FLooDS - Blasphème

J'suis prisonnier entre mes prières et mes blasphèmes...
Figer par l'envie d'y retrouver mon bonheur dans ma peine...
Mais je voudrais simplement, contempler s'émonde autrement...
Juste sans toute cette amertume qui coule dans mon sang....

Alors j'ai écrit et j'écris à en perdre mes mots...
Parce que mais écrit ne s'entendent même pas là-haut...
Et t'sais quoi, t'façon on l'avais dit il y a longtemps...
Que Dieu avait fait l'homme à son image donc je comprends....

Tout con et identique dans l'illusion d'une différence...
À vouloir vivre, tout juste devenu des âmes errantes...
J'ai cru un jour toucher au bonheur, mais à chaque fois y s 'casse...
T'façon c'est qu'un bastringue son doit être pour sa qui s 'cache....

Noyer dans mes larmes des sangs à contempler nos erreurs...
À avoir cru que l'ont nous aideraient alors qu'on pleure de l'intérieur...
Entre essayer d'comprendre s'que j'suis ou commencer à écrire...
Dans ma tête on est tous des stéréotypes, donc laissez-moi rire....

Sur le fond du tableau, entre les anticonformistes...
Au premier plan au bord de l'eau, derrière les hypocrites...
À gauche l'égocentrisme de ceux qui s'éprenne pour des artistes...
Alors qu'à droite, le fascisme et tous ses amis raciste...




Mais au fond d'trop pensé, fait bien plus de mal que tu ne l'croit...
Et même s je l'voudrais, à personne je n'souhaiterais ça...
J'ai beau rêver d'avenir, à l'abordage du devenir...
Finalement je sais qu'sa pourrait pas vraiment être pire....

À essayer de croire en l'homme, moi j'en aurais perdu la foie...
Et même si j'aimerai m'privilégier, ma conscience me l'interdira...
À tellement vouloir croire que certaines personnes différentes...
On en paye tout le prix, ouai... Sans vouloir être méchant....

Alors moi j'écris, par diarrhée verbale sous incontinence...
Et si vous croyez l 'contraire, j'pense qu'vous êtes dans l'inconscience...
Face à un monde d'adultère, où tout l'émonde s'encule gentiment...
Moi je vous demanderai juste de me laisser écrire gentiment....

Car t'façon le temps passe et finira par s'arrêter... 
Vous n'interromprez malheureusement jamais son sablier...
Donc je profiterai d'mes dernières secondes pour vous dire...
Ce fait toujours plus mal d'regretter que de n'avoir jamais essayer d 'réussir....

Comme un regret dans l'âme, à y penser de nouveau...
Comme avec le recul, sans pouvoir y trouver ce qui était beau...
Comme si ça ne suffisait pas, j'aimerais trouver l'remède à mes mots...
Mais je n'suis pas magicien, juste un musicien de mes doigts de pied, au micro....



Pont



Seuls à penser le présent, lorsque les autres le prétendent...
À regarder défiler le temps sur leurs photos d'ignorant...
Solitaire face à s'monde, lorsque sur nous la nuit est tombée...
Car c'est l'seul, pouvant détruire nos rêves et nous les faire oublier.... 

À part le mensonge, je vois que la douleur est partout...
Sur une toile qui en aura perdu toutes ses couleurs du coup...
Prendre une posca pour y sublimer d'tags nos erreurs à tous...
Ou continuer sur ce chemin, et accepter notre dégoût...

Car y'a comme un gout de pisse à l'échelle mondiale...
Comme si y'avai juste un fond de haine au niveau globale...
Donc si mes mots sont trop violents, ou qu'il te fond réagir...
Comprends bien que j'suis comme ça parce qu’ils nous ont pris notre avenir....

Alors une pensée pour eux, entrain plongé dans leur rêve...
J'aurais aimé me noyer dans les miens, raréfier d'inuits si brèves...
On apprend tous à s'connaitre, personne ne prévoit le futur...
Pour finir par s'en remettre, à s'qu'on a raté et s'qui nous tue....

Moi j'm'appel floods, mais j'aurais vraiment aimé m'appeler conscience...
Pas vraiment une star, après tout, la musique n'est pas une science...
Donc dite ce que vous voulez, car moi je ais pas sa pour la tune...
Dans mon monde des poètes partout, entre la lame d'rasoir et la plume....

Blaspheme ( Album Version )


Depuis que j'ai oublié le gout de tes lèvres
Sur les flows, je navigue sans jamais m'arrêter
J'écume mon âme, espérant toucher terre
Ma plume plane, suis-je entrain de rêver ?!

