musique : Virgile Guillaud
Avec le soutien de ⁠⁠equal.brussels⁠⁠
Stagiaire : Jihane Bufraquech

Faut (d)oser ! - La sororité (2/6)

En sortie shopping, les filles composent leurs choix vestimentaires, conscientes de la portée des apparences. “Si une fille se maquille beaucoup on va dire : Regarde, c’est une Maroise !” Les attentes imposées par la culture et la religion pèsent sur les épaules des filles et influencent leurs comportements. Si les injonctions ne sont pas respectées, elles laissent la place à des insultes racistes déguisées “ Toi, ça se voit que t’es une Inès qui crie au fond du bus !”

* À Bruxelles, le terme “beurette” a pris la forme de “maroise” issu de “marocaine” et “bruxelloise”. 

> Avec la participation du collectif Imazi.Reine (collectif féministe bruxellois,intersectionnel, décolonial, anti-raciste et inclusif) et Ihssan Himich de AWSA (association laïque et mixte qui milite pour la promotion des droits des femmes originaires du monde arabe, dans leurs pays d’origine ou d’accueil)
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Le podcast “Faut (d)oser !” a été réalisé dans le cadre d’ateliers organisés avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces, par Hayat El Aroud dans la volonté de créer un espace de parole et de réflexion avec un groupe de 8 adolescentes du quartier, âgées de 14 à 18 ans, majoritairement d’origine marocaine et une congolaise, toutes rattachées à une religion. 

"Faut (d)oser !" a reçu une mention spéciale du jury au festival⁠⁠ Longueur d'ondes, Festival de la radio et de l'écoute⁠⁠ pour le prix création jeunesse. 

Un podcast de⁠⁠ Comme un Lundi asbl⁠⁠ et⁠⁠ Le Pav'⁠⁠
Réalisé avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces

À l'initiative de : Hayat El Aroud
Production : Comme un Lundi asbl
Réalisation : Pauline Bombaert
Montage : Noé Béal
Aide à la scénarisation : Laetitia Gau
Mixage : GSARA asbl
Musique : Virgile Guillaud
Avec le soutien de ⁠⁠equal.brussels⁠⁠
Stagiaire : Jihane Bufraquech

Faut (d)oser - Les maroises (3/6)

À l’école, les filles ont trop entendu la rengaine “La place de la femme, c’est à la cuisine !” d’une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux. Les filles questionnent leur avenir en tant que femme face au sexisme des garçons de leur génération et les mises en garde de leurs parents. Quelle est la place laissée à leurs rêves et ambitions ? Comment revendiquer leurs droits ? Et “comment faire pour déconstruire les clichés au sujet de la femme ?”

> Avec la participation de Malika Hamidi (docteure, sociologue, experte du féminisme musulman et auteure du livre “Un féminisme musulman, et pourquoi pas ?”)
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Le podcast “Faut (d)oser !” a été réalisé dans le cadre d’ateliers organisés avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces, par Hayat El Aroud dans la volonté de créer un espace de parole et de réflexion avec un groupe de 8 adolescentes du quartier, âgées de 14 à 18 ans, majoritairement d’origine marocaine et une congolaise, toutes rattachées à une religion. 

"Faut (d)oser !" a reçu une mention spéciale du jury au festival⁠⁠ Longueur d'ondes, Festival de la radio et de l'écoute⁠⁠ pour le prix création jeunesse. 

