 Mikis Theodorakis is a world famous Greek composer and musician. He composed all genres of music, from traditionally Greek, to classical music. His songs of resistance have empowered the Greek people during the Junta time. The bouzouki, a traditional Greek music instrument, was forbidden by the Junta, because, they said, it belonged to a lower class of people. Mikis Theodorakis has used the bouzouki in all his compositions. In a way, the bouzouki is a symbol of resistance.
YouTube channel with his music: https://www.youtube.com/user/TheodorakisFriends
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Mikis Theodorakis

Mikis Theodorakis - 3rd Symphony - Insane mother - 1st Movement

Mikis Theodorakis - 3rd Symphony - 1st Movement

Mikis Theodorakis - State Of Siege

Spanish Guitar Music ESPERANTO - Al Marconi

Guitarra Española

Mon amant de St Jean - la chanson

Ara Malikian junto a su grupo interpreta el tema Pisando flores

pisando flores by Ara Malikian 



Ara Malikian - Pisando Flores

TracF. G. Lorca - Μίκης Θεοδωράκης: "Romancero Gitano"

Οι Χαρταετοί (χασαποσέρβικος) ~ Μίκης Θεοδωράκης

Polyushko-polye (Russian: По́люшко-по́ле; IPA: [ˈpolʲʊʂkə ˈpolʲɪ]) is a Soviet Russian-language song. Polye means "field" in Russian, "polyushko" is a diminutive/hypocoristic form for "polye". It is known as Meadow land or Meadow lands in English.

The music composed was by Lev Knipper, with lyrics by Viktor Gusev in 1933. The song was part of the symphony with chorus (lyrics by Gusev) "A Poem about a Komsomol Soldier" (Поэма о бойце-комсомольце) composed in 1934. The original lyrics are sung from the perspective of a Red Army recruit, who proudly leaves his home to keep watch against his homeland's enemies.

"Kalinka" (Russian: Калинка) is a Russian song written in 1860 by the composer and folklorist Ivan Larionov and first performed in Saratov as part of a theatrical entertainment that he had composed.[1] Soon it was added to the repertory of a folk choral group. 

The refrain of the song refers to the kalinka, which is the snowball tree (Viburnum opulus). It has a speedy tempo and light-hearted lyrics. The main refrain (Kalinka, Kalinka...) increases in tempo each time it is sung. One of the best-known singers of this song was Evgeny Belyaev (1926-1994) who was considered to be one of the best singers of the piece.

André Léon Marie Nicolas Rieu (born 1 October 1949) is a Dutch violinist and conductor best known for creating the waltz-playing Johann Strauss Orchestra. Together they have turned classical and waltz music into a worldwide concert touring act, as successful as some of the biggest global pop and rock music acts

André Rieu & Trio St. Petersburg - Polyushko Pole and Kalinka (Live in Berlin)

Ne Me Quitte Pas - Vero Perez & Coco Villanueva

Léo Ferré - Avec Le Temps !

Mikis Theodorakis -(O Andonis)- Original Soundtrack

J'habite seul avec maman
Dans un très vieil appartement
Rue Sarasate
J'ai pour me tenir compagnie
Une tortue, deux canaris
Et une chatte
Pour laisser maman reposer
Très souvent je fais le marché
Et la cuisine
Je range, je lave, j'essuie
À l'occasion je pique aussi
À la machine
Le travail ne me fait pas peur
Je suis un peu décorateur
Un peu styliste
Mais mon vrai métier
C'est la nuit
Où je l'exerce travesti
Je suis artiste
J'ai un numéro très spécial
Qui finit a nu intégral
Après strip-tease
Et dans la salle je vois que
Les mâles n'en croient pas leurs yeux
Je suis un homme, oh!
Comme ils disent
Vers les trois heures du matin
On va manger entre copains
De tous les sexes
Dans un quelconque bar-tabac
Et là, on s'en donne a cœur joie
Et sans complexes
On déballe des vérités
Sur des gens qu'on a dans le nez
On les lapide
Mais on le fait avec humour
Enrobé dans des calembours
Mouillés d'acide
On rencontre des attardés
Qui pour épater leur tablée
Marchent et ondulent
Singeant ce qu'ils croient être nous
Et se couvrent, les pauvres fous
De ridicule
Ça gesticule et parle fort
Ça joue les divas, les ténors
De la bêtise
Moi, les lazzis, les quolibets
Me laissent froid, puisque c'est vrai
Je suis un homme, oh!
Comme ils disent
À l'heure où naît un jour nouveau
Je rentre retrouver mon lot
De solitude
J'ôte mes cils et mes cheveux
Comme un pauvre clown malheureux
De lassitude
Je me couche mais ne dors pas
Je pense à mes amours sans joie
Si dérisoires
À ce garçon beau comme un dieu
Qui sans rien faire a mis le feu
À ma mémoire
Ma bouche n'osera jamais
Lui avouer mon doux secret
Mon tendre drame
Car l'objet de tous mes tourments
Passe le plus clair de son temps
Au lits des femmes
Nul n'a le droit en vérité
De me blâmer, de me juger
Et je précise
Que c'est bien la nature qui
Est seule responsable si
Je suis un homme, oh!
Comme ils disent

TracF. G. Lorca - Μίκης Θεοδωράκης: "Romancero Gitano"

IanThespis

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