Demain Ne Meurt Jamais

Guilty Vs Bad Faith 

InSectAcid phOeniXmiX

Ultraviolé...

Vous Êtes Libre !

118.2 RadiO cHépeRrrr

RaWmantIsm

https://soundcloud.com/lovvarion/schmetterling-in-need-of-your-colours/s-eWlXn

Butterfly (Music by Lovvarion)

>>>eXpEct HâtiV ///  ....   ///

Du poumpoumpoum, des tchaks, quelques tchiks dans une soupe de voix et de WOWOWoo .... enregistrement retravaillé (un peu ...oui suis une feignasse et alors ) 

Cette techno lourde que me chantait ma maman..

Chasse et Perche Vs Nature et Perdition ...

démantèlement de la machine à remonter les bretelles ( dismantling of the pull up socks machine )

extraction vs marche immobile 

Tout ce qui a un commencement a une fin.

MacrO-BiotiK . phase 1

funambule sur le fil du rasoir...
InSectAcid Vs Js-T-KUL

Tout ce qui a une face a un dos.

MacrO-BiotiK . phase 2 - Equi-Librisme

.RéCRéATION.

Fais de ta vie une œuvre d’art.
Que chaque instant de ce présent si précieux,
Soit habillé de tes plus belles pensées,
De tes actes les plus nobles.
Fais de ta vie un hymne à la joie,
Pénètres au plus profond de la matière,
Et fécondes l’obscurité de pensées lumineuses


le LSD est une clef qui ouvre les différentes consciences, sensorielles, cellulaires, et précellulaires et vous harmonise à tous les niveaux de celles-ci.
Mais si nous apprenons à élever nos enfants sans qu'ils s'intoxiquent de symboles, de télévision et d'alcool alors lors nous n'auront plus besoin de LSD. La nature trouve remede à tout mal en cours ... Leary


°°°AWAKE/// Song for a peaceful world°°°

“Beware the Jabberwock, my son!
The jaws that bite, the claws that catch!
Beware the Jubjub bird, and shun
The frumious Bandersnatch!” 

Lewis Carroll

STroll in the STrange foreST

TARMAK

Je croise et décroise mais jamais ne percute ce qui démantibule mon occiput 

le Serein gagne a être connu mais mes reins d'hirondelle ont subit les déflagrations granitées de l'inconscience générale omniprésente
que dire du cambouis sinon qu'il luit plus fort en ce siècle dégueulasse 
mangez vos chaises sautez les passes murailles 
engagez des muraignes et musellées-les
l'interzone est étrange quand la terre dégringole 
les érudits décollent dans deux mètres carrés 
et la tête au carré geometrie selective 
qui entrave et dégage une odeur de sueur et de suaire 
l'insatiabilité de nos instincts sacrées 
délibérément entravés modulés impressionnés macramés 
déboussolés nous sommes des fous des fous mentals 
sorciers du nouvel âge crevons la destinée 
Eradiquons les conventions retourne ta télé pauv' con 
au piano a cocktails je lie nos vies cocktails de vermifuges ignifugés de sobre ébriété confuse de bagdammon de solitude d'érosion de saltimbanques ratés
soyons des chats soyons soyeux soyons odieux avec les Dieux

Interzone

 à l'heure ou les mots n'ont plus de sens
 à l'heure ou les sens n'ont plus de maux
 ou le silence est éloquence
 nos sens nous lancent des évidences
 ce calme si proche de la démence
 des frissons et des tumescences
 comme une envie inévitable de te faire rouler sous la table
 c'est toujours là qu'on se retrouve
 à l'heure ou les mots sont à terre
 a l'heure ou le corps déblatère
 des mots suaves
 et sans entraves
 des mots sans sons
 des mots sensuels
 d’Émotion délictuelle
 quand chaque geste prends son sens
 je savoure la déliquescence
 de ce tumulte de silence

Silence...

Brisez-leur pattes et vertèbres,
Chassez les rats, les rats.
Et puis versez du froment noir,
Le soir,
Dans les ténèbres.

Jadis, lorsque mon coeur cassa,
Une femme le ramassa ( pour moi ce fut un homme ... )
Pour le donner aux rats.

– Brisez-leur pattes et vertèbres.

Souvent je les ai vus dans l’âtre,
Taches d’encre parmi le plâtre,
Qui grignotaient ma mort.

– Brisez-leur pattes et vertèbres.

L’un d’eux, je l’ai senti
Grimper sur moi la nuit,
Et mordre encor le fond du trou
Que fit, dans ma poitrine,
L’arrachement de mon coeur fou.

– Brisez-leur pattes et vertèbres.

Ma tête à moi les vents y passent,
Les vents qui passent sous la porte,
Et les rats noirs de haut en bas
Peuplent ma tête morte.

– Brisez-leur pattes et vertèbres.

Car personne ne sait plus rien.
Et qu’importent le mal, le bien,
Les rats, les rats sont là, par tas,
Dites, verserez-vous, ce soir,
Le froment noir,
A pleines mains, dans les ténèbres?

SoulKraft

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