Un podcast de⁠⁠ Comme un Lundi asbl⁠⁠ et⁠⁠ Le Pav'⁠⁠
Réalisé avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces

À l'initiative de : Hayat El Aroud
Production : Comme un Lundi asbl
Réalisation : Pauline Bombaert
Montage : Noé Béal
Aide à la scénarisation : Laetitia Gau
Mixage : GSARA asbl
Musique : Virgile Guillaud
Avec le soutien de ⁠⁠equal.brussels⁠⁠
Stagiaire : Jihane Bufraquech

Faut (d)oser ! - La place de la femme (4/6)

Pour répondre à leurs questions intimes, les filles discutent avec une sexologue musulmane. Attendre le mariage pour avoir sa première relation sexuelle ? Le plaisir féminin ? Parler de ses relations amoureuses avec ses parents ? Se marier ? Entre honte et tabous, rêves et hallal, les filles échangent et posent la frontière invisible de “Hchouma*” !
* Le terme “hchouma” (argot de dialecte marocain issu du mot “honte” en arabe) peut être défini comme une inconduite qui suscite la honte, le scandale. S’il peut se rapporter à la pudeur, il n’en est pas limitatif. 

> Avec la participation de Zina Hamzaoui (sage-femme et sexologue, auteure du livre “Chut, Hchouma ! Confessions d’une sexologue musulmane”)
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Le podcast “Faut (d)oser !” a été réalisé dans le cadre d’ateliers organisés avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces, par Hayat El Aroud dans la volonté de créer un espace de parole et de réflexion avec un groupe de 8 adolescentes du quartier, âgées de 14 à 18 ans, majoritairement d’origine marocaine et une congolaise, toutes rattachées à une religion. 

"Faut (d)oser !" a reçu une mention spéciale du jury au festival⁠⁠ Longueur d'ondes, Festival de la radio et de l'écoute⁠⁠ pour le prix création jeunesse. 

Un podcast de⁠⁠ Comme un Lundi asbl⁠⁠ et⁠⁠ Le Pav'⁠⁠
Réalisé avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces

À l'initiative de : Hayat El Aroud
Production : Comme un Lundi asbl
Réalisation : Pauline Bombaert
Montage : Noé Béal
Aide à la scénarisation : Laetitia Gau
Mixage : GSARA asbl
Musique : Virgile Guillaud
Avec le soutien de ⁠⁠equal.brussels⁠⁠
Stagiaire : Jihane Bufraquech

Faut (d)oser ! - Hchouma ! (5/6)

“Mes copines, elles m’appelaient la racaille !” Des expériences de discriminations liées à leur couleur de peau, leur origine ou leur religion, les filles en ont déjà vécues et ont tenté d’en tirer des apprentissages, quand la répétition ne les a pas poussées à les banaliser. “Ça m’aide à ouvrir les yeux sur la mentalité de ce monde qui est assez cruel”. Ou comment les filles expérimentent-elles l’intersectionnalité* ? “À force, c’est devenu une force !”

* Croisement de plusieurs discriminations. La discrimination intersectionnelle désignerait une situation où plusieurs motifs agissent et interagissent les uns avec les autres en même temps.

> Avec la participation de Fatima Zibouh (docteure, politologue et responsable du service anti-discriminations à l’emploi d’Actiris)
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Le podcast “Faut (d)oser !” a été réalisé dans le cadre d’ateliers organisés avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces, par Hayat El Aroud dans la volonté de créer un espace de parole et de réflexion avec un groupe de 8 adolescentes du quartier, âgées de 14 à 18 ans, majoritairement d’origine marocaine et une congolaise, toutes rattachées à une religion. 

"Faut (d)oser !" a reçu une mention spéciale du jury au festival⁠⁠ Longueur d'ondes, Festival de la radio et de l'écoute⁠⁠ pour le prix création jeunesse. 

