Garage Blonde est un duo français de pop électrique et poétique. Après un 1er album minimaliste, brut et caressant, voici leur single Lorelei la la la. Mathilde Blonde (voix polyphoniques) & Nicolas GB (basse mélodique et boîtes à rythmes) s'associent à Alice « Al » Baylac, poète queer, pour faire émerger la Lorelei. Le flow feutré de spoken word glisse entre des volutes vocales sur ostinato de basse. Gainsbourg rencontre Erykah Badu pour 2 minutes 53 d'envolée sensuelle et arty.

Lorelei lalala

J'ME SOUVIENS PRESQUE
(texte : Jean Palomba - musique : Mathilde Mérigot / Nicolas Baillard)
©Garage Blonde Music
Enregistrement, mixage, mastering : La Fraiseraie Electrique

GARAGE BLONDE EP#1

J'me souviens presque

CE QU'IL FAUT
(texte : Jean Palomba - musique : Mathilde Mérigot / Nicolas Baillard)
©Garage Blonde Music
Enregistrement La Fraiseraie Electrique

DEMO

Ce qu'il faut (demo)

LES HOMMES MINUTES
(texte : Jean Palomba - musique : Mathilde Mérigot / Nicolas Baillard)
©Garage Blonde Music
Enregistrement La Fraiseraie Electrique

Ils arrivent (Les Hommes Minutes)

voici le premier EP de Garage Blonde. Rock minimaliste ciselé et brut, poésie électrique sur boîtes à rythme.
Sortie physique le 18 mai 2018 lors du concert à "La Meson" Marseille. Série limitée à 200 exemplaires numérotés, pochette carton brut linogravure à la main.
www.garageblonde.com

Sue & Syd

Sourd et absent

Portishead "The Rip" (french cover), 
adaptation française Jean Palomba pour Garage Blonde

voix : Mathilde Blonde
guitare : Nicolas GB
boîte à rythme : M & N

La Déchirure (Portishead cover)

Après un premier EP sorti en mai 2018, Garage Blonde développe son univers singulier dans "rage nue", premier album à paraître le 7 février 2020.

Une pop fiévreuse et colorée où la mélancolie côtoie l’absurde, de balades obscures en sorties de route sauvages, des textes charnels et abstraits faits de la matière des mots de Jean Palomba.
Avec des arrangements sobres, taillés à l’os, le duo avignonnais cultive sa fragilité pour rester au plus près de l’émotion. 

Ce projet intimiste et rugueux s’inscrit dans une démarche DIY : composition, production, design graphique, fabrication (pochettes sérigraphiées par Mathilde & Nicolas).

Mathilde Mérigot : chant, guitare, cithare, clavier, harmonium.
Nicolas Baillard : basse, guitares, boîtes à rythme, chant.
Jean Palomba : textes.

Rage nue est disponible en vinyle et CD édition limitée, et en digital.

Enregistrement, mixage, mastering : La Fraiseraie Electrique

©Garage Blonde 2020

rage nue

Blanche

Ils arrivent (les Hommes Minutes)

Étoile Poker

Tsar

Jeu de fatigue

Vénus pain bis

Après un premier EP sorti en mai 2018, Garage Blonde développe son univers singulier dans "rage nue", premier album à paraître le 7 février 2020.

pré-commande : https://www.helloasso.com/associations/la%20discrete%20music/collectes/garage-blonde-1er-album-rage-nue-souscription

Une pop fiévreuse et colorée où la mélancolie côtoie l’absurde, de balades obscures en sorties de route sauvages, des textes charnels et abstraits faits de la matière des mots de Jean Palomba.
Avec des arrangements sobres, taillés à l’os, le duo avignonnais cultive sa fragilité pour rester au plus près de l’émotion. 

Ce projet intimiste et rugueux s’inscrit dans une démarche DIY : composition, production, design graphique, fabrication (pochettes sérigraphiées par Mathilde & Nicolas).

Mathilde Mérigot : chant, guitare, cithare, clavier, harmonium.
Nicolas Baillard : basse, guitares, boîtes à rythme, chant.
Jean Palomba : textes.

Rage nue est disponible en vinyle et CD édition limitée, et en digital.

Enregistrement, mixage, mastering : La Fraiseraie Electrique

©Garage Blonde 2020

La fièvre

Ce qu'il faut

Garage Blonde c'est Mathilde Blonde, chant, guitare, claviers et Nicolas GB, basse,  guitares, voix, boîtes à rythme. Un road trip intime et étrange, une pop fièvreuse et colorée,  minimaliste et envoûtante. Garage Blonde est en français dans le texte. Leurs chansons surfent sur une vague poétique, électriquement saturée.

Quand elle les a vus répéter, Emily Dickinson a dit des Garage Blonde qu'ils sonnaient comme un couple énervé d'amour fou et qu'un stimulant désespoir habitait le plus infime électron de leur raffut harmonique. Avant de se rentrer, elle a conclu que leur lyrisme sans larmes avait la dure friabilité de l'os, et qu'elle avait su apprécier le miel doré de sa moelle.  Pour les influences, Bruce Dickinson qui était aussi dans le Garage pendant la répète a dit des G-B qu'ils lui rappelaient ici Polly Jean Harvey, là Dominique A, aussi Bertrand Belin, ARLT, Mansfield TYA, voire Sonic Youth … D'accord, j'ai dit, tout ça c'est pas pareil, mais le côté stylé et sombre/sobre et pourtant envoûtant les rend comparables. 
Voilà.
Signé : Jean Palomba, fan.

Garage Blonde

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