Eux pas égal à M.C.10,
Mais égal au W. A. C. K.

J'peux pas m'les voir donc j'crame des vrais spliffs..

J'fais l'état de tout ç'que j'ai,
Man c'est l'taff.



J'abor-de là l'normal capotage de plans d'wacks pour me saborder.

À l'occase raccord.

Ç'flow t'schlasse l'ahorte en entailles.

Ça vol'ra d'rouges traces sur les chapeaux d'roues,
Afin que l'on échappe aux troubles.

J't'arrose.

Dans l'taïme,
Ma force véloce s'déploie comme un gros graff.

J'peux t'accroche en teuf comme une aggraffe ou comme Achraf.

Mets les grammes de gras dans l'tar.

J'encode les M.P.3 et les phases célébrées à-l t'font faire encore d'télépathes encoches.

Essaie d'éviter celle-là,
J'fais taire ces types et décalle.

J'fais déffrayer ces rimes respectables.

J'ai scélé l'reef.

Cérébral est l'kiff.

Et j'mets a-ç deuspi comme langoureusement.

Heureusement qu'tu t'en fout si s'mettent v'là les p'tits,
Dans l'four.

Dans l'fond,
J't'envoute en deusseu.

J'te plante.

Quand j'touche s'enfouissent tes tren-te-deux dents.

En s'couant l'tronc,
J'te fais voir le néant du puit sans fond puis t'rent-re dedans.


Faut qu'tu vois le bout du tunnel si tu veux capter l'but en or.

L'obturateur ouvre une pur brêche puis tu ne peux plus capter l'truc encore 

Faut qu'tu r'vois tes priorités.

Foutue soit la voie du loup qui s'affame,
Ivre d'ovinés.

Yes !

Et la rime reste inopinée.

Faut qu'tu vois le bout du tunnel si tu veux capter l'but en or.

L'obturateur ouvre une pur brêche puis tu ne peux plus capter l'truc encore 

Faut qu'tu r'vois tes priorités.

Foutue soit la voie du loup qui s'affame,
Ivre d'ovinés.

Yes ! 

Et la rime reste inopinée.


J'arrive sur la prod' tu t'affoles,
Man.

On pose technique comme Sean(e) Paul,
Calme.

Dans la métaphore,
Ils ont que des feuilles qui s'gondolent.

Dans la mégapole,
Là-où les lézards volent,
Où les antilopes cassent des cass-roles,
J'ai sorti l'antivol.

J'en plie l'os dans dix chocs.

En d'pires strophes,
Mais qui deviendront grandes sans idole.

J'enquille trop d'ces rimes que j'lance,
Bricole.

J'ai lé-rou l'ambr' qui colle en p'tit boz.

Mes mercenaires l'avaient puisé dans ç'riche sol.

J'fais taire les mecs et l'dit glock était caché dans l'épuisette comme R veli

Tu sens l'lé-pistol qui t'gratte.

Freestyle qui quantifie les molécules en môle.

Ils ont la tige molle.

Babylone est un terter agricole.

La ville folle d'la discorde.

Sans mytho,
J'prends l'idiot et lui vends six crottes.

Jusqu'à ç'qu'il ait pris note et que la cire colle.


Faut qu'tu vois le bout du tunnel si tu veux capter l'but en or.

L'obturateur ouvre une pur brêche puis tu ne peux plus capter l'truc encore 

Faut qu'tu r'vois tes priorités.

Foutue soit la voie du loup qui s'affame,
Ivre d'ovinés.

Yes !

Et la rime reste inopinée.
Faut qu'tu vois le bout du tunnel si tu veux capter l'but en or.

L'obturateur ouvre une pur brêche puis tu ne peux plus capter l'truc encore 

Faut qu'tu r'vois tes priorités.

Foutue soit la voie du loup qui s'affame,
Ivre d'ovinés.

Yes !
Et la rime reste inopinée.

Antiwack - 10 aka Dix

Yeah,
Yeah !

Yeah,
Yeah !

Yeah,
Yeah !

Yeah,
Yeah !

Yeah,
Yeah !

Yeah,
Yeah !

Yeah,
Yeah !

Yeah,
Yeah !


Yeah !

C'est Dix qu'a faim.

J'viens manger l'beat afin d'cass' un croûte.

J'vais terminer par la fin

Mais là,
J'suis censé fuir l'assassin d'paladin, 
Couz...

J'ballafre,
Y'a plein d'gouttes et l'carnage vous atteint tous.


À la bonne heure,
On f'ra toujours de la bonne oeuvre face à ces crapoteurs.

À l'odeur comme d'la grosse peu-f',
Faut r'pérer chaque flows d'assoneurs.

J'appose le glyphe.

J'accorde le reef.

Apporte le si-gn(ï)-al,
La tonne d'leu-sty.

J'te racle 'vec l'acte de pacotille.

J'suis l'Appocryphe.

