Ah Ya Ouine - Nass El Ghiwane

Lahore, Casablanca and Agadir,Ho Chi Minh City, Peshawar, and Hanoi. As sons and daughters of these ancient crossroads, the artists touring the U.S. as part of Center Stage in 2014 create work from within rich and storied cultures. Through music and movement, they engage the new and the historic and help shape the complex societies in which they live.

In its second season, Center Stage will bring Seven contemporary dance and music ensembles from Morocco, Pakistan, and Vietnam to the U.S. to perform, and build mutual understanding as they engage with Americans during independent month-long tours from June to November 2014. 

Learn more: centerstageus.org, facebook.com/CenterStagePage, twitter.com/CenterStageUS

Sidi Bouzekri - Hoba Hoba Spirit

Top 20 des morceaux Gnawa by Gnawa Music
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06 - Baba Mimoun - Maalem El Mansoum

04 - Moulay Hmed - Maalem Marchane

11 - Chalaba - Maalem Mahjoub

15 - Sidi Moussa - Groupe Altaf Gnawa

17 - Youbadi - Maalem Si Mohamed Chaouqi

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Bilal - Elghorba Welhem By | H-RaF

Lila

El Kouhel

1. Ya Rayah – Rachid Taha
« Ya Rayah » signifie « Candidat à l’exil ». Comme son nom l’indique, ce morceau traite de l’exil et des difficultés qui attendent celui qui quitte le pays. C’est la chanson la plus connue du répertoire Chaâbi en France, notamment grâce à la reprise de Rachid Taha, réorchestrée de façon plus mélodique que l’originale, avec des instruments occidentaux : la batterie remplace les tambourins, la basse et la guitare électroacoustique remplacent le banjo et le mandole.

2. Ya Rayah – Dahmane El Harrachi
Grande figure du Chaâbi algérois, qui vécu longtemps en exil en France, Dahmane El Harrachi est celui qui contribua à populariser le Chaâbi hors des frontières algériennes. Il chantait aux immigrés maghrébins son « Ya Rayah », sa chanson la plus connue, dans les troquets de Ménilmontant et de Belleville. Les puristes préfèrent sa version à celle de Rachid Taha, en raison de son timbre de voix plus dur, plus proche de l’arabe.

3. Koulou Lilaimen – El Hadj El Anka
Père du Chaâbi originaire d’Azzefoun en Kabylie, El Hadj El Anka se distingue par une maîtrise technique inégalée. Elle brille particulièrement dans ce morceau qui vante l’amour charnel comme en témoignent ces paroles :

Dès le matin ses joues sont telles des fleurs épanouies,
ou des genêts d'Espagne, des giroflées ou des coquelicots,
elles apparaissent plus éclatantes que la rose
et plus éblouissantes que la hyacinthe
une chevelure en furie et son grain de beauté ont guéri mon mal ;
des bras modelés d'une blancheur éclatante m'ont séduit
des seins apparents à portée de mes mains
sa poitrine délicate, Oh pauvre de moi,
ma stupeur s'est intensifiée, la raison s'est envolée
et mon cœur s'est figé.
Des mains enjolivées de henné où transparaît
l'idole sublime seule capable de dominer Harout.
Trois choses me réjouissent :
la belle, l'échanson portant chandelle,
et son bonheur qui inonde mes instants.
Quiconque ne désire pas son corps, son amour n'est que chimère.

4. Ya Rabbi Sahalli – El Hadj M’Rizek
Grand interprète de musique Chaâbi originaire lui aussi d’Azzefoun en Kabylie, M’Rizek est ce que l’on nomme dans les années 70 un dandy, gentleman et distingué. Il sut donner très tôt une orientation moderne au Chaâbi, rompant avec la tradition d’El Anka pour offrir une version plus mélodique des chansons du répertoire. Il propose ici une ode à Allah réinterprétée à sa manière.

5. Allo – El Hachemi Guerouabi
Formé à l’école moderne de M’zirek et critiqué pour ses apparitions récurrentes à la télévision algérienne et son ton volontiers mélodramatique, Guerouabi est l’un des plus grands maîtres du Chaâbi. Ici, l’un des plus grands tubes du Chaâbi, qui doit beaucoup à sa voix suave légèrement éraillée, très européenne.

6. El Barah – El Hachemi Guerouabi
« El Barah » (« C’était hier ») est la chanson qui permet à Guerouabi d’emporter l’adhésion de la jeunesse à la fin de la guerre d’indépendance. Elle remporta un succès phénoménal en raison de son thème très simple : la nostalgie du temps qui passe et des belles années volées par la colonisation. Les détracteurs de Guerouabi la lui reprocheront, la stigmatisant comme une simple chansonnette.

7. El Ain El zerka – Reda Doumaz
L’une des plus belles chansons d’amour du Chaâbi, interprétée par Reda Doumaz, le chantre des passions impossibles.

8. Alik Elhana – Amar Ezzahi
Originaire également de Kabylie, Amar Ezzahi est un interprète surdoué du Chaâbi. Modeste, réservé, mais extrêmement talentueux, il est celui qui parvient le mieux à marier technicité et sentiment dans une interprétation toujours émouvante. Les jeunes Algérois amateurs de Chaâbi se réclament tous de lui. Cette chanson est typique de sa façon de jouer, tout en émotion. C’est ma préférée du répertoire Chaâbi.

9. El Harraz – Amar Ezzahi
« El Harraz » signifie « le gardien des lieux ». C’est une pièce de poésie qui fait partie d’un ensemble plus vaste de 72 poésies dite du « Herraz ». le gardien des lieux est ici le mari qui protège sa femme de toute convoitise. Souvent joué dans les mariages, cette chanson au rythme enlevé est propice au « heddi », la danse débridée qui se pratique alors.

10. Adieu Mon Pays – Enrico Macias
Hymne à l’Algérie très longtemps appréciée à la fois par les communautés juives et musulmanes de France et d’Algérie, en raison de ses sonorités très orientalisantes, elle symbolise désormais la fracture qui s’est instaurée entre ces deux religions. Nadir et ses amis aiment la reprendre version Chaâbi lorsqu’ils sont en France.

9  AMAR EZZAHI - El Harraz

Hamid El kasri-al hamdouchiya

Cette page est un lieu de rencontre pour les amoureux de la musique Gnaoua.

04 - Moulay Hmed - Maalem Marchane

GnawaMusic

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Salamandra12

Fabrizio Jelmoni 1

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