Ecrit & interprété par ITESS & MOONZ
Instru': OUBLIER par Prod. By XAM BEATS
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L'homme Révolté (J'ai Honte) Feat MoonZ

Tech Hous

Ecrit & interprété par ITESS
Instru': "La Saison des Loups" Par Hanto
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Ma (dernière?) chanson



MA REALITE

Ma réalité c’est la street, strict criminel sensible
La Terre s’ensable les monstres tirent sans cibles
Semblable contre sang black c’est ça sans blague
Je concrétise à plein mes rêves autour d’une blague
Je fais un tabac sinon je tabats et ça tabasse 
Fais tourner la tasse ! paix aux tiens faut qu’on brasse
Braz c’est la guerre dans les deux émisphères
Le crâne sous pression je digère mes enfers
Pour pas les faire vivre aux miens reste que ça frère
Sinon c’est la merde, ma réalité c’est sincère
Et puis c’est tout ma réalité fait mal et je la regarde
Grandir petite qui rend les coups LA GARDE !
Toujours de pieds pour mettre un poing sur leurs I
JE suis le clan du trèma métamagicien droit comme si
Il miré le sol la sol do mi et quelques amis on rêve
Que nos palabres étaient des messages de trêves
Ils ne parlent que de sanglot c’est sans logique 
On verse tant de sang – Grise et ma ville je peins et je nique
Tout va bien facile à dire comment survivre jusqu’à la
En réalité très pur est la ligne et je suis au tel avec charon
Je coordonne mes voyages avenir loin des berges du daron
Les larrons y boient leur larmes voyez crovez en vous
Et tout prend du sens cherchant tous Tous le rendez vous
Avec la chance, mais il la vendent sur application
Et les nations s’enlisent dans l’ennui et la félation
Pleurez pauvre fou les gens meurent les gens se lève
Et meurent la résitance à la violence de ce monde est immense
Et tous pensent et prie de ne pas rentrer dans la danse
Elle est violente la réalité et je lui cache la vérité
Toute façon tout le monde la connaît en réalité
Ma réalité mec c’est la street, de rue en son on s’orne
Et charme les jours fastes et pleurent peu je suis borgne
Au pays des aveugles je jongle avec les boules du monde
Je fonde pas un empire je cultive mes racines
DREUX sang pour sang je regarde les bleus les blancs les rouges
C’est le type blanc en bleu qui doit prendre un rouge
L4arbitrage a fauté et le droit à l’image est carré
C’est la chance de voir ça dans le Carré VIP
La musique mon frère c’est toutes ma vie je gamberge
De la weed en block je gratte mon bloc avec ma verge
Bruler un cierge la Madona implore pour nous
Que la lumière reviennent mais après tout
Il ne neige plus en hiver et la vie est dans la rue
Paru Vendu, PAP, Ceci cela à l’agence coussi coussa au coin de la rue
On rumine et urine aux même en droit ou ils nous oppriment
Et nous remercie pour une chanson en GAV je grave mon blase
Mec de dreux je drope le scoop ici s’arrête l’homme
Porte de prison sa mère ou spiderman est condamné au dédale

Et y trouver des rires même dans l’impasse et que dalle
C passe on trace nos vies ou on se casse le dos pour dix balles
C’est déjà ça mec trop mecs en dépendent alors je bande
Mon art sot et ingrat je gratte ouais en gros kho je commande
Comme au domac qu’elles que vers à la prod, elle me sourit
C’est plus l’heure des héros, faut le million
Je connais le pape c’est Louis Vuitton dit-on
Et on en rit et on en souffre et c’est ce qui le rend si cher
L’effort qu’on y consent est le seul moyen d’entrevoir la paix j’espère
Le monde change et je suis pas bob dylan sous le mirador je suis libérable
Les lèvres dans les mains j’embrasse le destin mon frère
De nous avoir mis c’est carré dans ce carré pour raper
Notre gamberge ma réalité je sais pas Lennon Imagine.


WEEDLOCK PROD.

