Soyons, soyons des amants incertains qui malgré la distance n’ont aucun doute
De l’amour fou qui nous prend par la main bien que jamais nos corps se goutent
Soyons, soyons des amants incertains qui dans la nuit toujours s’écoutent
Rêvons nos vies jusqu’au petit matin, c’est nos écrits qui nous servent de routes

De tes baisers je ne connais rien, J’imagine qu’ils sont doux, qu’ils mettent en déroute
Qu’ils savent faire chavirer tous les marins, Que tu accueilles sur tes côtes et dans tes voutes

Soyons, soyons des amants incertains et que nos cœurs toujours s’enflamment
De la morale je ne comprends rien c’est dans tes yeux que brûle mon âme
Soyons, soyons des amants presque sûrs et qui un jour couvriront de tendresse
Le monde entier par la démesure de cette amour qui toujours progresse

De ton corps, je suis orphelin, Je le dessine souvent dans des nuits qui sont courtes
Tous les croquis et tous les dessins, Font de ma vie une terrible joute

Ne soyons pas des amants malheureux, nos sentiments ne sont pas condamnables
La vie un jour transformera ces aveux en de doux baisers adorables
Soyons, soyons des amants qui patientent il est écrit que nous sommes sur Terre
Pour que nos âmes qui sont dans la tourmente trouvent demain de quoi se satisfaire

De ton histoire je connais si peu, mais toutes tes larmes ont irrigué ma flamme
Je sais qu’un jour, nous serons heureux même si au Diable je dois vendre mon âme



Soyons des amants incertains-AI

Moi je n’ai pas le malheur accroché à mes bras et aucune noirceur vient me parler tout bas
Je suis le métronome d’un bonheur primaire et mes pensées lugubres jetées à la Mer.
Mais quand tu n’es pas là, Mais quand tu n’es pas là,
Mais quand tu n’es pas là, je brulerai la terre entière

Je suis l’ennemi juré, des pleureurs, des plaignants, toutes les difficultés sont des challenges vivants
J’aime me battre et convaincre, trouver des solutions, jamais rien ne m’éreinte, tomber dans la potion
Mais quand tu n’es pas là, Mais quand tu n’es pas là,
Mais quand tu n’es pas là, je fondrais comme un glaçon

Même mon enfance digne d’un roman de Zola, une mère indigne dont je rêve le trépas
Rien n’a su altérer mon amour de la vie, en toute simplicité le bonheur m’emplit
Mais quand tu n’es pas là, Mais quand tu n’es pas là,
Mais quand tu n’es pas là, je me sens tout petit

Je n’ai aucune crainte de mourir un jour et c’est en souriant que je ferai le détour
J’ai conscience de la fin et prône l’Amor Fati, si je disparais demain continuera la vie
Que tu sois encore là, Que tu sois encore là, 
Que tu sois encore là, je veux partir avant toi


Quand tu n'es pas là-AI

On ne peut pas partager nos peines, On ne peut pas partager nos joies
Mais on a l’illusion quand même, D’être un couple toi et moi
On n’a pas d’enfant ensemble, Mais on subit toujours leurs lois
Puisqu’l’on n’vivra jamais ensemble, Notre maison n’existe pas

La vie sans toi ne m’épargne pas, la vie sans toi

On vit toujours chacun chez soi, Dans notre univers personnel
Le quotidien qui tue parfois, Face à l’absence est moins cruel
Et il vaut mieux ne pas compter, Les journées que je passe sans toi
Savoir que tes priorités, N’ont rien à faire avec moi

La vie sans toi ne m’épargne pas, la vie sans toi


On tient depuis l’éternité, Dans ce manque d’amour quotidien
Je suis le junkie crucifié, Et toi le consul romain
On n’a pas les mêmes attentes, Et c’est peut-être ce qui brisera
Le diamant des passions vivantes, Que toujours j’éprouverai pour toi

La vie sans toi ne m’épargne pas, la vie sans toi


La vie sans toi-AI

On avait attendu l’automne, pour retourner à la maison
Tapis de feuilles monotone marquant au fer la saison
Toi tu avais gardé la robe que tu portais en pleine été
Imaginant par cet effort, conjurer un temps si pressé
Le Froid humide avait rempli, les pièces déjà bien vidées
Tiens tu as pris la Bergère, je croyais qu’tu la détestais
Les objets changent de valeur, quand l’histoire s’en va à grand pas
Le matériel devient le cœur, d’un amour qui vivait sans ça.

