Salutations!

Me revoilà avec "The Zebre" (beats) Dix mois et demi mois de travail exactement ...
Je suis dans la musique depuis tout petit et j'ai toujours autant de plaisir à en faire, si ce n'est,
de plus en plus.
Je pense que pour bien avancer, il faut toujours garder "l'esprit du débutant" car les personnes qui
prétendent avoir tout pondu doivent profondément s'ennuyer maintenant qu'ils croient avoir tout fait.
J'aime quand le travail d'un artiste me fait dire, là je ne peux vraiment pas rivaliser...
Et puis je n'trouve pas ça intéressant de se comparer, on est déjà énormément dans la culture de la compétition de l'école à la retraite ...
Ce n'est pas une mauvaise chose si cela nous pousse à nous surpasser mais si l'objectif pour certains est d'écraser l'autre pour parvenir à quelque chose de plus fort, ça devient malsain.
Si il faut comparer ou plutôt faire de la métaphore je me compare à un Zebre sur cet album parce que je pense que je n'ai pas une seule couleur en matière d'influence ...
Je suis un blanc qui est influencé pas la musique de tous les horizons et en ce moment, plus particulièrement "les musiques noires", tout comme le zèbre est blanc et noir j'ai plus d'une couleur musicale...
Là, depuis que j'ai recommencé le chant j'éprouve des difficultés dans les aigus et puis la grosse voix un peu ragga aussi mais ça m'oriente sur autre chose...
Rien à voir avec ça mais J'aime bien préparer pleins d'amorces d'instrumentales et puis, revenir travailler celles qui me plaisent le plus ...
Pour les textes J'aime bien écrire une idée ... puis une autre ... puis plein d'autres et puis jouer au puzzle avec tout ça après... construire un maximum de cohérence, prendre le travail au sérieux sans se prendre soi-même au
sérieux car, le style musical, c'est un petit élément dans la musique, la musique, c'est un petit élément dans l'art et l'art, c'est un petit élément de la vie. C'est juste, et quand on réalise ça, ça fait vraiment prendre de la distance. (c'est Daniel Humair qui a dit quelque chose de semblable)
Ceux qui sont empreints de prétention devraient méditer ça.
Je n'ai pas encore terminé de parfaire les enregistrements des voix pour la version non instrumentale ...
Le bébé n'est pas terminé mais je suis en chantier de faire sa co-naissance.
Vu que nous sommes dans les idées ... J'ai vu une image sur la page Facebook de Nai Palm où il était inscrit
en 3 lettres F.L.Y pour "First Love Yourself" ce qui signifie "Aime toi d'abord", même si nous ne décidons, je suis entièrement d'accord avec cette façon de voir les choses car quelqu'un qui ne s'apprécie pas éprouvera
des difficultés à aimer les autres... Il en va de même pour mon travail musical ...
Je me fais plaisir et si d'autres personnes écoutent et apprécient mes travaux alors ce plaisir est partagé...
j'ignore ce qu'on attend de moi, j'ignore même si on attend de moi quelque chose artistiquement car à en croire Facebook, YouTube, Soundcloud et Bandcamp, je suis vraiment très peu écouté ...
Mais ce n'est pas important à mon sens ...
Pierre De Coubertin disait "l'essentiel c'est de participer" je rajouterai que l'important c'est de se faire
plaisir ... Et au delà de ça l'important, c'est l'amour.
Une dernière chose, l'outro est un hommage à tous mes défunts, amis, mais également famille et mes animaux partis au ciel aussi ... Des bisous à eux, des bisous à vous !
Merci d'avoir écouté "The Zebre" (beats) et tant mieux si vous l'avez apprécié, c'est une grande joie que de refaire de la composition musicale!
Portez vous au mieux !

Fonz

The Zebre (beats)

Outro

The Zebre (version requiem)

Brouillon

Salutations!

