Delire

Mylmo, le porte flambeau s´engage a militer pour l´avenement d´un Mali nouveau avec ce single sortie a la faveur des échéances électorales présidentielles du 28 juillet 2013.
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Mille vérité de MyLMo

04 Mah Kouyate

Lémourouba est un voyage musical à travers les sonorités Malinké, Kasounké et Soninké. Broda Diabaté, ce natif de Kayes et ex-sociétaire du Tambaoura Jazz de Kènièba nous amène dans le grand royaume Mandingue de la Gambie (Badibou) au Mali en passant par le Sénégal. 

Broda Diabate, NDJELALE

MRB01- Nana Kouyate DIARABI

Petit Denis

One of the most played albums in Mali. Cheche was Babani Kone's apprentice and this her second solo album was album of the year in 2010. Recorded at Studio Mali, all stems are available. 

DALIBA by Cheche Drame

This is an original I wrote on guitar and recorded in a single take - raw and unfiltered.

Floating and Spinning

Salmo 139:23-24 (Search me O God)

Examina, Oh Dios, mi corazón
prueba mi pensar,
y ve si hay algún perverso camino en mi,
guíame Señor, guíame Señor,
Guíame en el Camino eterno.

Haz indagado, haz conocido
mis victorias, mis derrotas,
Tú puedes ver desde lejos mi pensar,
sabes todo en mi.///


🌹🎻🌺🌱🎶🌷🌹🎻

Examina Oh Dios mi corazón- Salmo 139:23-24-Search me O God-Psalm 139:23-24-🌹🎻🌺🎶

Sink or Swim

Né à Abidjan de la famille Sékouna de Mamoudou Kabala, le destin de cet artiste est considéré comme blasphématoire par sa famille conservatrice. Babadjan est assez peu connu malgré un talent rare. A 12 ans, Babadjan est un grand mélomane et fanatique des films hindous. En face de la concession familiale à Kankan, il y a le Solex Bar où se produit le Horoya Band. Le jeune Babadjan est subjugué par la prestation des musiciens de l’orchestre. Les doigtés de Kabinè Diabaté, alors soliste, la voix suave de Lancinè Kanté retiennent l’attention du jeune garçon. En 1966, il se cache de son père pour rejoindre Cheick Traoré de l’orchestre de Kankan appelé "Kenkenya Kè". De peur que son fils n’embrasse la carrière de chanteur, son père le transfert à Siguiri. Ne voulant pas en rester là, Babadjan refuse l’école et se contente de chanter dans la brousse. Au hasard d’une rencontre, Django Cissé, alors bassiste du Niani Band entend la voix de Babadjan. Il l’intègre dans l’orchestre de Siguiri où il interprète avec brio le titre Boloba. Deux ans plus tard, Babadjan est incorporé dans l’orchestre fédéral, le Manden könö.

En 1970, le décès du père de Babadjan le libère enfin de la contrainte familiale.

En 1973, en compagnie de l’orchestre fédéral, le Manden Könö, Babadjan participe pour la première fois au festival national à Conakry. Durant son séjour, il tape dans l’œil des musiciens de l’orchestre national Kèlètigui.

A la suite de négociations ardues avec les autorités de Siguiri, Babadjan débarque enfin à Conakry.

En 1977, il entame les répétitions avec l’orchestre Kèlètigui, et va produire avec cette formation musicale son titre phare Maderi. Son association au vocal avec le congolais Ange Miguel donnera du tonus au répertoire de l’orchestre.
En 1982, avec Ibrahima Soumano, Bréma RDA pour les intimes, Wendell Kouyaté, Aphadio Condé et Ahmed Kaba, Babadjan enregistrent une série de titres. Le groupe improvisé aura pour nom les Etoiles de Conakry.

Quelque mois plus tard, il rejoint Abidjan via Bamako pour retrouver Manfila Kanté.

En 1985, Manfila part pour Paris, et Babadjan fonde avec quelques musiciens guinéens le groupe les Etoiles du Mandingue, qui vont se produire à Abidjan.