Et l’on croit que l’amour, vit éternellement, tout ce que l’on a senti … ment
A l’échelle des jours, à l’échelle du temps, tout ce que l’on a senti … ment

Ma mère m’a donné pour toi, le pull que tu aimé tant
Elle a re-tricoté le bas, pour qu’il dure un peu plus longtemps
Tu crois que l’on aurait pu faire, la même chose de nos vies
Maille à l’endroit, maille à l’envers et tout serait reparti
Mon père ne veut plus me parler, depuis qu’il sait pour nous
Il est de la vieille école tu sais, ça durera un peu mais c’est tout
Pour lui le bonheur est un vice, seul le devoir est à citer
L’Enfer sur Terre est un délice, il faut savoir se sacrifier

Et l’on croit que l’amour, dure éternellement, tout ce que l’on a senti … ment
A l’échelle des jours, à l’échelle du temps, tout ce que l’on a senti … ment

Tu refermeras la porte, je te laisse désormais les clefs
Les souvenirs des années mortes continueront de nous hanter
Peut-être qu’un jour par hasard, je croiserai ton Avenir
aux bras d’une ex future histoire, saura-t-on encore se dire

Et l’on croit que l’amour, vit éternellement, tout ce que l’on a senti … ment
A l’échelle des jours, à l’échelle du temps, tout ce que l’on a senti … ment


Tout ce que l'on a senti ment-AI

Quand j’ouvre les yeux sur le matin d’automne
Et qu’un timide soleil vient rougir l’horizon
Qu’il ne reste qu’à peine quelques oiseaux aphones
Pour nous chanter l’amour dans toute sa déraison
Tu me manques, tu me manques, tu me manques Atrocement
Tu me manques, tu me manques, tu me manques

Quand je pars travailler et que sur le chemin
Je vois ces couples heureux de jeunes étudiants
Qui ont tout leur avenir et se tiennent par la main
Leur seule richesse se loge dans leur cœur d’enfant
Tu me manques, tu me manques, tu me manques Atrocement
Tu me manques, tu me manques, tu me manques

Quand il faut en journée parler à d’autres que toi
Et rester concentré ou du moins faire semblant
Je ne vois que ta bouche et entends que ta voix
Tous les mots qui unissent les incertains amants
Tu me manques, tu me manques, tu me manques Atrocement
Tu me manques, tu me manques, tu me manques

Quand je rentre chez moi tout seul bien souvent
Et que ma seule maitresse à pour prénom Guitare
Je la prends dans mes bras et comme unique amant
Elle me donne la musique que m’inspire ton regard
Tu me manques, tu me manques, tu me manques Atrocement
Tu me manques, tu me manques, tu me manques


Tu me manques-AI

Toi qui ne verras jamais ton iris comme je le vois
Changeant aux timbres de ma voix quand je suis à tes côtés
Un peu du bleu du ciel, une émeraude qui scintille, 
La couleur du jais pour la nuit et le jaune pour le soleil

Tes yeux sont ma souffrance, mon égérie, ma déraison
Et depuis mon enfance je fonds ... pour toi

Toi qui n’auras pas la chance de glisser sur ta peau
De t’allonger sur ton dos et de sentir la démence
De cette chaleur que j’aime, de ce grain particulier
De ce pays adoré où j’y consume ma peine

Ton corps est mon enfer, mon doux désir, ma déraison
Et depuis mon enfance je fonds … pour toi 

Toi, dont les doux poèmes ne sont écrits que pour moi
C’est à travers ta voix que j’aimerai qu’ils se promènent 
Qu’ils me fassent vaciller, être l’unique de ta vie
Et combler toutes mes envies et ne plus jamais pleurer

Tes mots sont un mystère, parfois terrible, ma déraison
Et depuis mon enfance je fonds … pour toi 




Toi qui ne verras jamais -AI

Ma main posée sur toi qui pèse de son poids, elle qui semblait légère
Qui savait t’entourer, prémices des baisers dont tu rêvais naguère
Elle retombe sans un cri, déboussolée, elle fuit avalant sa colère
Devant toute la violence  et comme une évidence la vie fait son chemin

Mes yeux qui te charmaient et dont le feu sacré te rendaient toute chose
Quand ils s’illuminaient pour te parler du monde et de tous mes combats
Parfois ils se noyaient lorsque ta voix donnait la réplique à ma prose
Devant toute la violence  et comme une évidence la vie fait son chemin

Ma bouche qui savait faire, par simple rejet d’air, pour t’habiller de joie
Et qui pouvait donnait dans d’interdits baisers du volume à ta voix
Maintenant elle se referme pour ne trahir sa peine et  faire sonner le glas
Devant toute la violence  et comme une évidence la vie fait son chemin