Les mots courts, et s'envolent à l'arracher
Dansent sur l'air, cherchant à ce qu'on les entendent
Comme ce qu'on ne dis pas, était juste un messager
Devenu sourd, qui se rappelle de tout ce qu'il attend

J'imagine que sécheront un jour nos larmes
Que nous redevenions poussière, avec le temps 
Sur ses paysages qu'il balaye, car il est une arme
Et au final, je crois que ce n'était que du vent

Refrain:
Je l'entends encore qui doucement souffle
Mais j'ai fini de croire en ce qu'il murmurait
Ma tête n'admettra plus que mon coeur souffre
Car des histoires, j'en connais maintenant des milliers  

J'en ai trop entendu, je sais pas si j'étouffe
Mais j'ai fini de croire en ce qu'il murmurait
Ma tête n'admettra pas que mon coeur souffre
Car des histoires, on m'en aura trop raconté

Couplet 2:
Si, si, si... Avec si, moi j'aurais déjà refait le monde
Serait parti sur la lune pour prendre du recul
Je n'ai pas vraiment envie de rentrer dans la ronde
Et d'avoir fait ça pour mieux sauter serait ridicule

Pendant la chute je pourrais peut-être revoir ma vie
Me rappeler le must de tous mes souvenirs
Mais quoi bon vu tous les conneries qu'on m'a dites
Je préfère vivre mes rêves que rêver de pouvoir les vivre

Fermons les yeux, sur le battement d'ailes que nous sommes
Les papillons sont éphémères comme le présent
L'importance est dans chaque mouvement d'air qui forme
Ce que tous ensemble on forme, et que j'appelle le vent


FLooDS - Ce n'était que du vent - Maks

FLooDS - Cacher parmi les cendres

J'allume à ma bouche, de part cette flamme qui danse...
Le sourire à la croche, sans arrières pensées qui démange…
Un déclic louche, juste un être plonger dans l'étrange...
De mes doigts à mes dires, laissant ses pensée qui s'élance...

L'étincelle qui court au gaz, pour une explosion contrôler...
Comme la vérité sans fondement, a croire sans rien d'mander...
Un filet d'fumée s'échappant vers le ciel à jamais...
Comme un jour sans lendemain, ou un juste tel sans forfait...

On s'égarera cherchant la chaleur d'un doux matin d'août...
Attendant le retour d'un paysagea sous soleil sans doute...
Pt'etre que la vie est faite d'moments qu'ils faut chérir…
Malheureusement les meilleurs sont les plus court, s'la vas s'en dire...

Nous garderont toutes ces images, s'évaporant chaque été...
Le temps par en vrille t'façon, les jours, les mois et années...
Comme des accro à leurs dose, cherchant leurs premier fix...
Espérant r'trouver s'qui les animaient, sans que tout ne finissent...



Etre là, assis, quelque part, à remercier le temps...
A prendre conscience de s'qu'il vaut, de c’qu'était ses bons moments...
Où est la folie, la passion, l'insouciance d'être enfants...
Préserve la tienne, des regrets à la conscience sur défilé du temps...

Comme tous, perdu dans mes souvenirs, a faire les 100 pas...
Pas loin dans l'ombre, pourquoi parler lorsque l'on te traduit pas...
J'essaye de comprendre prisonnier d'une migraine globale t'étonne pas...
La vague de paroles est de retour pour quelques strophes, écoute ça...

Le message est lancer à vos oreilles et il décollent...
Préfère penser par toi même et constater, tout s'qui déconnes…
Comment il font, les regardant, j'préfère parfois marcher seule...
Sa vas peut-être pas voyager loin, mais j’m’en fout j'pars avec ma feuille...

Le paradis et l'enfer ce mêle, entre l'ombre et la lumière...
Prisonnier de nos rêves, l'inconscience décide donc du réel...
Attendre à croire que l'passer remplacera un jour l'avenir...
J'ai essayer d'y croire, fallait bien que j’me tire…

( Maks solo )

Demande toi comment, font ces gens si fantastiques…
Qui s'imagines être, le fondement de la logique... 
J'laisse le destin, écrire ce qu'il veut sur nos vies...
Et j'men tape de l'euro, du dollar ou du profit...

Certains accèdent au bonheur par conviction ou gratuité...
Moi j'me demande bien s'que j’ai fait pour le mérité...
Au final je garde son chemin en moi comme un hérétique...
La trace d'un ange en enfer où il m'arrive que je m’édite...

Sacrifier pour quoi, pour qui...
Surement tous les oublier et leurs espoirs...
Forcément des hypocrites, d'avoir pu un jour les aimé... 
J'ai trop tourner en rond, dans un monde bien trop carré...
Plus jamais je ne veux croire en tous ses maux... 

Plus jamais je ne veux croire en tous ses maux... 
Plutôt se planter sans crainte, de la nuque au bas du dos... 
Peut-être qu'on cours tous après des illusions...
Mais l'ombre du doute elle, ne disparaîtrai qu'à l'aube...