Me revoilà avec "The Zebre" (beats) Dix mois et demi de travail exactement ...
Je suis dans la musique depuis tout petit et j'ai toujours autant de plaisir à en faire, si ce n'est,
de plus en plus.
Je pense que pour bien avancer, il faut toujours garder "l'esprit du débutant" car les personnes qui
prétendent avoir tout pondu doivent profondément s'ennuyer maintenant qu'ils croient avoir tout fait.
J'aime quand le travail d'un artiste me fait dire, là je ne peux vraiment pas rivaliser...
Et puis je n'trouve pas ça intéressant de se comparer, on est déjà énormément dans la culture de la compétition de l'école à la retraite ...
Ce n'est pas une mauvaise chose si cela nous pousse à nous surpasser mais si l'objectif pour certains est d'écraser l'autre pour parvenir à quelque chose de plus fort, ça devient malsain.
Si il faut comparer ou plutôt faire de la métaphore je me compare à un Zebre sur cet album parce que je pense que je n'ai pas une seule couleur en matière d'influence ...
Je suis un blanc qui est influencé pas la musique de tous les horizons et en ce moment, plus particulièrement "les musiques noires", tout comme le zèbre est blanc et noir j'ai plus d'une couleur musicale...
Là, depuis que j'ai recommencé le chant j'éprouve des difficultés dans les aigus et puis la grosse voix un peu ragga aussi mais ça m'oriente sur autre chose...
Rien à voir avec ça mais J'aime bien préparer pleins d'amorces d'instrumentales et puis, revenir travailler celles qui me plaisent le plus ...
Pour les textes J'aime bien écrire une idée ... puis une autre ... puis plein d'autres et puis jouer au puzzle avec tout ça après... construire un maximum de cohérence, prendre le travail au sérieux sans se prendre soi-même au
sérieux car, le style musical, c'est un petit élément dans la musique, la musique, c'est un petit élément dans l'art et l'art, c'est un petit élément de la vie. C'est juste, et quand on réalise ça, ça fait vraiment prendre de la distance. (c'est Daniel Humair qui a dit quelque chose de semblable)
Ceux qui sont empreints de prétention devraient méditer ça.
Je n'ai pas encore terminé de parfaire les enregistrements des voix pour la version non instrumentale ...
Le bébé n'est pas terminé mais je suis en chantier de faire sa co-naissance.
Vu que nous sommes dans les idées ... J'ai vu une image sur la page Facebook de Nai Palm où il était inscrit
en 3 lettres F.L.Y pour "First Love Yourself" ce qui signifie "Aime toi d'abord", même si nous ne décidons, je suis entièrement d'accord avec cette façon de voir les choses car quelqu'un qui ne s'apprécie pas éprouvera
des difficultés à aimer les autres... Il en va de même pour mon travail musical ...
Je me fais plaisir et si d'autres personnes écoutent et apprécient mes travaux alors ce plaisir est partagé...
j'ignore ce qu'on attend de moi, j'ignore même si on attend de moi quelque chose artistiquement car à en croire Facebook, YouTube, Soundcloud et Bandcamp, je suis vraiment très peu écouté ...
Mais ce n'est pas important à mon sens ...
Pierre De Coubertin disait "l'essentiel c'est de participer" je rajouterai que l'important c'est de se faire
plaisir ... Et au delà de ça l'important, c'est l'amour.
Une dernière chose, l'outro est un hommage à tous mes défunts, amis, mais également famille et mes animaux partis au ciel aussi ... Des bisous à eux, des bisous à vous !
Merci d'avoir écouté "The Zebre" (beats) et tant mieux si vous l'avez apprécié, c'est une grande joie que de refaire de la composition musicale!
Portez vous au mieux !

Fonz

Meet The Australian Vibe

Mama's L♥ve - Oh Mama

Beyond Daddy

Mes Champions

Mon FrèRrr - Beatbox

Viens là mon FrèRrr - Tony & Geoffrey

Renaissance

Gemini

The Zebre - Black & White

XIX.VI.MCMLXXXIII

Une Autre Planète

Funny Trip - Makgadikgadi

L'Homme Orchestre - La Niaque

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Pour moi, la perception est aléatoire et bien souvent je pense être à un niveau de conscience qui baigne cette façon de voir et de ressentir dans une grande illusion.

Je reste alors, la plupart du temps dans ces dimensions que je pense être très filtrées, tentant de me structurer et de structurer, sur du "flou" malheureusement.
Ou plutôt, sur de la "forme" et non du "fond"...

Faisant en sorte de puiser dans chacune des inspirations valables à mes yeux quelque chose qui pourra m'élever et, peut-être que le temps s'arrêtera à nouveau, laissant le brouillard et les nuages derrière moi, c'est alors que la porte de sortie sera devant moi et je prie de tout ce que je crois être pour qu'elle soit plus que perceptible au plus tôt.

J'espère qu'à ce moment, l'énergie sera suffisamment stockée, et armé de cette force, je serais enfin capable de rentrer dans un espace où le réel sera plus visible.
La vapeur sera un peu plus inversée.
Je serais alors rentré dans une nouvelle structure.
J'aurai (re)trouvé ... 

La voie.

Structure

La voie

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Dernière piste avant la dernière piste.
Celle-ci se place ici pour nous rappeler que nous sommes infiniment petit comme infiniment grand.

