Ces enregistrements sont l'aboutissement d’une année de résidence de La Liseuse aux 3 B (Hôpitaux Bretonneau/Bichat/Beaujon),
résidence sur le thème des métamorphoses féminines de la petite fille à la jeune femme, à l’amante, à l’épouse, à la mère, à la veuve, à la vieille,
résidence qui a réuni auteures et comédiennes autour des patients.tes,
résidence de douze mois soutenue par le CNL. 

Voix : Camille Grandville et Chloé Chevalier
Montage, mixage, habillage sonore : Jean-Marc Schick
Réalisation : Caroline Girard

Renaître boxeuse - Violaine Lison

“ JUSTE UNE FOIS ”
Une pièce écrite lors d’Ateliers d’écritures conduits par Maud GALET LALANDE avec les patients, soignants et personnels de trois établissements labellisés Culture et Santé en Ile-de-France :
le Centre Hospitalier de Bligny, à Briis-sous-Forges dans l’Essonne,
L’Élan retrouvé, à Paris,
et l’EPHAD Cousin de Méricourt, à Cachan.

Avec les voix de Yannick LAURENT, Linda MASSOZ, et Louise ROUX.
Mis en musique par Dan BOUILLARD.
Le spectacle a été créé  lors de la Semaine de la Langue Française et de la Francophonie, en mars 2024, et s’inscrit dans la thématique de l’événement : Le Sport, ses valeurs, le collectif, le prendre soin.
Le spectacle a été joué devant tous les patients, soignants et personnels des établissements labellisés Culture et Santé en Ile-de-France ayant participé aux ateliers, mais également dans les établissements labellisés suivants :
à Paris, à l’Institut National des Jeunes Aveugles,
aux Ailes Déployées,  
au Foyer d'Acceuil Médicalisé des Batignolles,
au Centre Hospitalier National d'Ophtalmologie des Quinze-Vingt,
à Noisy-le-Grand, au Groupement d'Acteurs Associatifs Partenaires d'Action Sociale
à Bondy et Rosny sous Bois, à l’EPS Ville Evrard
à Beaumont-du-Gâtinais, à l’EPHAD Les Jardins de Chagot
à Bonneuil sur Marne, à l’Ecole expérimentale de Bonneuil
à Neufmoutiers-en-Brie, à la Fondation Santé des Étudiants de France
à Fontainebleau, Nemours, Montereau Fault-Yonne, au Centre Hospitalier du Sud Seine et Marne.

Une création financée par la la Délégation Générale à la Langue Française et aux Langues de France du Ministère de la Culture, et la DRAC Ile-de-France. Avec la participation de l’ARS Ile-de-France et des 3 pôles de références pour les écritures francophones : La Cité Internationale des Arts de Paris, la Chartreuse de Villeneuve-Lez-Avignon et les Francophonies de Limoges.

JUSTE UNE FOIS Spectacle Audio SLFF2024

« À l’écoute du vivant » avec Marc Namblard, audio-naturaliste & artiste sonore

Une conférence tous publics, à partir de 10 ans. 

Lorsque nous nous promenons dans des espaces naturels « sauvages », l’oreille attentive, l’une des premières constatations que nous faisons (en essayant de reléguer à l’arrière-plan les bruits d’origine humaine) c’est que ces lieux sont habités par une immense diversité de sons : chants et percussions d’oiseaux, cliquetis et vrombissements d’insectes, mugissements et jappements de mammifères, polyphonies d’amphibiens… Mais qu’est-ce qui peut expliquer une telle diversité d’expressions sonores ? De quels moyens les animaux disposent-ils pour produire tous ces sons ? Ont-ils des recettes secrètes pour bien se faire entendre ? Et les plantes… participent-elles également au murmure du monde ?

Nous en discuterons avec Marc Namblard, audio-naturaliste qui traque les sons avec ses micros à la manière d’un entomologiste équipé de son filet à papillons puis qu’il retravaille en studio pour composer des véritables paysages sonores.