Un podcast de⁠⁠ Comme un Lundi asbl⁠⁠ et⁠⁠ Le Pav'⁠⁠
Réalisé avec les filles de la section ados Le Pav’ de l’association Les Pouces

À l'initiative de : Hayat El Aroud
Production : Comme un Lundi asbl
Réalisation : Pauline Bombaert
Montage : Noé Béal
Aide à la scénarisation : Laetitia Gau
Mixage : GSARA asbl
Musique : Virgile Guillaud
Avec le soutien de ⁠⁠equal.brussels⁠⁠
Stagiaire : Jihane Bufraquech

Faut (d)oser ! - Les rejetées (6/6)

Elles sont belges, d’origine marocaine et nées en Algérie.
Elles vivent à Bruxelles depuis plus de quarante ans et, pour la première fois, elles retournent sur les lieux de leur enfance.
Fatima, Malika, Mokhtaria et Louisa nous entraînent dans leurs quartiers à Oran, « ville radieuse ».
Par delà leurs retrouvailles se dessine, en filigrane, une Histoire algéro-marocaine.
Ensemble, elles lèvent le voile sur un tabou qui n’est plus et partent en quête de leurs souvenirs.
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Merci à Fatima, Malika, Mokhtaria, Louisa et leurs familles.
Réalisation : Sarah Segura et Thibault Coeckelberghs
Production : Comme un Lundi asbl et GSARA asbl
Montage : Guillaume Abgrall
Mixage : Maxime Thomas
Illustration : Sophie Cocheteux-Depraeter

Les radieuses

SLAM TON DREAM JOB  est un projet de médiation culturelle de la Compagnie What’s Up en partenariat avec Comme Un lundi Asbl.

Coordination et animation des ateliers slams : Sophie Delacollette
Animation des ateliers radio : Thibault Coeckelberghs

Avec les élèves de l’école Sainte-Marie La Sagesse de Schaerbeek en 5ème professionnelle et leur professeure de Français Nathalie Marinx, et les élèves de l’Athénée Royal Paul Delvaux d’Ottignies en 5ème Technique de qualification et leur professeure de Français Natacha Georges. 
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Ce podcast est produit grâce au soutien de la Cocof (La culture a de la classe), la Province du Brabant Wallon, l’Atelier théâtre Jean Vilar, le Rideau de Bruxelles, et Ithac.

Montage : Thibault Coeckelberghs
Mixage : Jean-Noël Boissé
Stagiaires : May Bissar, Sélène Sinagowitz, Jellissa Nawasadio

Slam ton dream job - premiers jobs, premiers patrons (1/5)

Radio Vacarme, la webradio queer et féministes de Bruxelles, nous invite pour une soirée autour du Podcast "Faut (d)oser !" - "Inégalités de genres, discriminations et relations intimes vues par des jeunes femmes racisées". 

Sur les toits du BOZAR à Bruxelles nous avons réunis trois invitées et les jeunes filles du podcast "Faut (d)oser !" à venir échanger sur base de leurs réalités et de leurs recherches. 
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Avec l'association Comme un Lundi
Modération par Jihane Bufraquech
Avec Estelle Depris (Sans Blanc de Rien), Hayat El Aroud (éducatrice), Zina Hamzaoui (sage femme et auteure du live Chut, Hchouma! Confessions d'une sexologue musulmane)

"Faut d(oser) !" suit le parcours d'un groupe de jeunes femmes du quartier de Cureghem à Anderlecht. En partageant avec humour leurs expériences du quotidien, elles font évoluer leur réflexion sur les inégalités de genre, les discriminations et les relations intimes, en lien avec leurs origines culturelles et religieuses. Accompagnées dans cet espace de parole par leur éducatrice, et des intervenantes extérieures, les filles questionnent les attentes, les apparences, les oppressions et finalement leur place en tant que jeune femme racisée d'un quartier populaire de Bruxelles.

Radio Vacarme x Faut (d)oser !

Suite à un piratage d’un immeuble interconnecté, l’inspectrice Elie Conan est missionnée pour trouver le coupable d’une attaque qui pourrait mettre en danger les données personnelles des habitant.es d’un immeuble de plusieurs milliers de locataire.ices. 
Sans la moindre piste, le début de son investigation la pousse a interroger René Nichols en charge de la sécurité informatique du bâtiment. 
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En 2053, suite au piratage informatique d’un immeuble interconnecté, l’inspectrice Elie Conan est missionnée pour trouver le coupable d’un attaque qui pourrait mettre en danger les données personnelles des habitant.es d’un immeuble de plusieurs milliers de locataire.ices. 
A la fois enquête, fiction documentée et tragi-comédie, « J’accepte" interroge sur la place des données personnelles dans une société dystopique. Quelle place pour l’identité numérique en 2053 ?