( Julian solo )

FLooDS - Alx - Parmi Les Cendres - Maks - Julian (Épinal/Paris)

FLooDS - Blasphème ( Acoustic Live Test HD )

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FLooDS - Blasphème ( Acoustique Live )

FLooDS - Elle était ( Acoustic Live Hd  )

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FLooDS - Elle était ( Acoustique Live )

FLooDS - Où sont les étoiles ( Acoustic Live Hd  )

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FLooDS - Ou sont les étoiles ( Acoustique Live )

Texte:
Une feuille délicatement posée sur mon bureau...
Quelques phrases qui s'entrechoquaient dans mon cerveau...
Un crayon dans ma main, comme si j'étais son bourreau...
Ça vas douiller, si elle ne suffit pas, j'utiliserai l'tableau...

Je vais la tatouer à l'encre, la lyncher de mon plumeau...
Cartoon de vérité, ou simple dessin encadré dans un tableau...
Un origami de sincérité, prisonnièr d'un tombeau...
Ou un simple collage 3 feuilles qui s'oublieraient sur un flow...

Comme un marqueur indélébile, moi j'suis waterproof...
J'écris juste des textes, j'ai pas d'cœur, et j'résiste aux poufs...
Et oui t'façon, j'ai découvert comment jouir avec mes doigts...
J'vie dans mes pensées, pas besoin d'toutes d'ses connerie la...

Parce que si tu penches l'oreille, tu décroches et vibre...
Comme si tu avais des narines Jagger, toutes remplies d'farine...
Au fond, j'ai jamais cru que l'homme me comprendrait...
Appart Einstein, avec son sourire à la con, st 'enfoirer....

Mais bon j'viens d'me lever donc faut comprendre que j'déconne...
Surtout qu't'es toute froisser et putin t'as vu t'as gueule...
À force de tourner en rond, j'ai mis de l'encre partout...
Comme ce gouvernement à la con, mensonge, censure, et dégoût...

Prendre un micro, y aller au yaourt ou la langue de bois...
J'ai essayé de comprendre le système, mais n'y rentrerai pas...
Histoire que ceux qui les écoutent, finissent avec la gueule de bois...
Pyrogravure cérébrale, au fond de nos crânes, comme l'ACTA....

Après avoir pris le contrôle de la planète, des mers, et de l'espace...
Autour d'internet, de nos données, effacer sans laisser d'traces...
L'Actimel de l'internet, protégeant les artistes contre les pirates...
Une loi à la con ayant tout supprimé, pour épier tous nos actes....

J'préférerais déchirer ma feuille, que d'leurs refaire confiance...
Parce qu'avec moi elle n'est pas en sécurité, vu tout s'que je chante...
Faut bien que certains crient tout fort ce que tout le monde pense tout bas...
Même si tu'as mère saute, ça payera pas mes droits....

À savoir qu'tout passe bien vite, argumenté par trop d'vice...
Qu'aux portes du succès, j'reste déchiré par tellement d'souvenirs...
Comme quand je prends ma voiture, et que je décolle juste un instant...
Comme si ma Delorean après 80 miles me faisait remonter l'temps...

Lorsque je me suis arrêté, juste quelques secondes...
En plein milieu d'une rue et je me suis interrogé...
Je sais vraiment pas pourquoi la terre est ronde...
Mais j'sais déjà qu'elle tourne bien trop vite sans jamais changer...

Car même si tout bouge, et malgré tout s'moove, qui fou l'blouze...
Certain trouve, même à bout d'soufle l'envie d'avancer...
C'est que malgré les coup, continuent certain fou...
Qui comme nous, sans arrêt, veulent toujours, tout juste partager...

L'ouverture d'esprit de ce monde reste critique...
Chacun pense à sa façon, sans raison, ni éthique...
Alors je raconte mes histoires, sur quelques phases sales...
Sans prévaloir, l'interprétation régnant dans vos cranes...

Comme si hier, méritait plus d'attention qu'un lendemain...
Comme si une musique n'existait qu'en se répétant dans un refrain...
On parait tous ouverts, avec nos sourires à la demande...
Mc smyle, sans vouloir me moquer en ricanant.... 

FLooDS - J'frappe ma feuille - Bass

(17.09.21) Nouvelles musiques disponibles sur:
https://audius.co/floods

"Perdu dans les allées de ce monde je cherche mon chemin...
Vogue du rire à la larme, et du passer au lendemain...
Comme un texte sans début, où il ne peut y avoir de fin...
Ou une ombre de pensée, égarer sur musiques sans refrain..."

Youtube channel:
https://www.youtube.com/channel/UCPeUEo16PhkjYxITjIGJ3IQ

Compositeur / interprète, comme un mélange de poésie sur un fond de vérités (Influence: Damien Saez, Grand Corp Malade, Kény Akarana...).

"À vous que revient la décision de venir vous perdre dans mes pensées... +_O"



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FLooDS +_0"

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