Ce cycle de conférences est proposé par Gilberte Tsaï.

À lire – « Les petites conférences » sont devenues une collection aux éditions Bayard.

Les petites conférences #7 – « À l’écoute du vivant » avec Marc Namblard

« Où s’en vont les gens qui meurent ? »

Par Vinciane Despret, philosophe & psychologue 
Une conférence tous publics, à partir de 10 ans. 

Il est difficile de comprendre, et plus encore d’expliquer, ce que signifie le fait de mourir. C’est aussi vrai pour les grandes personnes que pour les enfants. La première question qui vient, pour les grands comme pour les petits qui ont perdu quelqu’un, est celle de savoir où sont les morts. Ont-ils disparu pour toujours ? Sont-ils partis en voyage ? Et si c’est un voyage, où va-t-on quand on est mort ?

On entend souvent dire chez nous que les morts restent vivants dans nos souvenirs : on continue à les aimer, à parler d’eux, parfois certains viennent dans nos rêves. On essaie de ne pas les oublier : on accroche leur photo au mur et on a le sentiment qu’ils sont toujours là, d’une autre façon. On leur offre encore des fleurs, qu’on dépose sur leur tombe quand on les a enterrés, ou là où l’on a dispersé leurs cendres. Toujours chez nous, certains pensent que les morts vont au ciel. D’autres, au contraire, affirment qu’il n’y a pas de vie après la mort, sinon dans la mémoire de ceux qui restent. Mais dans d’autres cultures, un peu partout dans le monde, on envisage les choses autrement. Là-bas, si les morts ne sont plus physiquement avec les vivants, ils ne sont toutefois pas complètement absents. On peut encore parler avec eux, on peut  leur faire des cadeaux, leur demander conseil ou de protéger ceux qu’ils aimaient. Dans ces traditions, les gens ont inventé plusieurs moyens de continuer à faire des choses pour ceux qui ne sont plus et pour qu’ils puissent encore faire eux-mêmes des choses pour ceux qui sont restés. Cette petite conférence propose d’en raconter quelques histoires.

Ce cycle de conférences est proposé par Gilberte Tsaï.
Découvrez le catalogue des « Petites Conférences » aux éditions Bayard.

À lire – « Les petites conférences » sont devenues une collection aux éditions Bayard.

Les petites conférences #8 – « Où s’en vont les gens qui meurent ? » par Vinciane Despret

Oujda au Maroc, est la deuxième ville au monde après Istanbul à compter le plus grand nombre de mosquées. Les Adhans, appels à la prière, y retentissent cinq fois par jour et rythment la vie quotidienne des Oujdi·es : muezzin, chanteur, étudiante, chauffeur de taxi, passant·es, marchand, nourrice racontent. Ces voix, mêlées à l’agitation de la place El Attarine, au marché de l’ancienne médina, au bruissement des ruelles et à la quiétude des parcs, dessinent une fresque, un voyage sonore, au coeur de l’Adhan.

Adhan, le chant des muezzins, une création de Ayoub Ait Taadouit et Annabelle Croze. 
📖 À savoir : Maqâm (pl. Maqâmât) : Mode musical utilisé dans la musique arabe. Chaque maqâm a une couleur et une émotion particulières. Dans l’adhan, le muezzin choisit librement son maqâm et peut même en changer pour enrichir son appel à la prière. Parmi les plus connus : Bayati, Rast, Saba, Hijaz et Nahawand.


AUTEUR·ICES et RÉALISATEUR·ICES : Annabelle Croze et Ayoub Ait Taadouit

MIXAGE : Ayoub Ait Taadouit

REMERCIEMENTS : 
Par ordre d’apparition : 
Fatima Chark
Mehdi Benrezzoug
Le passant
Si Yahya
Les vendeurs de maïs
L’étudiante en Anglais
Le chauffeur taxi
Mustafa vendeur ambulant
Pour leurs chants, leurs paroles, leur temps. 