Réalisé et produit par : Comme un Lundi asbl 
Acteur-ices : Fatima-Zahra Bouaziz, Imane Cherouaq, Mélanie Castro Varelas, Ekrem Öztürk, Josepha Sini, Augustin Lecourt
Partenaires : Les Ambassadeurs 
Montage : Noé Béal 
Mixage : Hugues Parent 
Musique : Virgile Guillaud 
Prise de son : Hugues Parent et Victor Bral 
Graphisme : Zana
Soutenu par le CESEM dans le cadre de l’appel à projet “Outils, ressources et initiatives pilotes en éducation aux médias” en 2022.

J'accepte - Ils avaient tout (1/3)

Toujours sans la moindre piste, Elie Conan décide d’interroger Cléo Kavar, seule habitante a ne pas avoir été victime de la cyber-attaque. Il reste un peu moins de 72h avant que les données des habitant.es soient rendues publiques. Le temps presse. ___________________________________________
En 2053, suite au piratage informatique d’un immeuble interconnecté, l’inspectrice Elie Conan est missionnée pour trouver le coupable d’un attaque qui pourrait mettre en danger les données personnelles des habitant.es d’un immeuble de plusieurs milliers de locataire.ices. 
A la fois enquête, fiction documentée et tragi-comédie, « J’accepte" interroge sur la place des données personnelles dans une société dystopique. Quelle place pour l’identité numérique en 2053 ?

Réalisé et produit par : Comme un Lundi asbl 
Acteur-ices : Fatima-Zahra Bouaziz, Imane Cherouaq, Mélanie Castro Varelas, Ekrem Öztürk, Josepha Sini, Augustin Lecourt
Partenaires : Les Ambassadeurs 
Montage : Noé Béal 
Mixage : Hugues Parent 
Musique : Virgile Guillaud 
Prise de son : Hugues Parent et Victor Bral 
Graphisme : Zana
Soutenu par le CESEM dans le cadre de l’appel à projet “Outils, ressources et initiatives pilotes en éducation aux médias” en 2022.

J'accepte - Connecté/Déconnecté (2/3)

L’étau se resserre. Afin de comprendre le système de collecte des données de l’immeuble, Elie Conan interroge la propriétaire. Cette dernière possède un large parc immobilier et explique le fonctionnement du bâtiment et le contrat qui la lie avec les locataire.ices.
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En 2053, suite au piratage informatique d’un immeuble interconnecté, l’inspectrice Elie Conan est missionnée pour trouver le coupable d’un attaque qui pourrait mettre en danger les données personnelles des habitant.es d’un immeuble de plusieurs milliers de locataire.ices. 
A la fois enquête, fiction documentée et tragi-comédie, « J’accepte" interroge sur la place des données personnelles dans une société dystopique. Quelle place pour l’identité numérique en 2053 ?

Réalisé et produit par : Comme un Lundi asbl 
Acteur-ices : Fatima-Zahra Bouaziz, Imane Cherouaq, Mélanie Castro Varelas, Ekrem Öztürk, Josepha Sini, Augustin Lecourt
Partenaires : Les Ambassadeurs 
Montage : Noé Béal 
Mixage : Hugues Parent 
Musique : Virgile Guillaud 
Prise de son : Hugues Parent et Victor Bral 
Graphisme : Zana
Soutenu par le CESEM dans le cadre de l’appel à projet “Outils, ressources et initiatives pilotes en éducation aux médias” en 2022.

J'accepte - Rien ne pourra fuiter (3/3)

L'amour au micro - une émission participative réalisée dans le cadre du premier stage des Ondin.e.s en 2024. Durant 5 jours, 15 participant.es se sont approprié.es des dispositifs sonores autour de la thématique de l'intimité, des relations amoureuses et amicales. 

