persian midnight

In the static hum of neon skies
I close my eyes, the world rewinds
Paper wings, I start to float
Through shattered thoughts, a silent boat

Dreams like film reels out of sync
Fade to black before I think

I dream in codes and wires and rain
Nothing here feels quite the same
Floating through a glass sleep
Where nothing’s ours to keep

A staircase curling through the void
Each step a life I once destroyed
A thousand clocks with missing hands
Mark time in leaking grains of sand

I speak in tongues I never knew
My shadow steps ahead of you

I dream in rust and phantom pain
Every joy becomes a stain
Waking in a glass sleep
Where secrets never keep

A child with eyes like silent moons
Hums broken nursery tunes
His echo wraps around my chest
An elegy I can’t digest

Lights flicker in my bloodstream
Reality bends at the seam

I dream in smoke and static lines
Where silence slips between the signs
Drifting through a glass sleep
Where even truth can’t speak

And if I fall through the seams
Would you catch these broken dreams?
Are we just machines in mourning
Drifting off without a warning?

I woke up in a room of sand
The door dissolved beneath my hand
A voice like velvet stitched with ash
Said “You were never meant to last”

My name erased, my face replaced
By empty space I can’t retrace

I dream in loops and melting skies
The kind that live behind your eyes
Floating through a glass sleep
Where even time must weep

So pull the thread, unwind me slow
I’m more asleep than you’ll ever know
In dreams, we’re ghosts who speak
And vanish when we wake

floating dreams


Dans la brume d’un matin sage,
Je cours en évitant les mirages,
Le vent me parle de pensées,
de rêves jolis et si osés.

Briser les murs, les interdits,
Je trace la route en mode survie.
Pour avancer, quand tout s’efface,
Bouger, sortir de mon espace.

Et si je tombe, je me relève,
Sur le chemin, je suis mes rêves.
Je traverse des nuits sans fin,
Ou règnent la peine et le chagrin.
Au-delà des ombres, mon avenir,
Rempli d’amour et de désir,
Fini le temps des souvenirs,
Il est bien temps de partir.

Finis les fantômes dans les couloirs,
Les promesses mortes et sans espoir.
il faut quitter l’hiver gelé,
pousser un cri, me libérer.

Je n’veux plus rester à ma place,
mon coeur a besoin d’espace.
Sur les toits, sous les néons,
Raisonne l’écho de ma raison.

Et si je tombe, je me relève,
Je suis le chemin, je suis mes rêves.
Je suis l’écho d’un feu fragile,
Un battement fou, âme indocile.
Au-delà des ombres, je veux renaître,
Devenir celui que je n’osais être.

J’ai vu le vide, j’ai touché le froid,
Mais quelque chose brûlait en moi.
Une lumière pâle, mais si tenace,
J’ai retrouvé le sens, 
C’est le temps de la renaissance.

Et si je tombe, je me relève,
sur le chemin, je suis mes rêves.
Je suis fait de mes cicatrices,
Je suis vivant, plein de malices…
au-delà des ombres, je vais bâtir
Un monde doré fait de plaisir,
Un monde où l’on peut… enfin s’unir.


sortir de l'ombre

Un soir de pluie, sur mon écran
La lumière bleue me glace le sang.
Des mots fanés, vérités mortes
Tant de mensonges tapent à la porte.

Mettre le doute, flatter la haine,
Coule la colère dans toutes les veines,
Des vérités alternatives
Guident le monde vers la dérive.

L’écran noir crie bien trop fort
Il nous raconte la fin du monde
Attisant les désaccords
Et la parole nauséabonde
Que de Fake news et de fake love
Où tout me pousse à la névrose
Que de haters et de mythos,
Tous obsédés par le complot

[Couplet 2]
Ils parlent fort dans les silences
Ils changent l’histoire à chaque séquence
mots trafiqués, cœurs piétinés
Toute innocence s’est envolée

J’entends la foule qui s’incline
Pour des doctrines scandées en ligne
Tu Like ou meurs, choisis ton camp
La vérité vole comme le vent

L’écran noir crie bien trop fort
Il nous raconte la fin du monde
Attisant les désaccords
Plein de paroles nauséabondes
Que de Fake news et de fake love
Où tout me pousse à la névrose
Que de haters et de mythos,
Tous obsédés par le complot

Les yeux rivés sur les mirages
On suit des ombres et des visages
Des faux prophètes, de vrais victimes,
Autant de fantômes anonymes

Le monde brûle, mais en stories
On peint les drames en emojis
Plus de douleur, juste des filtres
C’est la noirceur que tout infiltre.


