Lolita Queen s’émerveille 
De tant d’attentions ici bas 
Ses mots de miel fondent dans tes veines 
La belle éveille ton émoi
L’Instant magique semble éternel 
Puisqu’elle est celle qu’on n’oublie pas 
Dans la lumière d’une mise en scène 
Elle se dessine dans tes bras

Telle une star de cinéma 
Elle t’ensorcelle de son aura
Lorsque la solitude est là
Tu l’imagine auprès de toi

Lolita Queen se délecte
De succès futiles ici-bas
Pieds et poings liés à son paraître 
Elle se regarde et n’écoute pas
Mais cette alchimie imparfaite 
Est plus fragile qu’elle ne le croit 
A la lueur d’une étincelle 
Elle se consume bien loin de toi

Telle une star de cinéma 
Elle t’ensorcelle de son aura 
Lorsque la solitude est là
Tu l’imagines auprès de toi

Un jour de plus où tu espères
Écrire le plus beau des poèmes 
Lui raconter que tu es là 
La guider au son de ta voix
La nuit devrait porter conseil
Mais c’est ton cœur qui te réveilles 
Lolita rêve, toi tu n’dors pas
Tu l’imagines après de toi

Lolita Queen

Paroles:

Accroché à l’idée 
Que tu ne peux te délivrer
Chaque histoire est pour toi 
Une offre de plus à décliner
Prémices d’un plan galère
La tête basse, les fers aux pieds
Crois-tu que courir derrière 
Ton ombre te fasse avancer? 

Mais tu le sais il est trop tard, assume enfin la vérité
Encore une fois on se regarde et on se tait
Arrête un peu tes volte-face, oublie l’idée de t’esquiver
Il y a le temps qui passe…il y a le temps qui passe!

La raison te fais faux bon
Te désarmes, te laisse bouche bée
Mais malgré tout tu tentes 
Une ultime fois de négocier
Même en étant à cours de pièces
Tu rendrais la monnaie
Le dernier mot qui fâche…
C’est ta manière de signer

Mais tu le sais il est trop tard, assume enfin la vérité
Encore une fois on se regarde et on se hait
Arrête un peu tes volte-face, oublie l’idée de t’esquiver
Il y a le temps qui passe…il y a le temps qui passe!

Entêté

Paroles:

Encore vous, qui êtes là, prostrés comme des chiens de faïence
Mais négocier me prend la tête, ras l’bol de retourner ma veste
Et je me mens, comme au temps ou vous comprendre était un risque
De s’en prendre plein les dents, avant de mordre la poussière

Alors j’attends calmement dans l’hémicycle de ma tête 
Que n’importe quel gouvernement s’attarde à me traduire vos gestes
En soufflant quelques mots bien plus clairs que vos mystères
Et qui lèvent enfin le rideau sur ces décennies de galère qui m’obsèdent

Il est grand temps de vous dire à quel point vous me fascinez
Mais m’aimerez-vous aussi lorsque cette nuit sera finie ?
Car oui je rêve de vous voir, réussites de mes échecs
Ou quelqu’autre jeux d’adresse ou l’on ne gagne que si l’on blesse

Alors j’attends calmement dans l’hémicycle de ma tête 
Que n’importe quel gouvernement s’attarde à me traduire vos gestes
En soufflant quelques mots bien plus clairs que vos mystères
Et qui lèvent enfin le rideau sur ces décennies de galère 
Qui m’obsèdent
Qui m’obsèdent
Qui m’obsèdent
Qui m’obsèdent

Face À Face

Paroles:

De nos années fastes il reste à mon chevet
Quelques notes effacées
A quoi bon y croire si on ne parle jamais
D’avoir tout essayé
Encore et toujours ces beaux discours
De victoire, de fête des prochains jours

On en a passé des soirées arrosées
A refaire le monde entier
Contempler le ciel et voir se dessiner
Nos rêves en silhouettes dorées
Encore et toujours ces beaux discours
De splendeur, de gloire qui dure toujours

Je ne crois qu’en l’infinie, ma vérité est ailleurs
Affirmée, déterminé au fond de mon cœur
Je ne me laisse aucun répit et toi tu comptes les heures
Et nonchalamment je souris aux rêves de grandeur

Quand viendra le jour ou on sera porté
Des abîmes à l’apogée
On oubliera ces mots qu’on avait pu cracher
A nos gueules éreintées
Encore et toujours ces beaux discours
Qui nous émancipent jour après jour

Je ne crois qu’en l’infinie, ma vérité est ailleurs
Affirmée, déterminée au fond de mon cœur
Je ne me laisse aucun répit et toi tu comptes les heures
Et nonchalamment je souris aux rêves de splendeur
De splendeur, de splendeur, de splendeur 
Et toi tu comptes les heures

Splendeur

Paroles:

On aurait pu s'abandonner on aurait pu se déchirer, 
On restera toujours extrêmes
Que tu sois roi ou écuyer, que je sois riche ou bien fauché, 
On restera toujours les mêmes
Et dans l'agitation passée, quand on se prenait des volées,  
On riait à en perdre haleine  
Quand tous ces gens nous regardaient, quand leurs yeux nous dévisageaient 
On leur racontait nos poèmes

De toi, de moi qui de nous deux pardonnera
La mauvaise foi de nos  rengaines
De toi de moi, qui de nous se reconnaitra 
Dans nos récits de bohème

On avait pourtant calculé qu'on aurait du s'émanciper, 
L'appréciation fut incertaine
A vouloir trop imaginer, à vouloir toujours contrôler, 
On en a raté des aubaines
Et quand tu voulais tout lâcher, je criais gare au condamné 
Mais ce fut du pareil au même
De nos utopies du passé il reste à peiner de quoi songer, 
Juste assez pour un requiem

De toi, de moi qui de nous deux pardonnera
La mauvaise foi de nos  rengaines
De toi de moi, qui de nous se reconnaitra 
Dans nos récits de bohème

Dans nos récits de bohème 
Dans nos récits de bohème 
Dans nos récits de bohème 
Dans nos récits de bohème 
Dans nos récits de bohème 
Dans nos récits de bohème 
Dans nos récits de bohème 
Dans nos récits de bohème

Bohème

Paroles:

Comme une histoire déjà contée 
Ils défilaient fiers et pédants
Avec leur souffle à partager
Le cœur certain, la soif au ventre
Lors des silences ils s’agitaient
Perdant la main quelle déchéance
Ayant pour arme l’honnêteté
Cherchant du regard la clémence

Et on y revient sans méfiance
A qui la faute, quelle insouciance
Se prendre au mot, perdre confiance
Vouloir crever puis se reprendre

Mais dans leurs bras ils s’oubliaient
Avoir la foi est-ce une chance ?
Dans leurs mensonges ils se perdaient
Brûlant de mille feux pour surprendre
Autant vous dire qu’ils y croyaient
Enivrés par ces rêves étranges
De compassion puis de regrets
Perdre la tête sans aucun sens

Et on y revient sans méfiance
A qui la faute, quelle insouciance
Se prendre au mot, perdre confiance
Vouloir crever puis se reprendre

Et son se rebrûle d’insistance
Insatisfaits, plein d’arrogance
L’esprit confus, l’orgueil en transe
L’autre est sûrement de connivence
Puisqu’on est là…

Possession

Oasis - Wonderwall(cover by Jago)

Malgré moi Live

I like to play with styles then I made this first cover in an electro-rock music style. Hope you will enjoy it. If yes I will finish this song :)

Jago

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