MOONZ

lait rouge

[FREE] Ptit Père Instrumental Rap Old SchoolHip HopConscient Prod. by Superfishmann

Les parques la nuit sont topless entre les types sans logique un homme laisse faire. Frère le fric pèse des tonnes sur des familles entières comme une chappe de plomb, on veut choper d’l’or tu captes. On tue sur des livres d’alchimie des mots, mis bout à bout j’alunirai ; j’empeste la chance, avec ma mine je plante le décor d’un monde réel et tragique. Vous emprunté une voie qui n’est pas mienne, je kicke dans la fourmilière avec les miens on ne signe pas de pacte mais comme tupac on rape sur K7, Aka 47 verbalistique je tire le portrait d’une sale époque la pente est raide En vrai vivre c’est un honneur, Mais la guerre la famine l’horreur nous pousse à boire au calice les nuit perdues d’avance Sous l’immense ciel je divague et navigue en me demandant ce qu’ils disent 
‘’Le céleste est dessous comme au-dessus, la terre est creuse ou plate’’, ou je plane dans la surface lâche un Predators kick gros je suis le Terminator et tords ces porcs, au corps à corps c’est hardcore, je baise dehors dedans, j’entre je ressors c’est pour l’essor de mon cycle vers tueur, peu vertueux comme un templier en Ferrari Ils veulent coupé nos racines quand les leurs sont liés à l’histoire génocidaire et sacrificielle, leur monde est bati dans le sang ils pactisent tous avec le diable, c’est comme quand tu es petit, tu mens au grand et il te croive pérave et gâté c’est pourave ils nous mette des schlass nickel dans les mains 22 les yeux injecté de sang je travaille devant le monde de la lucarne. Attend j’feinte comme une fleur maigre, c’est aigre et doux je suis joyeux sous beuh je suis fou des sous d’en dessous et encore plus saoul on bastarde tous ces troufions du pacte sombre. Ils ne l’acceptent pour que ça rapporte du temps à leur lignée de faire de l’argent, et le déséquilibre est une autre forme de contrôle pour établir de nouveau dictateur. 
Tu sais je vole dans ma chute, j’approuve la mort sans but. Je rime et fais la culbute, c’est quit ou double je ne sais pas, j’dribble. Nous affamons des générations du tiers monde ; C’est d’la que nait la haine vraie d’un système sous les spotlight de la fin de leurs règnes mais personne ne tient sur cette poutre… Qu’ils aillent tous se faire foutre Un type tue sa femme et un autre se pend, on s’y perd et sephirot est le héros de sa maman. L’unité de l’occident comme dans un terrier en feu brûle ; personne ne s’entraide et les lièvres sortent du chaos de l’oncle Sam. On dévore des pierres de sagesse la nuit, confucianisme et poésie : Ces pierres angulaire de la vie ; Comme autant de pavé dans la marre on fume les cailloux la weed dans les marches pour larguer toute cette merde illusoire. On tient la barre et on évite les histoires. Je n’ai pas l’esprit dans mon assiette. Dur de vivre à 10 dans ma tête. Malgré tout le diable se lèche les babines. On ne badine pas avec l’amour ou le crime. Ils m’ont pris pour un bambin, jusqu’à ce que je monte la voix. Tu as cru que j’invente je crie une réalité tragique avéré. Ils se la racontent mais je rape mieux qu’eux. Les prend à la queuleuleu ces leurleurs la nuit j’sais est bleue


[nuit bleue Prod. by Superfishmann

[FREE] Instrumental Rap Mélancolique, Triste, Conscient - Instru Lourd 

By Puissance Sonore...
*
Plus en noir que l’or sur le capo 1-2.6-7 on calcule l’investissement de deux trois billets
Grosses coupures, par-dessus, coiffé d’un panama beige toujours bien habillé
Mortel transfert d’otage des nations unires le comité A5 toujours dans l’axe du mal intedit les galarie marchande au proche orient  c’est le zook dans la soap télévisé
Il l’ont molle je maudis ces malentendants incolore inodore j’arrive in ou outdoor sur le floor je frole le bordel d’un type armé lourdement avec un tractopelle pour enterrer les égos de fous qui dérapent, je canalise des énergies un truc de malade dans les égouts je gratte ma merde quotidienne obligé c’est normal
Des galaxie au coin des yeux de la taille d’un calot, bleu est mon regard froid met moi chez toi frida
J’exorcise la haine lourde, entre prise de position et prise de cacheton
Des vauriens sont forcément des peuples de malade
Alors je maraude en roublard je rode les lumière cherche les murs d’enceinte
Da ! Au centre de la caméra on cantine tu guette un regrets de passation mais je n’ai pas ta pension met le feu ou la pression je trinque au soir trouble sous la table le flingue tourne et on attend la conclusion de cette histoire de vampire sur le buvard, tranversant le boulevard pour rejoindre les loubards quand on arrive en ville ectera saez un petit kawa on est douze sur un million de cette planète des escrocs c’est le début de la resistance et de la contre bande d’arme comme arthur ce vaurien, je me demande comment les soirs de presqu’ile il attendait d’être entendu comme on soupire à la grâce d’être passion et tempête sur la tête de ma mère c’est la guerre sur terre je pleure sans les larmes parsonne n’en versera de toute manière, cœur de contre façon je charbonne pour faire du cuivre et des basse de l’or et conduire l’électricité dans l’air à rendre sa parole comme une prière. Parce que c’est quoi sinon la fin des temps comme un échec commun qu’aucun humain ne vaut la peine, j’ai mon vécu et e lève les yeux sur le christ en vrai c’est très triste…


