Accueillant les visiteurs à la descente de l’escalier du Drawing Lab, la série des Chiens sans maitres, Dogs with no master, Perro sin dueño, guide et accompagne les visiteurs au sein de l’exposition TIERRADENTRO. Daniel Otero Torres vous explique ici l’origine et l’histoire de ces chiens sans maitre. 

Découvrez également la vidéo de présentation de l'exposition : www.youtube.com/watch?v=YFJK5UxhJzQ

L’histoire et l’origine de la série des Chiens sans maitre

Présentation de l'exposition et du travail par Léo Marin, commissaire de l'exposition

Présentation de l'exposition — Léo Marin

Le projet Pulp·e questionne la construction de l’image, dans sa réappropriation, dans son écriture, dans sa transposition, inclue le corps, afin de nous faire déambuler dans de possibles narrations. Le titre renvoie à la typologie spécifique des Pulp (bande dessinée populaire) et l’ajout du E propose une signification concrète, la pulpe. Titre hybride, l’exposition présentera plusieurs états : des scénarios, des éléments de décors, des films. Les formes populaires et folkloriques reprises et dessinées par Benjamin Hochart dépasseront le cadre de la feuille de papier et le Drawing Lab deviendra le théâtre d’une narration inédite dont le spectateur viendra en activer les divers scénarios.

Présentation de l'exposition — Benjamin Hochart

🪸 Pour ce premier podcast de la série Admiratio, c'est la commissaire d'exposition, Anne de Malleray, qui vous présente l'exposition.

Bonne écoute ! 👂

Vue de l'exposition Admiratio, Noémie Sauve au Drawing Lab © Nicolas Brasseur

Présentation de l’exposition — Anne de Malleray

🌋Pour ce troisième podcast de la série Admiratio, Noémie Sauve nous parle de l'expédition sur l'île Vulcano, une île volcanique au sein de l'archipel des îles éoliennes.

Bonne écoute ! 👂

Vue de l'exposition Admiratio, Noémie Sauve au Drawing Lab © Nicolas Brasseur

L'expédition Vulcano — Noémie Sauve

🪸 Pour ce quatrième podcast, l'artiste Noémie Sauve vous explique tout sur la galvanoplastie, une technique que l'on retrouve beaucoup dans sa pratique artistique !

Bonne écoute ! 👂

Vue de l'exposition Admiratio, Noémie Sauve au Drawing Lab © Nicolas Brasseur

La technique de la galvanoplastie — Noémie Sauve

Revivez la seconde rencontre de l'exposition Admiratio de Noémie Sauve.
Un dialogue entre l'artiste Noémie Sauve , la commissaire d'exposition Anne de Malleray et Joshua De Paiva sur l’enjeu qu’il y a de tenir ensemble, curiosité scientifique et expérience sensible ; et du rôle possible de l’art et de l’expérience esthétique dans le contexte d’une crise de nos relations au vivant.

Noémie Sauve, Un protocole se base sur des colonies évolutives mobilisées, 2018, Tara Pacific, 9 x 14 cm, cuivre, argent, stylo et crayon. Courtesy de l’artiste © Katrin Backes

Admiratio — Rencontre 2 " L'art de faire connaissance "

Revivez la première rencontre de l'exposition Admiratio de Noémie Sauve.
Une discussion entre l'artiste Noémie Sauve , la commissaire d'exposition Anne de Malleray et Sophie Pène.
Cette discussion est un partage sur la vision d’une pratique artistique ancrée sur des terrains d’enquêtes ainsi que le rapport entre la nature et la création.

Noémie Sauve, Transformation des formes organiques vers des formes pratiques pour l’entretien, 2018, 14,8 x 21 cm, électrolyse de cuivre et crayon sur papier. Courtesy de l’artiste © Katrin Backes

Admiratio — Rencontre 1 " Du terrain à l'atelier : la fabrique des oeuvres "

🧌Pour ce premier podcast autour de l'exposition Abat-Carrages au Drawing Hotel, l'artiste Cécile Guettier nous parle de son parcours et de sa pratique artistique.

Bonne écoute !

Présentation — Cécile Guettier

🦫 Pour le premier podcast de l'exposition "Le temps profond des rivières" de Suzanne Husky, l'artiste nous explique l'origine et la signification de ce titre.

Bonne écoute 👂

Vue d'exposition / View of the exhibition Le temps profond des rivières, Suzanne Husky au Drawing Lab © Nicolas Brasseur.

Le titre "Le temps profond des rivières" — Suzanne Husky

🦫 Dans ce second podcast de l'exposition "Le temps profond des rivières", l'artiste Suzanne Husky nous explique l'origine et l'importance de sa collaboration avec Baptiste Morizot pour cette exposition. 