J'ai la panoplie de jams et d'jazz optiques qu'on associe.

Constat d'notr' hymne où l'on passe et on pau-se là cet algorithme à l'improviste :
L'apogée d'la pose ivre.

Donc au passé s'compos'ra ta conn'rie.

Technique de l'homme saoul,
Copain,
J'éxige deux neurones de fous,
Au moins.

Gros joint qu'j'obtiens,
Pendant que tout ton être se fout notr' grain au grou-in.

Trop d'wacks commatent trop loin.

(Eh oui ! )


Si t'es dans l'Rap,
Parle de moyens,
Ne parle pas trop d'faim.

Comme là,
J'la j'pause en dogme,
Ceci crée le dommage et de loin.

Faut qu'tu t'taises quand tu causes,
Fin !

( Merci...
Et de rien. )

Si t'es dans l'Rap,
Parle de moyens,
Ne parle pas trop d'faim.

Comme là,
J'la j'pause en dogme,
Ceci crée le dommage et de loin.

Faut qu'tu t'taises quand tu causes,
Fin !

( Merci...
Et de rien. )


Là j'fais mes katas d'Karaté.

L'art de la guerre ne va pas t'rater.

Ne ta-pe pas la Cé ou j'vais t'laver au canard W.C. ,
Vas.

Lave ta chiasse après.

Ne parl' pas d'ta face cachée,
Sale dé.

Ramène a-p ta fraise à la soirée.

Pas d'blasphème,
T'entends qu'ma voix même.

Ma voix mène,
sans briser l'kharème.

Tac!

Ça t'saigne. 

Ça t'rattrape et d'haleine est la course.

Ces phases tech',
J'les cass'-dèd' aux Raps deads,
Mais j'bats l'ours et j'bats toutes les cartes, même Cartésien.

Dans ç'game, 
Ç'fat festin,
On aid'ra l'Alien à mettr' fin à l'aspect mesquin d'l'Homme;
Et ce afin que le son som-bre dans ce bre-çon " sbeul " :
Voir en fractales,
Dans les pas des sabots d'Sybilles,
Des symboles de cymbal' s'harmonisant ensem-bles.

Ils sonnent par la mêm' quinte.

Gros,
J'lâch' des sei-ze pleins d'huile.

De weed et de coco,
J'ais le plein vite.

Au bac des vers de d'main,
On vise plus haut que la mention assez bien.

J'lâch' des phases d'gue-din,
Tout comme un peintre taffe le dessin.

Dans une sénile seringue :
La mort d'l'art assonable te boit,
Te sniffe,
Te trinque...

Et mêm' si ma morale,
Tu t'en tapes la me-ringue,
Ne sois pas ç'man débile et mesquin.

Tout com-me sous mesca',
J'm'esquive et m'éreinte.

J'm'époumone et c'est r'lou,
Tout comme toutes ces bouffonnes.

J'ai tout l'trône.

J'ai l'doux cône.

J'mets l'plein d'herbes-et de taim,
Tout comme dans les oin-j et j'les oins ien-b.

J'm'esquinte,
J'fais l'boulot.

Des teint'z-éteintes vien-nent te faire geindr' le ciboulot.

Tu voudrais que j't'aide,
Mais j'fais rien,
Soin.

Oups!

Gros,
J'te mets des réels pains.

Ç'qui t'fait daïe très loin.

Fais l'zeil' et l'avoine.

J'fais d'l'herbe et d'la maille,
C'est bien.

Les plêbes j'les arnaque à la façon des terrains,
Mon Pangolin,
 Car il est im-possi-ble que j'finisse sans trop rien.

Y'a ri-en à dre-crain.


Si t'es dans l'Rap,
Parle de moyens,
Ne parle pas trop d'faim.

Comme là,
J'la j'pause en dogme,
Ceci crée le dommage et de loin.

Faut qu'tu t'taises quand tu causes,
Fin !

( Merci...
Et de rien. )

Si t'es dans l'Rap,
Parle de moyens,
Ne parle pas trop d'faim.

Comme là,
J'la j'pause en dogme,
Ceci crée le dommage et de loin.

Faut qu'tu t'taises quand tu causes,
Fin !

( Merci...
Et de rien. )

La Faim - 10 aka Dix

 La drill quand tu trip - 4/4 - 152 BPM - D#

LV DRILL MVGIQUE - TYPE BEVT - BVNKS

Musique Russe Épique rejoué en Rock symphonique.
Titre original :
Les bateliers de la Volga - Ey Ukhnem 

EY UKHNEM - BVNKS

EY UKHNEM - INSTRUMENTVLE - BVNKS

Agressivité et folie en fusion - 4/4 - E min - 180 BPM

HEAVY INSANITY - BVNKS

HEVVY INSVNITY - TYPE BEVT - BVNKS

Une composition d'un autre temps rentrant en collision avec 2025 - 4/4 - 114 BPM - B

cut off your d (coupe toi la b)

O+

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