Si vous souhaitez lire les paroles : 

Il y a bien longtemps
que je voulais t'écrire ;
les mots me manquent depuis quelques moments,
et, même l'écho des vents ;
mistral, bise ou zéphyr,
ne put me souffler le vocable manquant.

Et cette page blanche
demeura silencieuse,
elle qui, à l'habitude, était bavarde.
Avec ses phrases franches,
elle était malicieuse ;
mais, d'incertitude, sa voix se farde.

J'ai un trou noir à ma page blanche ;
trou de mémoire, les idées qui flanchent.
Mon royaume contre un dictionnaire.
Juste quelques mots pour quelques vers.

Elle aimait s'habiller,
se parer, se faire belle
de quelques mots choisis du fond de l'âme.
Elle aimait s'inviter
au détour d'une querelle
sans aucun parti pris au rire, au drame.

Même son amie la plume
ne sut la divertir,
lui rendre la parole de son apogée.
Du sommeil de l'enclume,
se laissa envahir
et, elle mit un bémol à son phrasé.

J'ai un trou noir à ma page blanche ;
trou de mémoire, les idées qui flanchent.
Mon royaume contre un dictionnaire.
Juste quelques mots pour quelques vers.

Quelques petits carreaux
n'y changèrent rien du tout ;
le bleu des lignes n'atténua son mutisme.
Plus un son, plus un mot ;
ce silence me rend fou !
Faut-il que j'la résigne à l'illettrisme?

Je laissais ma page blanche
pour quelques idées noires ;
pas grand chose à penser, plus rien à dire.
A mon salut, nulle planche,
aucune échappatoire.
Mon encre a séché, je ne peux plus t'écrire.

J'ai un trou noir à ma page blanche ;
trou de mémoire, les idées qui flanchent.
Mon royaume contre un dictionnaire.
Juste quelques mots pour quelques vers.

Copyright © OttO DIDAkT - Tous Droits Réservés (SACD).
Paroles, Musique, Arrangements : Sébastien Bonneau.

10 - Ma page blanche.

Si vous souhaitez lire les paroles :

Il les connaît bien, ces regards
qui l'observent de la tête aux pieds,
qui tannent son vieux cuir de motard
et la peau de ses bras tatoués
	Ça sent le sexe, la drogue, le Rock N Roll ;
	les filles si faciles des nuits un peu folles.

Elle les subit, ces yeux critiques
qui alimentent les discussions
sur son tour de taille, son physique
et le poids de ses addictions.
	"Jeune fille obèse", "petite grosse", "bibendum" ;
	ça claque dans l'air comme des ultimatums.

Tout l'monde le dit,
tout l'monde le pense ; 
tout l'monde se fie
aux apparences.
Tout l'monde dénie
quand tout l'monde s'offense,
que tout l'monde se fie
aux apparences.

Elles les sentent, ces yeux assidus
qui épient par dessus l'épaule,
chaque fois qu'elles passent dans la rue,
que leurs mains ou leurs lèvres se frôlent.
	Ça en éprouve des fois si bien pensées;
	ces amours que jugent la normalité.

Ils les pratiquent, avec aigreur,
ces regards qui collent à leurs peaux ;
puisqu'elles n'ont pas la bonne couleur
des gens qui sont biens comme il faut.
	Il faudra encore quelques décennies
	pour qu'ici comme là, tous les chats soient gris.

Tout l'monde le dit,
tout l'monde le pense ; 
tout l'monde se fie
aux apparences.
Tout l'monde dénie
quand tout l'monde s'offense,
que tout l'monde se fie
aux apparences.

Hé ! toi là-bas, qui me regarde ;
j'entends d'ici tous tes murmures
qui commentent ma gueule blafarde,
mes dents cassées et mon usure.
	A juger les livres à leur couverture,
	tu oublies souvent d'en faire la lecture.

Tout l'monde le dit,
tout l'monde le pense ; 
tout l'monde se fie
aux apparences.
Tout l'monde dénie
quand tout l'monde s'offense,
que tout l'monde se fie
aux apparences.

Copyright © OttO DIDAkT - Tous Droits Réservés (SACD).
Paroles, Musique, Arrangements : Sébastien Bonneau.

09 - Apparences.

Si vous souhaitez lire les paroles :

C'est toi qui lui dira ces mots-là,
du bout de tes lèvres, ou de tes doigts.
Tu auras désormais le privilège
de connaître tous ses sortilèges.