En 1991, Souleymane Koly fait appel à Babadjan pour jouer dans l’opéra mandingue Waramba, qui livrera 19 spectacles en France.

Par le truchement d’Ibrahima Soumano, Babadjan s’installe définitivement à Paris. Là, il va poursuivre sa carrière musicale en produisant en tout et pour tout cinq albums : Sitan, Sabari, Feeling Mandingue, Kankan et A té Foroséla. En tant que requin de studio, il participera à l’arrangement de plusieurs albums d’artistes guinéens comme Dianka Diabaté, Djeli Moussa Kouyaté, et bien d’autres.

Quelques mois avant sa disparition, lors de son dernier séjour à Conakry, Babadjan s’était confié à certains de ses proches. Il avait en projet l’ouverture à Conakry d’un studio, pour aider les artistes de la place, qui n’avaient pas les moyens de rallier Abidjan pour des enregistrements. Malheureusement, le destin en a décidé autrement.

Il s’en est allé au royaume du silence, en nous laissant le souvenir d’un artiste accompli, qui n’avait pas épuisé tout son talent. Son passage dans l’orchestre national Kèlètigui et ses Tambourinis a imprimé une touche toute singulière au répertoire du groupe musical. Le titre "Maderi" est un de ses "best of" qu’on se lassera jamais de déguster. Babadjan aura été une trouvaille qui confirme la maestria de feu Kèlètigui Traoré, homme-orchestre pour qui la musique n’a point de secret.


Babadjan Kaba, TOUBA FAMAKE

Originaire de Kita,une des villes à présent reconnue pour être le berceau de grand artistes,Safi Diabaté,soeur du grand percussionniste Sékou Diabaté et de feue Mamou Diaman Diabaté,Safi Diabaté est une artiste au timbre de la voix remarquable.

Issue d'une famille de griot,elle débute très tôt dans la musique,sur les traces de sa sœur aînée,feue Mamou Diaman Diabaté. Mariée au grand koriste Madou Sidiki Diabaté jeune frère de Toumani Diabaté,très ambitieuse,elle a participer à plusieurs festivals en dehors du Mali.

En 2011,lors de la soirée des Tamani d'or qui récompense les meilleurs artistes de l'année,elle reçois le Tamani de la meilleure artiste féminine de l'année.

De sa voix douce,elle a animer plusieurs sumu,et à présent,elle vient de mettre sur le marcher son premier album « Championat » éponyme d'un de ses titres qui à eu beaucoup de succès,la dédicace à eu lieu le 9mars 2012 au Palais de la Culture de Bamako.

Dans la majorité de l'album,sa douce voix est accompagner de l'instrument de son mari,on peut également y retrouver des rythmes de salsa,c'est plutôt moderne avec des instruments traditionnels(kora,djembé,ngoni,balafon) ce qui ouvre la porte à un autre public.

On peut également percevoir la participation d'Ahmed Fofana,le multi-instrumentaliste et arrangeur,Adama Diarra alias « Petit Adama »,une assemblée de grand musiciens reconnu pour leur talent,ce n'est donc pas un album à rater pour les amatrices et amateurs de qualité.

Pour les parisiens il faudras attendre un peu pour pouvoir l'acquérir,attention au piratage,je sais que c'est la crise,mais pensons aux personnes que sont les artistes.

Comme sa belle sœur,Astou Niamé Diabaté,elle est membre du groupe Nouvelle Montante,avec lequel elle progresse.