Bonne écoute ! 👂

La collaboration avec Baptiste Morizot — Suzanne Husky

🧌 Dans ce troisième podcast sur l'exposition "Abat-Carrages" de Cécile Guettier au Drawing Hotel, l'artiste nous parle de la série des 10 petits formats présents au sein de l'exposition. 

👂Bonne écoute !

La série des 10 petits formats — Cécile Guettier

🧌Second podcast autour de l'exposition Abat-Carrages de Cécile Guettier au Drawing Hôtel !
Dans cet épisode l'artiste nous parle des inspirations de ces tableaux, et en particulier des deux grands formats présents à l'hôtel.

👂Bonne écoute !

Les grands formats — Cécile Guettier

🦫Troisième podcast de l'exposition "Le temps profond des rivières" de Suzanne Husky. Dans cet épisode l'artiste nous parle de la frise chronologique de plus de 7 mètres, oeuvre centrale de l'exposition.

Bonne écoute 👂

Vue d'exposition / View of the exhibition Le temps profond des rivières, Suzanne Husky au Drawing Lab © Nicolas Brasseur.

La frise chronologique — Suzanne Husky

🦫 Focus sur le film "Le son d'une nouvelle cascade" présent dans l'exposition de Suzanne Husky au Drawing Lab "Le temps profond des rivières".

Bonne écoute ! 👂

Le son d'une nouvelle cascade — Suzanne Husky

Étymologiquement dessein et dessin ne sont qu’un seul et même mot, dérivé de l’italien disegno. Jusqu’au XVIIe siècle, il désigne sans distinction, le projet et l’intention qui, parfois, s’incarnent par le trait pour mieux en révéler la portée. « Un feu qu’illumine l’entendement, échauffe la volonté, fortifie la mémoire, épure les esprits, pour pénétrer dans l’imagination », telle est la description que fait Michel Anguier du grand dessein devant l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1677. 
Un grand dessein, c’est précisément ce qui guide le pinceau de Suzanne Husky. Ses aquarelles diluées aux eaux de source n’ont qu’un objectif : faire renaître le visage oublié des rivières en bonne santé, des milles et une espèces en déclin qui peuplent d’ordinaire son écosystème, et raviver notre lien originel à la zone humide.
La peinture occidentale a longtemps contribué à véhiculer une image simplifiée de la nature rendue à l’état de paysage ; une nature contrôlée et commensurable à l’homme, qui le plus souvent, incarne, dans ses explosions dramatiques de couleur et de formes, les états d’âmes des personnages qu’elle abrite et le roman de leurs conquêtes sur leur environnement, plus que la complexité de la nature elle-même. Quelle est donc la responsabilité des artistes dans nos représentations simplifiées des cours d’eau ? Comment l’art peut-il aujourd’hui être un agent de transformation de cette perception ?

Lauranne Germond
Commissaire de l'exposition "Le temps profond des rivières" de Suzanne Husky

Le Son D'une Nouvelle Cascade — Suzanne Husky

Étymologiquement dessein et dessin ne sont qu’un seul et même mot, dérivé de l’italien disegno.
Jusqu’au XVIIe siècle, il désigne sans distinction, le projet et l’intention qui, parfois, s’incarnent par le trait pour mieux en révéler la portée. « Un feu qu’illumine l’entendement, échauffe la volonté, fortifie la mémoire, épure les esprits, pour pénétrer dans l’imagination », telle est la description que fait Michel Anguier du grand dessein devant l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1677. Un grand dessein, c’est précisément ce qui guide le pinceau de Suzanne Husky. Ses aquarelles diluées aux eaux de source n’ont qu’un objectif : faire renaître le visage oublié des rivières en bonne santé, des milles et une espèces en déclin qui peuplent d’ordinaire son écosystème, et raviver notre lien originel à la zone humide.
La peinture occidentale a longtemps contribué à véhiculer une image simplifiée de la nature rendue à l’état de paysage ; une nature contrôlée et commensurable à l’homme, qui le plus souvent, incarne, dans ses explosions dramatiques de couleur et de formes, les états d’âmes des personnages qu’elle abrite et le roman de leurs conquêtes sur leur environnement, plus que la complexité de la nature elle-même. Quelle est donc la responsabilité des artistes dans nos représentations simplifiées des cours d’eau ? Comment l’art peut-il aujourd’hui être un agent de transformation de cette perception ?