Nous sommes un tout, éclaté en une multitude de petits aspects.
Ces individualités se doivent de briller pour retrouver l'unité que nous sommes.
Je pense que nous sommes plongés dans un leurre, un rêve ou nous nous croyons grain de sable, car enfermés dans une petite séquence de conscience, alors qu'en réalité, si nous avons l'occasion de remonter quelque peu à la surface, nous voyons que nous ne sommes ni un grain de sable, nous ne sommes pas la plage non plus, nous ne sommes rien de tout ça.
Enfin, oui, nous sommes tout ça mais nous sommes encore plus, nous sommes un tout.

J'ai choisi des paroles de Frédéric Delavier pour clôturer la composition.
Composition basée sur le morceau précisé en description principale.
J'ai même recomposé des choses de ce morceau de Binkbeats de manière quasi similaire avec mes propres samples car je tenais vraiment à détourner ceci, j'aime beaucoup l'ambiance qu'il dégage.

Sous cieux

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J'avance dans le temps et l'âge escalade cette vie.
Ma mère durant un temps m'a nommé "bâton de vieillesse".
J'ai tenté d'être solide, mais cette séquence s'est achevée.
Je ne questionne pas le futur, je sais que les temps cohabitent.
Je me demande simplement quand je tiendrai rôle d'homme âgé ...
Sur quel bâton je m'appuierai pour que mon souffle soit plus léger.

Bâton de vieillesse

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Cela fait un moment que je voulais construire quelque chose basé sur une composition de Kevin Mfinka.

Je l'ai rencontré en 2005 et à cette époque, cela faisait quelques années que je m'intéressais à certains styles de musiques d'Afrique noire.
C'est quelqu'un de très dévoué, d'investi, de passionné, il dégage une bonne humeur communicative.

Dans mon album précédent, on pouvait retrouver quelques sonorités africaines, dans cet album, c'est un peu moins présent, mais cette piste est très imprégnée de cette saveur.

J'ignore si mon prochain album comptera des influences comme celles-là.
Affaire à suivre ...

Mon corps

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Si je devais garder une seule piste pour cet album, ce serait celle-ci.
Je trouve qu'il y a beaucoup de choses là-dedans.

La face symphonique, le côté "trop moderne pour être dépassé" et qui ne correspond pas à un format ou encore des sonorités actuelles très formatées pour autant.
On y trouve de l'énergie, un dynamisme et un socle, une base rythmique entre le calme et l'électricité.

C'est un mélange dont je suis assez fier, je pense que j'ai ouvert une nouvelle porte qui va peut-être déterminer de nouvelles choses pour mes travaux à venir.
Je pense avoir réussi à faire cohabiter des sons qui, auparavant n'auraient peut-être pas eu l'occasion de se retrouver ensemble.

Je trouve cette piste vraiment unique et réalisée avec une approche nouvelle et pleine de fraicheur.
Elle se devait de porter le nom de l'album.

Je ne me compare jamais, en revanche, je suis capable d'établir un niveau de satisfaction.
Ici, je suis très satisfait de mon travail.
Je prends ce moment pour l'inscrire, car je sais pertinemment que cela ne dure qu'un temps.

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A la base, j'avais disposé un discours qui s'étalait sur plus des deux tiers de la piste et puis je me suis dis que ce n'était pas forcément nécessaire de proposer quelque chose de paradoxal, c'est à dire, beaucoup de mots pour parler du silence.

J'aimais bien, mais en plus de cela, la musicalité était un peu éclipsée car elle passait en second plan.

Je veux montrer ici que le silence n'est pas quelque chose de vide.
Au contraire, il peut contenir l'écoute, l'analyse, la compréhension.

On peut alors entendre dans cette composition, des citations comme :
"Le Silence est d'or."
"Savoir écouter, c’est posséder, outre le sien, le cerveau des autres." (Léonard de Vinci)
"Le silence consiste à passer de la compulsivité à la conscience." (Sadhguru)

Je pense que silence parle plus que les mots, de plus, quand nous le pratiquons, nous décuplons nos facultés à recevoir sans pour autant ne plus être émetteur.

Le silence est d'or

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C'est une des premières compositions que j'ai réalisée pour l'album.
Il me tenait à cœur que ce projet dégage une forte connotation spirituelle.

Je n'ai pas reçu d'éducation religieuse et je ne m'estime pas religieux, mais sans pratiquer une religion, j'ai tout de même ma conception et mes perceptions.
C'est pourquoi je peux vous déclarer que je ne m'estime pas non croyant.

Je dirais même que ce qui m'est parfois invisible est d'une importance monumentale.
Sans aller trop loin, je peux même vous dire que ce qui me semblait surréaliste m'est apparu.