L’écran noir crie bien trop fort
Il nous raconte la fin du monde
Attisant les désaccords
Plein de paroles nauséabondes
Que de Fake news et de fake love
Où tout me pousse à la névrose
Que de haters et de mythos,
Tous obsédés par le complot

Et sous les cendres, brule un message
Quel avenir, quel héritage,
Toile internet passeuse de haine,
Contre la pensée citoyenne

Je rejète ce sinistre monde,
Où veut régner la bête immonde,
Je lève le poing, je pousse un cri,
Trop de bêtises et trop de bruit

Et pour demain, fin du cauchemar,
Retrouvons tous notre mémoire,
Plus de ténèbres, que vive l’espoir
Reprenons enfin le pouvoir

menaces fantômes

On s’est croisés à l’arrêt du vent,
On s’est r’gardés dans un mouv’ment
J’avais le cœur au bord du quai,
Prêt à te suivre à tout jamais.

Avec tes rêves en bandoulière,
Tous mes regrets et mes colères
On aurait pu refaire le monde,
Et tout quitter dans une fronde

Refrain
Au rendez-vous de nos deux vies,
Deux âmes, deux coeurs, un même esprit,
Enivrons nous dans les mirages,
La vie se trouve dans les virages.
File comme le vent, je serai là,
Pour une une vie de cinéma,
Hier, demain, main dans la main,
Oublions donc le quotidien

Couplet 3
Sur le trottoir de nos regrets,
J’ai vu ton rire dans le reflet,
Tu étais belle comme une comète,
Une vraie muse pour un poète,

Prenons le vent, courons le monde, 
deux âmes perdues et vagabondes,
La tête perchée dans les nuages,
Il est l’heure pour le grand voyage

Au rendez-vous de nos deux vies,
Deux âmes, deux coeurs, un même esprit,
Enivrons nous dans les mirages,
La vie se trouve dans les virages.
File comme le vent, je serai là,
Pour une une vie de cinéma,
Hier, demain, main dans la main,
Oublions donc le quotidien

Nos vies défilent sous les lumières,
Le tourbillon dans la poussière.
On s’est trouvés sans se chercher,
On s’est compris sans s’écouter.

Suivre ta trace, suivre tes pas
Être brulant et délicat
L’amour se trouve dans les détours
Une carte floue de nos amours

Au rendez vous de nos deux vies,
Deux âmes, deux coeurs, une énergie,
La passion brille en toute saison,
Éloignons nous de la raison,
Souffle le vent, pour toi et moi,
Notre aventure est un combat,
Hier, demain, main dans la main,
Oublions donc le quotidien

le vent se lève

I burned my name into the night,
Fell from grace, out of sight.
Torn in silence, lost in screams,
Buried hope, and broken dreams.
The sky collapsed, I hit the ground,
No one listened, not a sound.
But in the dark, I saw a spark—
A fading light inside the scars.

I’ve died a thousand times before,
But I keep coming back for more.
I bleed in flames, I break, I bend…
And then I start again.

From ashes, I rise
With fire in my eyes
I was broken, torn apart
Now I’m breathing through the dark
I scream to the sky
Won’t let my soul die
You can cut me, burn me, curse my name—
But I’ll rise again in flame.

You fed me lies dressed up as truth,
I drank the poison in my youth.
You lit the match and watched me fall,
But I found strength beneath it all.
Stone by stone, I built again,
Through every loss, through every end.
The world can break me, push me wide—
But can’t erase what lives inside.