Lauranne Germond
Commissaire de l'exposition

La Frise — Suzanne Husky

La Collaboration Avec Baptiste Morizot — Suzanne Husky

En latin, le mot admiratio désignait une forme d’émerveillement mêlée d’étonnement, point de départ, selon Aristote, de toute enquête philosophique. Aujourd’hui, le terme français a perdu ce double sens. L’émerveillement, associé à la naïveté et à l’enfance, est ainsi communément opposé à l’observation scientifique et au désir de connaissance. N’est-ce pas pourtant cet affect qui pousse certains humains à se passionner pour l’étude des milieux naturels et des autres vivants ? 
L’inspiration, pour Noémie Sauve, commence toujours au contact d’un terrain. Cette exposition présente des oeuvres issues de deux expéditions scientifiques - Tara (2017) et Vulcano (2021). Sur place, l’artiste collecte des données, des échantillons, des couleurs et des formes. De retour à l’atelier, elle explore des formats et des techniques multiples, entre dessin, sculpture et réactions chimiques des matériaux, cherchant à restituer les mondes invisibles et menacés des coraux ou encore l’incandescence d’une pierre volcanique.
La pratique artistique de Noémie Sauve est mue par une forme d’admiratio, de curiosité partagée avec les scientifiques rencontrés sur le terrain. Naviguant librement et sans hiérarchie entre les registres naturaliste et fantastique, elle crée des oeuvres qui, sur le mode de l’analogie et du détournement, nous invitent à à notre tour à l’émerveillement et à l’enquête.

Anne de Malleray
Commissaire de l'exposition

Rencontre 2 — L'art de faire connaissance

Rencontre 1  — Du terrain à l'atelier : la fabrique des oeuvres

Les obsidiennes — Noémie Sauve

L'expédition Tara Pacific — Noémie Sauve

Présentation de l'exposition — Anne de Malleray

🌸 Le premier podcast autour la nouvelle exposition "Ser uma mistura, um desenho, um desejo" de l'artiste Efe Godoy est déjà disponible !

Dans cet épisode, découvrez la présentation de l’exposition par Gaëlle Porte de l'association Thanks for nothing, partenaire du nouveau programme de résidence SAM Art Projects.

Vue d’exposition / View of the exhibition Ser uma mistura, um desenho, um desejo, d’Efe Godoy au Drawing Lab dans le cadre du nouveau programme de résidence SAM Art Projects x Thanks for Nothing © Florence Moncenis

Présentation de l'exposition — Gaëlle Porte de Thanks for Nothing

🎙️Second podcast autour de l’exposition de l’artiste Efe Godoy ! 
Dans cet épisode, l’artiste nous explique l’origine du titre « Ser uma mistura, um desenho, um desejo » (Être un mélange, un dessin, un désir).

Bonne écoute ! 🌷👂

Explication du titre— Efe Godoy

🎙️Troisième podcast autour de l'exposition "Ser uma mistura, um desenho, um desejo" d'Efe Godoy.
Dans cet épisode, découvrez la directrice général et co-fondatrice de Thanks for Nothing, Marine Van Schoonbeek, qui nous parle de l’association et de leurs actions.

👂Bonne écoute !

Vue d’exposition /View of the exhibition Ser uma mistura, um desenho, um desejo, d’Efe Godoy au Drawing Lab dans le cadre du nouveau programme de résidence /as part of the new residency program of SAM Art Projects x Thanks for Nothing ©️ Florence Moncenis

Présentation de Thanks for Nothing — Marine Van Schoonbeek

🎀 Dernier podcast autour l’exposition d’Efe Godoy au Drawing Lab. Dans ce quatrième épisode on vous propose de découvrir l’association Sam Art project et le programme de résidence organisé en collaboration avec Thanks for Nothing.

Bonne écoute ! 👂

Le nouveau programme de résidence — Marine Van Schoobeek

🌸 L’exposition "Ser uma mistura, um desenho, um desejo" (Être un mélange, un dessin, un désir) nait du désir du mélange, de la volonté des rencontres, des natures et des sentiments ordinaires qui nous traversent. Quel est votre animal préféré ? Pourquoi étreint-on un objet en pensant à quelqu'un ? Qu'est-ce qui motive notre volonté de construire des souvenirs sur cette planète ? À travers le dessin, Efe Godoy tente d'établir un monde fantastique où toute existence est véritablement possible et enchantée. À cette occasion, l’artiste réalisera notamment une oeuvre in situ en collaboration avec les publics du Drawing Lab. Efe Godoy proposera aux visiteurs de venir déposer au sein de l’exposition un objet à valeur émotionnelle mais qu'i•els ne souhaitent plus garder. Le fruit de cette collecte sera offert à Emmaüs solidarité.

Présentation De L'exposition — Gaelle Porte

Explication Du Titre— Efe Godoy

Présentation De Thanks For Nothing — Marine Van Schoobeek

Le Résidence — Marine Van Schoobeek

La Montagne Sacrée par Antoine Marquis

Drawing Lab Paris est le centre d'art privé dédié au dessin contemporain situé au 17 rue de Richelieu 75001 Paris. Écoutez et vibrez au rythme de la création !

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