Mon champ de conscience est comme mon énergie ou mon humeur, il est changeant.
Notre vécu détermine nos constats.

Je ne sens pas le besoin de m'étendre, simplement, je finirai en vous disant que j'ai tenté ici, avec la force et les outils qui sont les miens à cette heure de retranscrire une certaine force qui caractérise Jésus.

Jésus

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A la base, Poséidon est une instrumentale que j'ai composée pour un rappeur, la version que j'ai fait pour lui est beaucoup plus basique, elle est moins évolutive pour laisser place à son travail.

J'ai voulu une version différente pour mon album, une version qui rentre bien dans les teintes du projet car la spiritualité y est présente plus qu'auparavant.
Il était évident qu'ici, j'allais structurer quelque chose sans cesse en mouvement, comme la mer quand elle est agitée.

Les sonorités me semblent bien correspondre au sujet.
Celui-ci étant basé sur le Dieu de la mer, des océans, des tremblements de terre, des sources et des chevaux.

Poséidon

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Le sujet qui est dans mon esprit pour la conception de cette musique est peut-être trop intime afin que je l'aborde en détail aux personnes qui m'écoutent publiquement.
Alors je vais me contenter de rester en surface pour vous l'évoquer, même si avec un minimum de bon sens, avec ce que je vais écrire et le visuel accompagnant cette piste, vous pouvez aisément déduire la chose.

Arrivé à mon âge, c'est à dire 40 ans cette année (juin 2023) il y a des choses essentielles à mes yeux que je n'ai pas encore réussies à mettre en place.
Dans mon esprit, à la vue de certains éléments, cette porte est plutôt fermée.

Mais je me dois d'être optimiste et le titre de cette piste est comme la petite éclaircie que l'on souhaite apercevoir lorsque le ciel semble être verrouillé par une grille nuageuse.

Si la vie nous le permet

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Ici, je tenais à rendre hommage aux relations hommes-femmes.

L'homme et la femme ...
Deux mots qui commencent à être totalement déstructurés dans l'esprit de certaines personnes se disant éveillées.

En guise d'introduction et de conclusion j'ai utilisé la composition de 1966 de Francis Lai intitulée "Un homme et une femme" que j'ai quelque peu "revisité".
Un peu comme une construction logique de l'humanité qui vient rappeler qu'au début il y a un homme, une femme et cela jusqu'à la fin.

Entre ces deux tranches de vérité j'ai construit quelque chose d'énergique et doux, comme deux caractéristiques qu'on peut retrouver dans un couple "modèle".
Vous pouvez y entendre des voix issues de certains films où Jim Carrey tient le rôle principal comme "Eternal Sunshine of the Spotless Mind", "Disjoncté" ou encore "The Truman Show".

Si l'on regarde la situation actuelle, on peut constater que la biologie est de plus en plus niée et que des idées et conceptions nouvelles arrivent avec une volonté de contredire notre nature.
Ces nouveautés perçoivent la nature comme étant une sorte de logiciel pouvant être variant voir désuet.
Avant que nous soyons trop dénaturés je voulais rappeler ma perception de manière symbolique et musicale.

Les hommes et les flammes

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S'il faut désigner un morceau, non pas à retirer, mais peut-être pour lequel j'ai le moins de fierté à en être le créateur c'est probablement ce dernier.
Je pense que cela vient de la boucle qui est reprise et qui est peut-être un peu entêtante.

J'ai pourtant énormément cousu autours, mais je trouve que le rendu est un peu trop brouillon.
Ce n'est pas faute d'avoir bien préparé le terrain, mais après tout, c'est peut-être ça le problème.
J'ai probablement trop préparé les échantillons, si bien qu'avec tant de matière, je ne pouvais qu'être dispersé et brouillon.
Pourtant, je n'ai pas tout utilisé sur l'ensemble de ce que j'avais préparé.

Mais encore une fois, je dis cela partant du principe qu'il faut en désigner un moins pertinent à mes oreilles.
L'idée est tout de même là, je voulais un morceau lumineux, quelque chose qui respire la positivité et je ne pense pas avoir échoué à ce niveau malgré tout.

Lumière

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Cette composition regorge d'échantillons prélevés dans la bande originale du film "The Crow", sorti en 1994.
C'est un des films qui a le plus marqué mon enfance.

La phrase prononcée au début est vraiment parlante pour moi et j'imagine qu'il en est de même pour beaucoup.
A la fin, pareil, les liens sont bien plus forts que l'histoire dans laquelle nous sommes plongés, je le savais avant même de l'expérimenter.
Ou plutôt, je l'expérimentais avant même de le comprendre.