Mon corps bien que durcit, par la course  et la vie, pouvait te satisfaire
Endurant et parfois dans l’ombre de tes bras devenant Jupiter
Aujourd’hui  il se fuit dans l’effort et la nuit sans limite et sans loi
Devant toute la violence  et comme une évidence la vie fait son chemin


La vie fait son chemin-AI

Comme une photo jaunie par le temps et la vie
Que l’on va rechercher pour nourrir sa mémoire
Pour revenir un peu dans cet autre pays
De l’enfance oublié tout au fond d’un tiroir

Comme cette fleur séchée que l’on ose toucher
Coincée entre 2 pages d’un livre qui nous lit
On l’avait oublié depuis bien des années
Ce parfum délicat qui à peine ne vit

Comme ces notes de musique qui viennent nous effleurer
Et font couler des larmes de douce nostalgie
Sur les joues amaigries de multiples été
Et de l’amour ancien que le son rajeuni 

Comme cette voix que j’entends aujourd’hui plus qu’hier
Et qui vient m’inviter à lui ouvrir ma porte 
Pour qu’entre nous il n’y ait à jamais plus d’hiver
Qu’un amour magique désormais nous transporte

 Ces détails arrêtés dans un passé lointain 
Ressurgissent parfois et animent sous nos yeux
Des scénettes charmantes ou la main dans la main
Nos serments amoureux avaient le goût de feu


Comme une photo jaunie-AI


L’Amour ça passe

Tu peux reprendre ce que tu veux, tout bousiller, mettre le feu
Moi je te dis tout simplement, rien ne sera plus comme avant
Les mots d’amour au coin du feu, les verres de vin en amoureux
L’Amour ça passe, l’Amour ça fuit comme le vent et les envies

Tu peux revoir tous les amis, leur dire à quel point j’ai menti
Cracher sur moi tout en pleurant rien ne sera plus comme avant
Les petites surprises du matin, les compliments et les calins
L’Amour ça passe, l’Amour ça fuit comme le vent et les envies

Tu peux m’attendre l’éternité ou dans la rue pourm’poignardé
Même si je suis vidé d’mon sang, rien ne sera plus comme avant
Les dîners en tête à tête, les jours au lit à faire la fête
L’Amour ça passe, l’Amour ça fuit comme le vent et les envies

Tu vois ma chère y a rien à faire que de prendre la vie comme elle vient
Un jour d’bonheur, un jour d’misère c’est le lot de tout quotidien
Alors tant que tu respires, la vie doit rester un sourire
L’Amour ça passe, l’Amour ça fuit et c’est comme ça que je vis.



L'amour ça passe-AI

Et si je n’étais plus qu’un trop vieux souvenir, une triste chanson, un refrain
Une voix qui t’a trop longtemps fait souffrir, oubliant la douceur de mes mains
Et si je ne devenais qu’une lumière éparse, dans une vie qui doit continuer
Tu as toujours eu la première place des femmes que j’ai su aimer

Et si au musée des « Amants incertains » je tenais ma place désormais
Que tes sentiments n’ont pas de lendemain, que tes yeux ont déjà trop pleurés
Que ton cœur a vidé notre belle histoire, sans qu’elle puisse nous ressusciter
De tous mes amours il faut me croire, tu es la seule que j’ai tant aimé

Et si ce roman écrit à 4 mains restait pour toujours inachevé
Que notre voyage n’avait plus de chemin et notre fil rouge brisé
Mes rêves et mes désirs se nourriront de toi et dans tous mes poèmes
Tu resteras la muse à coté de moi à qui je dédie mes « je t’aime »


Et si je n'étais plus.AI

J’écris, compose, chante et joue à la guitare et avec mes mots  sur des rythmes Folk, Jazz, Rock, Bossa Nova et tous autres
Mes chansons sont inspirées de la poésie, elles peuvent être aussi bien humoristiques , romantiques ou réalistes.
Souvent inspiré par des « muses »,
 je mets la vie en chanson, souvent la mienne mais aussi celles des êtres qui me sont chers parce que je dois tout à l’amour celui que l’on m’a porté, celui que l’on me porte et celui que l’on ne m’a jamais donné.
Loïck

I write, compose, sing and play on guitar and with my own words on Folk, Jazz, Rock, Bossa Nova rhythms and all others
My songs are inspired by poetry, they can be humorous, romantic or realistic.
Often inspired by "muses",I put life in songs, often my own life, but also those of my loved ones, because I owe everything to love, the one I’ve received, but also the one I’ve never received 
Loïck

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