> Retrouve les extraits de ces réalisations et les discussions abordées dans l'émission animée et portée par ces participant.es. 

Merci aux participant.es pour leur engagement. Merci à elles-eux de nous avoir livré un bout de vous durant cette semaine d'exploration radiophonique et thématique.

Les Ondin.e.s, c'est quoi ? 
> Un laboratoire radiophonique. En 2024, il prend une nouvelle forme pour proposer des stages ponctuels et un “club radio” hebdomadaire.
> Un espace de rencontres et d’expérimentation, un terrain de jeu convivial pour creuser l’expression de projets radiophoniques et leur donner vie. 
_________________________________
Un projet soutenu par la Commission Communautaire Française (CoCoF) et réalisé dans le cadre du projet européen SEXPOWERMENT qui souhaite promouvoir une éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle dans une démarche interculturelle et intersectionnelle par l'échange de pratiques et de savoirs.

ONDINES24 - L'amour au micro

Abel c’est le personnage de fiction imaginé par les résidents de la maison d’accueil @home des petits riens. Elle héberge des jeunes hommes entre 18 et 24 ans qui y trouve un lieu où se poser, le temps de souffler, de faire le point avant un nouveau départ. Pas facile de parler de soi quand on galère, alors pourquoi pas tenter de le faire en imaginant le parcours d’un homme qui a décidé de prendre le large? Une manière de se dévoiler sans se découvrir.

De cette rencontre s'est dessinée une exposition à la Maison des Cultures de Saint-Gilles présentant 5 mises en scène mêlant la photographie et le son. 

Réalisation sonore : Noé Béal
Scénographie : Augustin Lecourt 
Photographie : Madeleine Petit 
Produit par Comme un Lundi asbl en partenariat avec Les Petits Riens asbl
Soutenu par Equal.Brussels, la Fédération Wallonie-Bruxelles, la CoCof et la Maison des Cultures de Saint-Gilles

Où est Abel (1/5)

Qui est Abel ? (2/5)

Abel c’est le personnage de fiction imaginé par les résidents de la maison d’accueil @home des petits riens. Elle héberge des jeunes hommes entre 18 et 24 ans qui y trouve un lieu où se poser, le temps de souffler, de faire le point avant un nouveau départ. Pas facile de parler de soi quand on galère, alors pourquoi pas tenter de le faire en imaginant le parcours d’un homme qui a décidé de prendre le large? Une manière de se dévoiler sans se découvrir.

De cette rencontre s'est dessinée une exposition à la Maison des Cultures de Saint-Gilles présentant 5 mises en scène mêlant la photographie et le son.

Réalisation sonore : Noé Béal
Scénographie : Augustin Lecourt
Photographie : Madeleine Petit
Produit par Comme un Lundi asbl en partenariat avec Les Petits Riens asbl
Soutenu par Equal.Brussels, la Fédération Wallonie-Bruxelles, la CoCof et la Maison des Cultures de Saint-Gilles

La chambre (3/5)

Le Ladbrokes (4/5)

Le bâtiment abandonné (5/5)

Pourquoi ne pas commander un verre dans ce café pour écouter le prochain son et y finir la balade ? Les jeunes gérants, des anderlechtois de souche, ont voulu créer dans leur commune un lieu «cosy» pour accueillir des gens de passage, mais aussi offrir un espace de travail partagé convivial. Le son familier de la machine à café, la déco vintage, et l'interview des gérants par les jeunes, vous invitent à définir ce mot qui nous poursuit... «cosy» !

