Parole : 

Cours plus vite !
Ce n’est pas la fin, tout commence ici !

Même mes mains tachées de sang veulent protéger
Les éclats de rêves que je refuse d’oublier
Dans un monde englouti par l’ombre glaciale
C’est toi qui brillais comme une étoile fatale

Mes cicatrices deviendront ma fierté
Cette voix, je veux la faire résonner
Briser le silence, déchirer les chaînes
Et consumer le destin qui nous enchaines

Crie encore ! Vers l’avenir qui se brise
Au moment où les chaînes se divisent
Flamme éternelle, jamais effacée
Avec toi, la révolution peut commencer

Même égaré, je continue d’avancer
Les larmes dessinent la route à tracer
Je défie les peurs qui rôdent dans l’ombre
Mon cœur s’élève, brûlant et sombre

Même si je tombe, je me relèverai
Brisé, mais toujours relié
Les prières perdues renaissent
Et éclairent demain sans faiblesse

Crie encore ! Vers l’avenir qui se brise
Au moment où les chaînes se divisent
Flamme éternelle, jamais effacée
Avec toi, la révolution peut commencer

Dans les cendres brûle un dernier souhait
Toujours vivant, il ne s’éteindra jamais

Paroles / Composition : Tanguy Pierson
Interprétation : IA Suno / Production originale
Illustration : Tanguy Pierson > Photoshop&Midjourney


Born/ZERO From Ashes


Le ciel est muet, mais ma poitrine hurle
Les doutes dansent, comme des ombres qui s'enroulent
Je ferme les yeux, la flamme reste vive
Ce rêve en main, c’est lui qui me motive

Ce monde n’est pas celui d’avant
Des murs d’acier, un deuil pesant
L’instinct s’éveille dans le calme noir
La vérité noyée dans le désespoir

Les chemins tordus brouillent ma vue
Sans carte, sans phare, je continue
J’ai perdu la route mais pas le feu
Quelque chose en moi refuse d’être peureux

Pas à pas, je regarde droit
Même si tout se brouille parfois
Tu crois en moi, alors j’avance
Je refuse d’abandonner ma chance

Mon cœur résonne contre la nuit
Cette route seule ne m’aura pas détruit
Même tremblant, même brisé
Je me relèverai, je vais briller

S’il n’y a pas de magie en moi
Je façonnerai ce monde, pas à pas
Ta main dans la mienne, on suivra
Ce futur proche qu’on ne trahira pas

Les regrets sont poussière sous mes pieds
Jetés au vent, je vais marcher
Les questions hantent—qu’est-ce qui est vrai ?
Et l’amour, c’est quoi en réalité ?

Mais tous tes mots, je les retiens
Même s’ils mentent, je choisis ton chemin
Je crie de toute mon âme, sans peur
Pour ce qu’on construit, pour cette lueur

Pas besoin d’un permis pour y croire
Ce feu brûle où meurt l’espoir
N’analyse pas ce qui échappe aux lois
Ma voix tremble, mais elle est à moi

Mon cœur résonne contre la nuit
Cette route seule ne m’aura pas détruit
Même tremblant, même brisé
Je me relèverai, je vais briller

S’il n’y a pas de magie en moi
Je façonnerai ce monde, pas à pas
Ta main dans la mienne, on suivra
Ce futur proche qu’on ne trahira pas

Je ne lâcherai jamais ce qu’on tient
Ce message en main brille pour demain
Même si on tombe, on portera
Cette flamme vive, cet espoir qui naît en mo

Flame Within

Une fleur entre les dents
Ses pétales tombent lentement
Comme des rêves qu’on oublie
Sous le poids d’une vie

Il a marché sans savoir
Si l’ombre suivait l’espoir
Chaque pas sur la poussière
Éveille un passé éphémère

Et si demain ne vient pas
Est-ce que tout disparaîtra ?
Ou bien l’écho de nos douleurs
Deviendra lumière et couleurs ?

Les pétales du temps
S’envolent en chantant
Les souvenirs d’avant
Qu’on serre trop fort, souvent
Dans ce champ multicolore
Il ferme les yeux encore
Le passé, le présent
Et l’avenir… l’attendent doucement

Une larme sur sa joue
Tombe, puis devient flou
Le vent murmure un prénom
Qu’il reconnaît sans raison

Peut-être que la pluie s’arrête
Peut-être qu’on renaît sans regret
Mais l’ombre, fidèle amante
Invite au sommeil doucement

Les pétales du temps
S’effacent lentement
Comme les rires d’antan
Dans l’oubli du présent
Sous le ciel en silence
Il trouve sa délivrance
Dans les bras de ce lieu
Où tout devient un adieu

(Ahh ahh ahh...)
Il dort parmi les fleurs
Sans peur… sans douleur…
(Ahh ahh ahh...)

Petals of Time

Elles furent sept  arrachées au Chant brisé d’Ælya,
Filles du souffle et du silence,
Porteuses du feu, du fardeau et de la faute.
Et dans le Vide, Primaé les contempla sans cœur, sans voix.

