Name: Breath of the Primordial Forest by Nabil Najem
Duration: 5 min 21 s
Description: Organic ambient with forest sounds, didgeridoo drones, and wooden percussion, creating a grounding, ancient atmosphere.

it's 3am in the smoky jazz club and she walks onto the stage to play the last set of the night... tales of heartbreak, self destruction, lust, nightmares and doomed love... but not without a sprinkle of hope on top. Sometimes that small piece of hope is enough to take you through another day. A melancholy collection of some of my jazz reinterpretations of my songs

Edge of Reflection v3 jazz version

LYRICS

L’aube s’étire sur les toits humides,
Le ciel est une feuille de papier buvard,
Je suis assis dans le silence, de ton absence
À compter les failles dans le plâtre du mur,
Le store bat la mesure d’un temps suspendu
Comme un cœur qui aurait oublié de s’arrêter,

Que c’est triste, le jour qui naît
Dans cette pièce où tout est déjà mort
Le café refroidit dans la porcelaine blanche
Et je regarde le monde sans y prendre part
Le froid a tissé sa toile sur l’oreiller
Et la douleur est un sillage que je suis sans bouger

Dehors, un couple rit près de la fontaine
Leurs voix montent comme des bulles
Moi, je reste là, dans l’encadrement de la porte-fenêtre
À respirer l’odeur de tes cheveux qui s’en vont
L’accordéon joue une rengaine incomplète
Comme une histoire sans chute, ouverte et secrète

Que c’est triste, le jour qui naît
Dans cette pièce où tout est déjà mort
Le café refroidit dans la porcelaine blanche
Et je regarde le monde sans y prendre part
Le froid a tissé sa toile sur l’oreiller
Et la douleur est un sillage que je suis sans bouger

Nous avions cru que l’amour était une langue
Mais nous n’en avions appris que l’alphabet
Maintenant, je déchiffre les traces de ton passage
Dans la poussière dorée et le silence qui stagnent

Que c’est triste, le jour qui naît
Dans cette pièce où tout est déjà mort
Le café refroidit dans la porcelaine blanche
Et je regarde le monde sans y prendre part
Le froid a tissé sa toile sur l’oreiller
Et la douleur est un sillage que je suis sans bouger

Sur le balcon
Le vent tourne une page invisible
Je n’attends plus rien
Juste la mémoire
De ce qui n’a jamais vraiment eu lieu
Et le jour se lève
Toujours le même
Toujours seul

Que c'est triste

Ethereal ambient drones evoking dawn's serenity, with shimmering pads and distant bells. Perfect for meditation and reflection.

DAWN ABOVE THE EVERLASTING SHROUD

Dawn above the Everlasting Shroud

Deep ambient pulses with warm bass and vocal pads, creating a meditative, subaquatic journey into the depths.

Hypnotic Pulses from the Abyss

Hypnotic Pulsations of the Abyss

Melancholic piano melodies intertwined with gentle rain sounds, evoking nostalgia and introspective moments.

Memories in the rain

Organic ambient with forest sounds, didgeridoo drones, and wooden percussion, creating a grounding, ancient atmosphere.

Breath of the Primordial Forest

Celestial pads and shimmering synths create a weightless, cosmic journey through a nebula of sound.

Celestial Nebula

Minimal guitar ambience with lush reverb, resolving into warm pads for ultimate peace and finality.

Return to calm

A minimalist ambient piece featuring delicate harp melodies floating over ethereal vocal pads and a deep, warm cello drone for ultimate serenity.

Veil of tranquility

A deep ambient track with slowly evolving luminous pads, subtle digital textures, and a distant music box melody, creating a weightless, drifting sensation.

Breath of the Primordial Forest

Nabil Najem

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