Let it fall, let it fade,
I was made to break these chains!
Every scar, every lie,
Built the wings I use to fly!

From ashes, I rise
With fire in my eyes
I was broken, torn apart
Now I’m breathing through the dark
I scream to the sky
Won’t let my soul die
You can crush me, curse me, tear me down—
But I’ll rise again
Yeah, I’ll rise again
From ashes… I begin.

Whispers echo through the flame,
Calling out my secret name.
Even dust can dream of flight,
Even shadows need the light.

From ashes, I rise
No more disguise
You can try to break me down
But I’m the silence and the sound
I scream to the sky
No, I won’t say goodbye
You can kill me, hate me, light the pyre—
But I’ll rise again in fire.
Again… in fire.

I burned my name into the night

jungle parade

Back to the forest

[Couplet 1]
Lucie s’agite sous les lueurs,
Des réverbères du sacré coeur,
Elle file de métros en taxis,
Pour elle défile le tout Paris.

Un café noir tous les matins,
Dans une brasserie à saint germain
Lucie aime bien la compagnie,
L’odeur de la ville sous la pluie.

Pour elle la vie est un combat,
Amour, travail et célibat,
Elle veut un homme qui a du coeur,
Fort de valeurs et de douceur

Lucie si forte et si fragile
Toi si gracile et si subtile,
Tu es la fleur de cette ville

Une femme moderne et libérée,
Ambitieuse et assumée,
Une femme éprise de liberté

Lucie, ta vie c’est ta fierté,
Surtout, surtout ne change jamais. 


Elle porte du noir, comme pour briller
Elle parle d’amour à conjuguer
Elle file de théâtres en cinés,
Aime les bistrots et les musées

Elle soigne son corps et son aspect,
Elle assume sa féminité,
Une femme moderne loin des clichés
Elle fuit Tinder et les trophées 

Pour elle la vie est un combat,
Amour, travail et célibat,
Elle veut un homme qui a du coeur,
Plein de valeurs et de douceur

Lucie si forte et si fragile
Toi si gracile et si subtile,
Tu es la fleur de cette ville

Une femme moderne et libérée,
Ambitieuse et assumée,
Une femme éprise de liberté

Lucie, ta vie c’est ta fierté,
Surtout, surtout ne change jamais. 

Elle connaît les vins, les mots latins
Elle aime le silence du p’tit matin,
Elle veut des bras et de l’esprit,
Un être rare pour toutes les nuits

Elle aime danser les soirs d’été
Sous les néons, dans les cafés,
À la fois simple et compliquée,
Toujours lucide, parfois blessée

Lucie, ta vie, Lucie ta ville…
Tu suis ton cap, tu gardes le fil…
Dans tes amours, dans tes idylles…
Lucie, lucide… lucie, splendide…
Toi aussi belle qu’intrépide,
Ne change jamais, reste solide.

Lucie dans la ville

La playa vibra, la música suena,
el ron y el ritmo corren por mis venas.
Sombreros vuelan, risas al viento,
la fiesta empieza, ¡siente el movimiento!

Bajo el sol, bailamos sin control,
con el sabor de un beso arrebatador.
Bajo el sol, el mundo es un tambor,
late mi corazón al ritmo del amor.

Tus ojos brillan como la arena,
cuando me miras, pierdo la pena.
Tus caderas marcan el compás,
y yo te sigo sin mirar atrás.

Sudor en la piel, fuego en la mirada,
cada paso tuyo es una llamarada.
Tus manos me rozan y pierdo el compás,
este baile es juego… y algo más.

Mira cómo gira el cielo azul,
mi cuerpo se enciende, me llevas al sur.
Palmas al aire, que nadie pare,
esta noche el deseo no tiene lugar.

Bajo el sol, bailamos sin control,
con el sabor de un beso arrebatador.
Bajo el sol, el mundo es un tambor,
late mi corazón al ritmo del amor.

[Break instrumental – solo de trompeta y congas]

Y cuando amanezca en la orilla del mar,
yo te buscaré para volver a empezar…
¡Bajo el sol!

I burned my name into the night

PINGPANG

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