C'est toi qui la prendra dans tes bras,
les jours de neige où elle aura froid.
Tu sauras désormais quand elle a peur ;
quand elle rit, quand elle pleure.

Moi, je m'en vais vers d'autres cieux.
Moi; je suis devenu trop vieux ;
je n'ai plus le courage de l'attendre.
Moi, je rêvais toujours pour deux.
Moi, j'étais prisonnier du jeu ;
je n'ai plus la force de la comprendre ;
juste de me rendre.

C'est toi qui lui diras ces mots-là,
qui la mettront dans tous ses états.
Tu seras désormais le grand héros
qui bravera tous ses défauts.

C'est toi qui la prendra dans tes bras ;
de ton étreinte, tu la protèg'ras.
Tu connaîtras désormais ses démons ;
ses peurs qu'elle change en trahisons.

Moi, je m'en vais vers d'autres cieux.
Moi; je suis devenu trop vieux ;
je n'ai plus le courage de l'attendre.
Moi, je rêvais toujours pour deux.
Moi, j'étais prisonnier du jeu ;
je n'ai plus la force de la comprendre ;
juste de me rendre.

Moi, je m'en vais vers d'autres cieux.
Moi; je suis devenu trop vieux ;
je n'ai plus le courage de l'attendre.
Moi, je rêvais toujours pour deux.
Moi, j'étais prisonnier du jeu ;
je n'ai plus la force de la comprendre ;
juste de me rendre.

Mais, toi et moi ; on sait qu'ça dure pas.
Qu'un jour ou l'autre, l'histoire s'arrêt'ra.
Tu sauras désormais ce qu'on ressent
quand le temps tue les sentiments.

Copyright © OttO DIDAKT - Tous Droits Réservés (SACD).
Paroles, Musique, Arrangements : Sébastien Bonneau.

08 - C'est toi qui...

Si vous souhaitez lire les paroles : 

J'pourrais te la jouer romantique,
bouquet de roses, et petits fours ;
faire un adorable pique-nique
sous le soleil de fin du jour.

J'pourrais te la jouer en costume ;
faire du blé dans les assurances,
sans regret, ni même amertume,
sans compter ce que je dépense ;
	ach'ter un mobile "dernier cri",
	me pavaner dans des soirées,
	juste pour leur montrer mes habits
	et, la Rolex à mon poignet.

M'en veux pas. Je sais pas
faire comme ça ;
c'est pas moi.
	Et, si les autres, y font comme ça,
	c'est que je n'suis pas de ceux-là.
	Un peu de haine, un peu d'amour,
	ma vie se fait au jour le jour
	sans calcul et sans beau discours.

J'pourrais te la jouer bricoleur ;
maître du clou et du marteau.
Monter des meubles, avec ardeur,
et tout peindre, pour que ce soit beau.
	Jouer à la balle, avec le chien,
	puis, tailler quelques hortensias ;
	faire tout avec trois fois rien
	à l'abri sous ma véranda.

M'en veux pas. Je sais pas
faire comme ça ;
c'est pas moi.
	Et, si les autres, y font comme ça,
	c'est que je n'suis pas de ceux-là.
	Un peu de haine, un peu d'amour,
	ma vie se fait au jour le jour
	sans calcul et sans beau discours.

J'pourrais te la jouer idéal
et, ne jamais te faire souffrir ;
non pas que ça me soit égal,
mais, j'ai tant de mal à offrir.
	Et, si les autres, y font comme ça,
	c'est que je n'suis pas de ceux-là.
	Un peu de haine, un peu d'amour,
	ma vie se fait au jour le jour
	sans calcul et sans beau discours.

M'en veux pas. Je sais pas
faire comme ça ;
c'est pas moi.
M'en veux pas. Je sais pas
faire comme ça ;
c'est pas moi.

Copyright © OttO DIDAkT - Tous Droits Réservés (SACD).
Paroles, Musique, Arrangements : Sébastien Bonneau.

07 - C'est pas moi.

Si vous souhaitez lire les paroles : 

Je suis juste le mec, un peu drôle,
ramené de la cour d'école ;
le gars qui fait marrer les gens
et que l'on promène, gentiment,
pour qu'il mette un tantinet d'ambiance,
sans qu'il ramène toute sa science.
Le clown sympa ; divertissant, 
pour faire rire petits et grands.