Avec Robin et Bruno

Le café-coworking La Fourmiliere

«C'est un hôpital mais ça n'y ressemble pas ! On n'y reste pas couchés dans un lit toute la journée. Ça ressemble à une école, mais ce n'en est pas une.» Les jeunes présentent le centre de jour qu'ils côtoient quotidiennement pendant quelques semaines ou quelques mois. Une approche originale en pédo-psychiatrie les accompagne le temps de se remettre
sur pied, dans une atmosphère «cosy». Le Centre Ados est notre point de départ vers la découverte du quartier et ses «secrets cachés en-dessous des pavés !»

Le Centre Ados

D’habitude, les jeunes qui fréquentent quotidiennement le Centre Ados  tracent leur route à pied depuis la station de métro. Sans connaître ses histoires ni ses habitants. L’atelier radio est une occasion de découvrir les environs, « sortir de sa bulle » et discuter de ce qui fait qu’on se sent chez soi, à la maison, au Centre Ados ou dans un quartier.

Introduction à la balade sonore du quartier Saint-Guidon

Ajustez vos écouteurs, fermez les yeux.. Oh, non, ouvrez les grands !!

00.Comment Ca Marche

Pour les participants, la maison des enfants le Compas est bien plus qu’une garderie après l’école et ils veulent vous présenter toutes les personnes qui font de ce lieu un véritable foyer. Le Compas les aide à faire leurs devoirs, organise ateliers et sorties pédagogiques bien sûr, mais c’est aussi elle qui fait le lien entre les parents et les écoles ou intervenants socioéducatifs (PMS, psychologues, etc.) Une véritable leçon du « vivre ensemble » !

01.Compas

Les jeunes sont partis en rue à la rencontre des passants pour savoir  "C'est quoi un jeune musulman?" ! 

"Prendre en compte les valeurs que nos parents nous ont données et évoluer dans une société qui n'est pas historiquement liée à l'Islam..", "Je ne voudrais pas que ma fille porte le voile !",...

http://parlonsjeunes.be/

Micro-trottoir "C'est quoi un jeune musulman ?"

« J'ai une sensation bizarre quand je prie. Genre je suis rassuré, en sécurité. 
Jusqu'à mes 16 ans, je pratiquais à mort. Mais depuis 1 ans, je prie mais pas tout le temps. Parfois je me pose des questions. Est-ce que je suis un bon musulman? Est-ce que c'est mal ce que je fais ? Je sais pas si c’est grave. Mais quand même non ? »

Découvrez ce témoignage sur les doutes par rapport à la religion.

Suis-je un bon musulman ?

Pourquoi parler de ces « jeunes-là » plutôt que des autres ? Sans doute parce qu’on parle davantage d’eux dans le monde entier que n’importe quels autres jeunes, sans leur donner la parole. Et parce que l’Université Libre de Bruxelles et la VUB provoquent l’occasion dans la foulée d’une recherche de 24 mois qu’elles ont lancée sur le sujet et que parraine le Délégué général aux droits de l’enfant.

Mais être jeune musulman, qu’est-ce que ça veut dire ? Et est-ce que ça veut dire quelque chose ?
Qu'est-ce qui nous définit ? Des origines ? Une religion ? Ne pas avoir de religion ? Un territoire ?
Comment les jeunes non-musulmans voient-ils les jeunes musulmans ? Avec des clichés ?
Est-ce que c’est la même chose pour les garçons et pour les filles ?
Est-ce une identité qu’on affirme ? Est-ce qu’on est fier? Est-ce que c’est lourd parfois? Est-ce que c’est encore important aujourd’hui?

http://parlonsjeunes.be/

Leïla partie 1 : Ça a cassé quelque chose en moi

Pas de sexe avant le mariage préconise la religion... Mais, est-ce vraiment vécu comme tel ou existe-t-il une différence entre pratique et théorie ? Comment on fait quand un garçon ou une fille nous plait ?

Les jeunes donnent leur avis et partent micro à la main à la rencontre d'autres personnes pour élargir les points de vue.

Sexualité & religion : la différence entre la pratique et la théorie

Une association de réalisation sonore et visuelle par l'expression du corps et de la parole.

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