Impératrice du brasier, elle défia les cieux,
Son trône flamboyait plus haut qu’Ælya.
« Que m’importe le divin  je suis ma propre lumière ! »
Mais sa flamme, dévorante, la consuma toute entière.

Eldr skal sýna sanna hjarta 

La vengeresse brandit l’éclair comme un glaive,
Frappa les rois, les murs, les noms, les corps.
Mais ses éclairs tombèrent aussi sur les justes 
Et la foudre, aveugle, se retourna contre elle.

Drasknir fellr aðeins á ljúgarann 

Le souffle portait mille visages, mille voix,
Elle voulut tous les porter, tous les garder.
Mais aucun ne fut sien, aucun ne l’aima.
Et le vent l’éparpilla comme poussière.

Enginn vegr er án vinds 

Elle enferma les fleuves, détourna les mers,
« Que l’eau me serve, qu’elle m’appartienne », souffla-t-elle.
Mais les courants se dérobèrent sous ses chaînes,
Et l’eau l’emporta, loin, sans nom.

Fljótið ber aðeins það sem það hefur misst 

Elle mangea les graines, les pierres, le monde,
Creusa la terre comme on fouille une plaie.
« Que tout me nourrisse ! », cria-t-elle sans fin,
Et le sol, exsangue, ne donna plus rien.

Jarðvegurinn lýgur ekki 

Elle s’allongea sous les neiges immobiles,
Ferma les yeux, laissa passer les ères.
« Rien ne s’effondre si je ne bouge pas », murmura-t-elle,
Mais le monde s’endormit avec elle.

Þögnin geymir sárin 

Elle caressa l’étoile, embrassa le vide,
Fit danser le désir entre les galaxies.
Mais chaque baiser effaçait un souvenir,
Et l’univers sombra dans sa soie noire.

Skugginn hlustar, þótt hann tali eigi 

Alors Ælya pleura,
Ses larmes déchirèrent le néant en éclats dorés.
De la ruine des sept, Primaé surgit :
« Je suis née de vos fautes, de vos flammes, de vos fardeaux.
Ni salut, ni damnation  mais le choix. »
Et le Chant devint lumière.

Ljós sér það sem hjartað dylur 

Feu… Foudre… Vent…
Eau… Terre… Glace…
Ombre… puis Lumière…
Les sept furent une,
Et Primaé porta la Dissonance du monde.

The Seven Who Fell

Sous la terre, la forge s’éteint,
Chaque racine se brise en chagrin,
Le feu murmure dans mes os en silence,
Je suis seul… sans ta présence, Gloria…

Ton sang était l’encre de ma foi,
Chaque serment portait ta voix,
Ô Gloria… mon seul amour,
Ton absence brûle pour toujours.

Je marche sans lumière,
Chaque victoire sonne amère…

Perdue… perdue… Gloria, mon cœur, ma fierté,
Perdue… perdue… nul Empire sans toi pour régner,
Ton nom gravé dans ma chair,
Ton souffle était mon air,
Femme, amour, et reine de mes rêves,
Ton absence… jamais ne s’achève.

Je suis la forge brisée,
Je suis la flamme éteinte,
Chaque pas est une tombe,
Chaque cri une plainte…

Dans la nuit, ton éclat s'efface,
Ton sourire… seul éclat qui me glace,
La vie forge un destin de cendres,
Et ton silence… vient m’attendre.

Brise mes chaînes, rends-moi ton rire,
Gloria… douce empire,
Dans mes veines, ton ombre résonne,
Chaque racine pleure ta couronne.

Je suis la forge brisée,
Je suis la flamme éteinte,
Chaque pas est une tombe,
Chaque cri une plainte…

Perdue… perdue… Gloria, mon cœur, ma fierté,
Perdue… perdue… nul Empire sans toi pour régner,
Ton nom gravé dans ma chair,
Ton souffle était mon air,
Femme, amour, et reine de mes rêves,
Ton absence… jamais ne s’achève.

Gloria… mon éternel amour…
Je suis l’Empereur… et je tombe… sans ton jour.

Requiem for Gloria

Depuis ce jour, je tiens bon
J’ai juré de ne plus pleurer

Même si la douleur se répète
Je n’arrive pas à tout pardonner
Les jours passés, inaccessibles
Je reste là, impuissant

Ton souvenir, en morceaux fragiles
Disparaît un à un, sans bruit

Je veux devenir plus fort qu’hier
Que ma voix t’atteigne enfin quelque part
Si le vent m’appelle sur la route
Je lèverai les yeux, cherchant ton regard

Je cache mes peurs sous le silence
Mais le cœur, lui, n’oublie jamais
Et dans le ciel d’une aube nouvelle
Ton nom résonne sans fin

Je veux devenir plus fort qu’hier
Que ma voix t’atteigne enfin quelque part
Si le vent m’appelle sur la route
Je lèverai les yeux, cherchant ton regard

Là, au-delà de l’horizon
Une lumière perce le noir

Je veux devenir plus fort qu’hier
Que ma voix t’atteigne enfin quelque part
Quand l’aurore effleure mes paupières
Un arc-en-ciel traverse l’univers

Je te cherche encore
Je te cherche toujours

Flame Within

fubukikun

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