Les filles qui m'plaisent,
je leur plais pas
et elles me lèsent
de leurs ébats.
Y'a plus balèze
que moi.

Elles me racontent leurs petits malheurs
de leurs amours à cent à l'heure ;
blessures qu'elles oublieront
dès qu'un  frôlera leurs jupons.
Et moi, j'écoute, et je les comprends ;
du moins, je fais très bien semblant.
A chaque aveu, je prends un coup,
entre la haine et le dégoût.

Et je partage tous leurs secrets,
des plus fous aux plus indiscrets ;
même leurs compagnons de plaisance
n'ont pas autant de confidences.
Elles ne comprennent pas mes attentes
quand je les songe en tant qu'amantes
et je me force à la faiblesse
dès que je rêve de leurs caresses.

Les filles qui m'plaisent,
je leur plais pas
et elles me lèsent
de leurs ébats.
Y'a plus balèze
que moi.

Je reste l'ami, le confident
et, c'est certainement le plus prudent
car, si nous en arrivions aux mains, 
resterions-nous, aussi, copains ?
Je me raisonne, tant bien que mal,
refrénant mes instincts de mâle,
et abandonne mes hypothèses
sur les filles qui me plaisent. .

Copyright © by OttO DIDAkT - Tous Droits Réservés (SACD)
Paroles, Musique, Arrangements : Sébastien Bonneau.

06 - Les filles qui m'plaisent.

Si vous souhaitez lire les paroles :

Je voudrais avoir le temps
de vous parler un moment,
avant que la vie s'en aille.

Je voudrais avoir le temps
de vous connaître, un instant,
avant mes funérailles.

Mais, tout va bien trop vite
et, déjà, on se quitte ...
Je ne vous vois pas grandir.
Je n'ai pas su arrêter
les lourdes aiguilles du passé
pour ne plus rien détruire.

Je voudrais avoir le temps
de m'arrêter un moment
pour que je vous apprenne.

Je voudrais avoir le temps
de vous avouer, un instant,
mes amours et mes haines.

Mais, je suis mal dans ce rôle
et, avec peine, je vous frôle ;
je devine mal vos souffrances.
Tant de choses nous séparent
que, parfois, l'air hagard,
j'en oublie votre enfance.

Je voudrais avoir le temps
de me sentir, un moment,
un peu comme un grand frère.

Je voudrais avoir le temps,
même pour un court instant,
d'être vraiment votre père.

N'avoir de temps que pour vous ;
oublier mes rêves les plus fous
et juste vous prendre dans mes bras.
N'avoir rien d'autre à faire
que de chercher à vous plaire,
alors que l'temps s'en va...

Alors que l'temps s'en va.

Copyright © OttO DIDAkT - Tous Droits Réservés (SACD).
Paroles, Musique, Arrangements : Sébastien Bonneau.

05 - J'voudrais avoir le temps.

Si vous souhaitez lire les paroles : 

Faut que je m'occupe des papiers.
Faut que je retourne au travail ;
puis, faut que j'règle tous les détails.
Faudrait que j'songe à t'oublier.

Faut que j'nettoie mon atelier,
et, faut que j'range l'appartement.
Faut aussi qu' j''appelle mes parents.
Faudrait que j'songe à t'oublier.

Faut que j'recolle mon coeur brisé.
Faut que j'réponde à l'interphone ;
faut que j'rallume mon téléphone.
Faudrait que je songe à t'oublier.

J'ai plus envie de voir devant.
J'aime plus la vie autant qu'avant ;
j'ai plus qu'du vide au fond de moi.
Tu m'écris pas,
tu m'appelles pas ; 
puis, t'es plus là.

Faut plus qu'je passe ce disque rayé,
faut plus que j'touche à ces bouteilles,
faut plus que j'oublie le réveil.
Faudrait que j'songe à t'oublier.

Faudrait que ...

Copyright © OttO DIDAkT - Tous Droits Réservés (SACD).
Paroles, Musique, Arrangements : Sébastien Bonneau.

04 - Faudrait que...