Safi Diabate, MARIAM DIABATE

Reexpetition

Mangala Camara, BOULA

Fatoumata Koné (connue sous le nom de Babani Koné) est né à la fin des années 60 dans la ville de Ségou. Elle est la fille de Salif Koné et Mariam Kouyaté mais c’est auprès de sa grand-mère Awa Koné, griotte reconnue, que la future étoile de la chanson malienne fait son apprentissage. C’est également à cette grand-mère qu’est confiée l’éducation dans un sens plus large de la petite Fille. Awa amène la jeune Fatoumata aux diverses cérémonies de mariage et de baptême afin d’assurer la formation de la jeune fille en tant que future griotte.
Fatoumata assimile vite les techniques vocales et de narration spécifiques à l’art des griots. Son talent est vite reconnu dans son quartier et c’est le Mouvement des Pionniers qui va lui permettre ensuite de se produire régulièrement et d’accroitre sa réputation. Parallèlement à cela, la jeune Fatoumata Koné est devenu la « star » incontournable des mariages et des baptêmes.

Dans le cadre des « Etoiles du Mali », elle produira ses deux premiers albums Sanou Djala en 1996 et Barika en 1998.
Ces deux albums vont constituer des importants succès commerciaux et permettront à Babani Koné d’être célèbre dans toute la sous-région ainsi que dans la diaspora malienne en France et aux USA.
C’est d’ailleurs en France et aux Etats-Unis qu’elle enregistrera son troisième album Djéliya. Celui –ci sortira en 2000 et sera l’album de la consécration pour la chanteuse de Ségou.
Depuis, Babani Koné a encore sorti différents albums comme Yéléna et Gnoumandon et est devenu aujourd’hui incontournable dans le riche paysage de la musique malienne.
(Source cultures-maliennes.over-blog.com)


Babani Kone, MIERUBABA, Master of River

Originaire de Ségou, capitale de la quatrième région du Mali et des Balanzans (arbre mythique), etc. Fatoumata Koné de son vrai nom, plus connu sous celui de Babani Koné, naquit dans une famille nombreuse à la fin des années 60. Son père, Salif Koné, opérateur économique de son état, et sa mère Mariam Kouyaté, ne pensaient pas avoir au sein de leur famille une future star de la musique malienne.

Confiée par ses parents dès son plus jeune âge à sa grand mère, comme il est souvent de coutume au Mali, fait ses premières armes aux "Etoiles du Mali" et est auteur de deux albums.
Le premier album : "Sanou Djala" est sortie en 1996
Le deuxième album : "Barika" Marie Louise, dédié à l’épouse du richissime malien Babani Cissoko est en vente depuis 1998.

Babani Kone, KEDO ACOUSTIC

Petit Kandia “Manssa Balimanaya” (Guinée)

We are an independent record label and a music production house, dedicated to the traditional and contemporary music of Mali. We record, edit, package and distribute original music by Malian artists. Mieruba was established in the ancient city of Ségou in 2007 and we are still based here.

 As an independent label, we make original music productions available to the general public under our own brand name, be they audio recordings or video clips. We do this, because we consider it our responsibility to preserve and promote Mali’s rich cultural and musical heritage and make new artistic discoveries. Between 2010 and 2018, Mieruba issued a series of eight albums, as part of its project The Lost Maestros. Almost all of the music was recorded here in Ségou. We are running a number of projects, alongside The Lost Maestros; we will present these shortly. Mali, our country, has earned worldwide fame for its art, especially its high-quality musical productions. We are considered Africa’s premier musical exporter. But in spite of all this artistic wealth, most of Mali’s artists release their work on labels outside the country. This is the main reason why we found it necessary to create a label here and call it Mieruba. 

At the origin of it all was our desire to create high-quality work in close collaboration with the artists themselves. And it this passion that continues to fuel everything we do. All of us, whether it is the label’s founder, the paid and unpaid workers, the interns and everyone else who works with us in the production and distribution – we all get our energy from this love for music. This is what propels us forward. Our mission really is to put front and centre the kind of music that often gets ignored by the mainstream. In this sense, we are part of a counterculture, standing firm against the kind of musical standardisation you can hear all around you. Through its musical productions, Mieruba helps to safeguard musical diversity and promote musical democracy. We want to become the passageway, taking the music from the realm of unpaid craftsmanship, through emergence and into the professional sphere.

Safi Diabate, MARIAM DIABATE

Mieruba- ML

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