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The Way I Are - Timbaland

“Saturn Sister” is an inspirational soulful pop track produced and written by Be Read, channeling the Saturn transit as a cosmic call to spiritual rising and elevating life's game. Soul-stirring vocals glide over uplifting grooves, urging listeners to shed old weights during this astrological rite of passage for profound personal rebirth. It's a radiant anthem of empowerment, transforming planetary trials into triumphs of growth and higher purpose.

Saturn Sister

Endless August is ten songs that refuse to let summer die.
It’s the feeling of warm teak under bare feet at 2AM, the taste of coconut rum and lime on a moving car’s wind the hush when the bar locks its doors but the music keeps breathing.

Golden-hour sunsets bleeding into porch-light worship, saltwater beds, backyard hammocks, ice melting slower than time itself this album is every perfect, suspended moment you never want to end

Smooth R&B and coastal neo-soul soaked in salt air late-night confessions and the kind of love that makes September irrelevant.

Press play once and August stays forever

Coconut & Lime

(Verse 1)
J’ai toujours rêvé d’être riche,
Pas pour briller mais pour souffler.
Si tu demandes à ma famille, ils diront vanité,
Mais s’ils creusaient un peu, ils verraient que c’est pas l’avidité,
C’est juste le manque d’air, le besoin d’exister.
Y a des murs qui se dressent,
Et même l’espoir, j’peux pas le payer.
(Pre-Chorus)
Cherchez donc la vanité,
Elle aussi, coincée derrière les regrets.
J’fais semblant d’aller bien,
Mais j’me perds dans mes pensées.
Chaque matin, chaque dîner,
Dans ma tête, c’est un bal masqué.
Colère ou tristesse — je sais pas qui me fait tomber,
Mais je sais qu’ici, je peux plus respirer.
(Chorus)
Ça fait vingt-deux fois que j’me relève,
Vingt-deux fois que j’me perds.
J’assemble mes rêves en morceaux de verre.
Et si tout casse, au moins j’peux dire que j’essaie.
Vingt-deux fois que j’me plante,
Mais j’continue, je chante.
Mes racines m’enchaînent, mes peurs me retiennent,
Et pourtant j’avance dans la boue de mes regrets.
(Verse 2)
Certains naissent avec du talent,
Moi j’suis né avec du bruit.
Ma famille à mes pieds,
Des boulets qui me crient “fuis”.
La maison, c’est pas un foyer,
C’est un pénitencier qu’on décore pour oublier.
Et mes amis ? Des reflets —
Qui s’effacent dès que j’vais couler.
(Pre-Chorus)
J’aimerais chanter, j’aimerais danser, j’aimerais briller,
Mais on m’traite de mégalo dès que j’ose respirer.
Même ma famille m’voit pas, j’essaie de combler,
De chercher la paix dans ce qu’ils ont creusé.
J’me méfie de moi, j’me méfie des autres,
Même les “bonjour” sonnent faux.
J’me dis qu’un jour faut s’réveiller,
Mais moi j’veux juste dormir sans penser.
(Chorus)
Ça fait vingt-deux fois que j’me relève,
Vingt-deux fois que j’me perds.
J’assemble mes rêves en morceaux de verre.
Et si tout casse, au moins j’peux dire que j’essaie.
Vingt-deux fois que j’me plante,
Mais j’continue, je chante.
Mes racines m’enchaînent, mes peurs me retiennent,
Et pourtant j’avance dans la boue de mes regrets.
(Bridge – version retravaillée)
J’juge ceux qui dorment sur leurs ailes,
Alors qu’ils pourraient voler.
Moi j’crame mes plumes dans le ciel,
Juste pour me rappeler que j’sais rêver.
J’voudrais qu’on m’voit, j’voudrais qu’on m’aime,
Même si c’est qu’un mirage ou un système.
Qu’on m’regarde pas pour m’utiliser,
Mais pour comprendre tout c’que j’ai crié.
J’veux pas la gloire, j’veux pas régner,
J’veux juste qu’ma voix soit pas noyée.
Qu’on m’laisse jouer, rire, danser —
Même si j’suis qu’un pion, j’veux avancer.
C’est pour ça qu’ceux qui disent que l’argent fait pas l’bonheur,
Ont jamais eu d’souffrance à racheter,
Ni d’rêves à reconstruire sous la sueur,
Ni d’nuits à pleurer pour exister.
(Chorus / Outro)
Ça fait vingt-deux fois que j’me relève,
Vingt-deux fois que j’me perds.
J’assemble mes rêves en morceaux de verre.
Et si tout casse, au moins j’peux dire que j’essaie.
Vingt-deux fois que j’me plante,
Mais j’continue, je chante.
Mes racines m’enchaînent, mes peurs me retiennent,
Et pourtant j’avance dans la boue de mes regrets.
(Post-Chorus)
Vingt-deux fois que j’crie,
Vingt-deux ans à m’battre pour une vie.
J’me noie dans l’encre et la nuit,
Mais chaque note me relève un peu d’ici.
Vingt-deux fois qu’j’appelle à l’aide,
Vingt-deux fois qu’on passe devant moi.
Mais j’continue d’écrire, encore et encore,
Parce que c’est ma douleur qui me donne ma voix.

22 fois

The Bridge

Give It To Me Right

PILLOWTALK REMIX

PILLOWTALK REMIX (feat. Lil Wayne)

Sitting by Heaven's Door

Damn I Wanna Be Your Lover

You Don't Own Me

You Don't Own Me (feat. G-Eazy)

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