Critique cinéma par François Bégaudeau de "L'Angle mort" de Pierre Trividic et Patrick-Mario Bernard.
Dominick Brassan a le pouvoir de se rendre invisible. Il ne s’en sert pas beaucoup. À quoi bon, d’ailleurs ? Il a fai…
Merci pour cette analyse lumineuse et passionnante sur l inv…
Absolument d'accord : l'invisible rendu visible, le film qui…
Merci pour vos émissions. Je partage complétement vos ressen…