L'ambiance ici est, je le trouve, assez encrée de ces sonorités de bandes originales de film. C'est sans grande surprise pour moi car les ingrédients que j'ai sélectionnés pour cela ne viennent pas d'un autre monde.

Le deuxième nom de Dieu

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Dans cette introduction on peut entendre "San Francisco" dans diverses chansons, comme ci cela provenait d'une radio qui malgré les changements de fréquences, revenait au même lieu.

En français cela signifie "Saint François" et face au quartier Saint-François se dresse la statue de François Ier.

Le 7 février 1517, François Ier ordonne la création d'un port fortifié au "lieu de Grasse" puis signe le 8 octobre de la même année, les chartes de fondation de la ville du Havre.

En tant qu'Havrais, je souhaitais à travers cette composition, lui rendre hommage à ma façon.

François

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La recherche un jour prend fin.
Au moment où nous avons tout trouvé.
Elle nous emmène avant cela sur un terrain où nous jonglons tantôt agilement, tantôt maladroitement avec nos propres définitions et redéfinitions.
Avant de chercher pourquoi nous vivons, je vais donc tenter de définir la vie, depuis ma petite fenêtre ...

Certains reconnaissant être perdus se sont peut-être plus trouvé que d'autres.
L'amour est vie et évidence, la mort est grise, elle n'est brillante.
La mort veut nous persuader qu'elle fait partie de notre vie pour tenter de nous la prendre.
Elle vient nous ternir et souhaite nous rendre plus que fade et sans saveur.
La vie, au contraire, donne de tout ce qu'elle est pour être agréable.
Pour moi, la vie n'est pas une épreuve, c'est la rencontre d'elle et de son opposé qui en est une.

Je ne pense pas que nous n'étions rien pour ensuite vivre et mourir.
Je pense être dans une expérience qui mélange l'énergie de la vie et l'énergie de la mort.
Chaque onde de vie rencontrée sur ce parcours est bonheur et réciproquement.

La recherche

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Voilà !
Voilà l'introduction, elle se base sur un standard du jazz que vous n'auriez probablement pas deviné si je ne l'avais pas mentionné dans le descriptif principal.

La version d'origine est introuvable sur internet, c'est un vinyle que je tiens d'une tante, on peut entendre sa voix parmi les chœurs que j'ai extraits.

Dans les choses que nous pouvons entendre, il y a forcément cette phrase :
"La créativité est un muscle qu'il faut entretenir, c'est la jonction même entre le cœur et le cerveau."
Prononcée par Patrick Choffat, répétée par un générateur vocal par-dessus des bruits de clavier tapoté, pour ironiser sur le fait que je n'invente rien et me base sur des éléments pour structurer ce résultat, mais après tout, qui part du néant?

 J'ai donc choisi un morceau qui dégage une certaine énergie, de manière à ne pas accueillir l'oreille de façon molle et j'ai décidé de terminer avec des voix qui évoquent tout le bien que mon travail leur évoque, je tiens d'ailleurs à les remercier, une fois de plus.

Voilà

Fonz - Lola

Sur YouTube :
https://youtu.be/8DARcpysWgE

Sur Bandcamp :
https://fonz1.bandcamp.com/track/lola

Il y a un an exactement, le 14 Octobre 2022, Lola était victime de l'innommable.
Je ne compte pas écrire longuement sur le drame qu'elle a vécu et qui lui a ôté la vie.
Ici, je souhaite uniquement lui dédier cet hommage musical, lui souhaitant la paix.
Je vais simplement terminer sur ce court poème que j'ai écrit une semaine après ce triste jour.

R ester sans voix, puis ...
E voquer sa peine.
P leurant, pensant à toi ...

L orsque la vie quitta tes veines.
O ù es-tu petite sœur ?
L oin de ce mal, je te le souhaite.
A cet instant saigne mon cœur, tu ne tomberas aux oubliettes.

Lola

Geoffrey, Alias Fonz
Né en Juin 1983 Au Havre

Compositeur
Instrumentiste
Beatmaker
Chanteur
Poète
Graphiste
Monteur
Dessinateur
Peintre 
  
Le nouvel album, ''Structure'' est disponible depuis  le 01/01/23
Pour acheter l'album ou l'écouter sur Bandcamp :
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Je pratique depuis l'enfance et compose depuis l'adolescence.
Mes styles actuels sont assez dissemblables, entre Hip Hop, Néo Soul, Jazzy et autres ...
Touches d'Afrique noire, de bossa, de musique classique ...

Voici le lien pour suivre mes aventures musicales et visuelles :
♦️ https://linktr.ee/fonz76 ♦️

Fonz

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