Merci à l’Institut Français du Maroc, l’Institut Français de d’Oujda et de Casablanca pour leur accueil et leur soutien. 
Équipe de l’Institut français d’Oujda :
Stéphane Leclerc, directeur de l’Institut français d’Oujda
Mohammed Moumou, Responsable des activités culturelles. 

Cette création s’est réalisée en deux temps de résidences artistiques à Oujda en mai et octobre 2024.

Avec l'accompagnement de l'atelier de création de Transmission : Floriane Moro, Sarah Lefèvre, Charlie Dupiot. 


Adhan, le chant des muezzins

Dear DJ,s Dear Music lovers....This Accapella is now available for you who want to DOWNLOAD AND REMIX it Uplifting, Soulhealing, and Empowering music. It's from the Album " Fly High" and can be seen in video format on Youtube under the same artist name "Jaqee Nakiri Official....... Enjoy and thanks for the support and love...

08 Miracle Accapella

La classe de 3ème3 du collège Jean Lolive à Pantin vous présente l’émission « Pantin, une ville en mouvement : portrait d'une banlieue pas comme on la pense ». Après plusieurs balades géographiques et sonores autour du quartier des Quatre Chemins, à la rencontre des lieux et des personnes qui les pratiquent, les élèves de 3ème3 ont préparé une émission sur la gentrification et les transformations de leur ville. Au programme, des témoignages d’habitants, des chroniques, de la musique, et un quiz !

Cette émission a été réalisée dans le cadre d’un cycle d’ateliers radios animés entre janvier et mai 2025 par Léo Berthe, Emily Jokiel, Nils Loret et Floriane Moro, en collaboration avec Julien Berhault, professeur d’histoire géographie au collège Jean Lolive, et avec le soutien du collectif Transmission et de la Cité Éducative des Quatre Chemins.

Pantin, une ville en mouvement - Portrait d'une banlieue pas comme on la pense

Albert, Dérouleur de Ciels - Episode 11 – Chapitres 33 à 34

Adaptation sonore d'un conte poétique et humoristique qui vous embarquera dans un monde plein de fantaisie, où les tennis parlent, les rivières se peignent et les dragons transportent les tournesols.
Enfilez votre casque et suivez notre héros dans ses aventures hors normes en 12 épisodes !

Texte : Julie Safier-Guizard
Interprétation et mise en voix : Garance Legrou, comédienne
Musique originale : piano - Julie Safier-Guizard
Réalisation sonore : Laetitia Mailho
Illustrations : Anne Coupvent

Un grand merci à tou.te.s les ami.e.s d'Albert qui ont apporté leur précieux soutien pour que ce projet voie le jour !

Albert, Dérouleur de Ciels - Episode 11

Réalisation Franck Magloire
Création sonore Vincent Rioux
Avec les voix de Caroline Girard, Franck Magloire, Vanna, Christine, Olivier, Annick, Elise et Thérèse.
Textes produits lors d’ateliers d’écriture et de lecture à l’hôpital Fernand Widal, menés par l’écrivain Franck Magloire et la comédienne Caroline Girard.

Comment dire? Documentaire-Fiction Sonore

Réalisé à partir d'un entretien avec mon père sur le thème des berceuses et chansons enfantines.

Par Contre On avait le Poste

Forme jouée et enregistré le 26 mai 2020

LE JOUR D'APRÉS

Micro-trottoirs, portraits sensibles, parcours sonores, mises en voix de textes, je vous propose des capsules temporelles poétiques qui, loin de prétendre apporter des réponses tranchées, entendent interroger la porosité entre histoires singulières et collectives, nourrir des réflexions, alimenter les liens entre les humains, valoriser les espaces de fragilités et les paroles loin de tout jugement. 
Tendre un micro comme on peut tendre un miroir, inviter au partage, à la rencontre… et au pas de côté.

Albert, Dérouleur de Ciels - Episode 11

Laeti M

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