etoile

J’ai jamais eut que ma mère et mon père et mon frère maintenant – tous – disent leurs palabres comme-ci savez leurs vies mais ils restaient derrière leurs portes quand le corou tombait.
Tous des mitos dans leurs vocations à faire de l’autre le leur pour faire quoi d’autre que fumer de la me-ca jusqu’à la mort de l’un puis des leurs, pour ramasser un peu de rêves et de larmes – j’ai faim on bouge ici ça pue la mort, je vais faire les vendanges dans deux mois – viens avec moi – ça paye et puis l’ambiance est cool sauf faut que tu taffes – ça c’est sûr.

 Pas possible – tu sais je suis pas d’ici – je m’en fous , j’ai fait tout ces trucs avant et je sais ce que tu dis – ma vie est là, bouger leur donner raison, je viens d’ailleurs mais je suis là et je reste parmi les miens – c’est qu’est-ce que c’est – bref comptant de t’avoir croiser – je vais marcher un peu bon appetit.
pourquoi tu parles jamais toi ?
 je vois vraiment pas quoi te raconter, c’est tout -
c’est pour ça que je t’aime bien toi – tu fais pas comme eux.
 bref à tout à l’heure … je vais voir un gars pour un que-tru 
Touche pas à cette came là, mec
qu’est-ce que tu veux, j’ai rien à faire d’autre. c’est la vie.
Trademark Shaker coktail détonnant dans ta tête
mange ton cerveau à la broche hé caline tu es bête
tu rêves je réalise tu dis hypocrisie je dis voyoucrasie
masse tes idées ou tu seras dans le game très mal assis
cosmétique et ménélik te réveillent pour un beybey
tu veux faire la caille avec un neuf vous n’êtes pas de taille
raye ton nom et ton prénom dans ma vie de voyage
les enfants et les parents m’appelle le garçon pas sage
si je suis une pute tu es sans doute ma chatte matte ça
sur le beat d’un rap trap gangsta rap avec le rat pack je pera ça
je n’ai pas besoin de prier et hurler pour avoir le droit ou l’électricité 
je fais le nécessaire pour que tes gosses puisse mourir de rire devant la télé
Les aubes sont sinistres dans le jardin d’hiver de tes ministres
Quand tu veux mon esprit pour terrain de jeu – je t’administre
mon aiguille frappe comme la guêpe down comme le soleil à 18 heure
mais est-ce que toutes leurs âmes sont dans la meca pour faire les dealeur
des mourant veulent conduire des voitures google.com pour faire le show
pour faire le chau’ les enfants de la chaux font les marshall marshmallow
mes khalos pèsent des pésétas, vos calots font des eureux de récré
ma qualité est estempillé street vous paysan boulanger à priceminister
ils se sont pris pour mister univers en faisant les mister freeze dans le frigidaire
mère nique ta mère, père nique ton père, terre nique ton ter-ter, faire et dire
où tu achètes tes sucres à Spark, j’ai pour ami Stark, Marc aurel et l’avenir
dans ma tire on voyage sur la lune, dans la tienne elle voyage sous la lune
mes étoiles sont des trésors, les tiennes sont des problèmes pour de la tune
ma fortune continuera avec mes tunes, la tienne sera dilapidé par ta canidée
comme ça tu sais que ton manteau coute un euro et que j’ai une nouvelle meuf

quand les gens auront cuvé toutes vos alcools frelaté vous serais refait et sous le pavé
je préfère faire la musique que la raconter pour rentrer dans les papiers du coin
quand je tue sur ma feuille, vous préparez vos cerceuils tous à se recueillir pour le point
mais faite du foin et du cinoche moche en vrai, vous n’avez rien fait quand il le fallait
sinon avaler mes coursiers en faisant les faisans fiers et dire je le savais devant un café au lait
les gens lait ne sont tous pas riches ou pauvres, ils sont seuls devant leur images du miroir
moi je suis un petit pauvre fatigué et demain je serais en photo au fond de ta triste mémoire
un type riche et loin du mensonge quotidien, de vos vies faussées par peur d’être 
en agitant des gri-gri aigri par vos années de sévices et de mépris, je n’ai aucune dette
et je suis encore debout et fier de pouvoir de te dire sans sourire va niquer ta mère.

lait rouge

saleb

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