Si vous souhaitez lire les paroles : 

Je marche au pas cadencé, 
soldat sans fusil.
Ils ne m'ont même pas armé 
pour faire ma vie.
Je me présente au rapport 
à chaque nouveau jour ;
j'ai l'impression qu'ils sont morts ; 
muets, aveugles, et sourds

Je marche au pas cadencé, 
soldat sans combat ;
quoique prêt au défilé 
en tenue d'apparat.
Figé dans mon "garde à vous",
l'œil droit, le menton fier, 
j’aboie comme un jeune loup, 
moi, le mouton d'hier.

J'avance, vaille que vaille, je jette sous la mitraille,
mes tripes, mes entrailles ; mais j'ai pas de travail.
J'ai tout l'attirail, des c.v en pagaille,
un cœur sous mon chandail ; mais, j'ai pas de travail.

Je marche au pas cadencé, 
soldat sans fortune.
Mes entretiens sont soldés de refus. 
Sans rancune ?
Malgré mes nombreuses guerres, 
médailles et citations ;
mon profil ne semble guère 
retenir l'attention.

Je marche au pas cadencé, 
soldat sans patrie ;
ces cohortes de hauts gradés 
qui me rappellent, qu'ici,
la retraite sans flambeau 
très vite, sonne l'appel
Tu dois rendre les armes tôt, 
ton barda, tes gamelles.

J'avance, vaille que vaille, je jette sous la mitraille,
mes tripes, mes entrailles ; mais j'ai pas de travail.
J'ai tout l'attirail, des c.v en pagaille,
un cœur sous mon chandail ; mais, j'ai pas de travail.

Je marche au pas cadencé, 
mais ne suis plus soldat.
Je suis démobilisé ; 
fiché comme reliquat.
Pour une terre, une maison, 
j'ai tellement chanté,
Sur un trottoir, un carton ; 
ben, j'ai plus qu'à danser !

J'avance, vaille que vaille, je jette sous la mitraille,
mes tripes, mes entrailles ; mais j'ai pas de travail.
J'ai tout l'attirail, des c.v en pagaille,
un cœur sous mon chandail ; mais, j'ai pas de travail.

J'avance, vaille que vaille, je jette sous la mitraille,
mes tripes, mes entrailles ; mais j'ai pas de travail.
J'ai tout l'attirail, des c.v en pagaille,
un cœur sous mon chandail ; mais, j'ai pas de travail.

Copyright © OttO DIDAkT - Tous Droits Réservés (SACD).
Paroles, Musique, Arrangements : Sébastien Bonneau.

03 - Au pas cadencé.

Si vous souhaitez lire les paroles :

J'ai passé la nuit 
à attendre ton appel.
J'ai espéré, blotti, 
un texto, un e mail.
Une main sur le mobile, 
l'autre, sur ma douleur ;
dans ces heures immobiles, 
enroulé dans mes pleurs.

J'ai passé la nuit sans toi,
me brûlant l'esprit de "pourquoi?".
J'ai passé la nuit sans foi,
car, plus je prie et moins j'y crois.
J'ai passé la nuit sans joie ;
gelé par l'ennui et l'effroi.
J'ai passé la nuit ; et toi ?

J'ai passé la nuit 
comme tu passes ton chemin ;
tu t'évades, tu t'enfuis 
vers d'autres lendemains.
Une main sur une bouteille,
l'autre, sur ma colère,
je bois à ce sommeil 
qui rit de mon calvaire.

J'ai passé la nuit sans toi,
me brûlant l'esprit de "pourquoi?".
J'ai passé la nuit sans foi,
car, plus je prie et moins j'y crois.
J'ai passé la nuit sans joie ;
gelé par l'ennui et l'effroi.
J'ai passé la nuit ; et toi ?

J'ai passé la nuit 
du mieux que j'ai pu
en demeurant celui 
dont tu ne veux plus.
Une main sur la gâchette, 
l'autre, prise dans le sac ;
cette poudre d'escampette 
me laisse en ruine, en vrac.

J'ai passé la nuit sans toi,
me brûlant l'esprit de "pourquoi?".
J'ai passé la nuit sans foi,
car, plus je prie et moins j'y crois.
J'ai passé la nuit sans joie ;
gelé par l'ennui et l'effroi.
J'ai passé la nuit ; et toi ?

Copyright © OttO DIDAkT - Tous Droits Réservés (SACD).
Paroles, Musique, Arrangements : Sébastien Bonneau.

02 - J'ai passé la nuit.

Si vous souhaitez lire les paroles : 

Je n'lui dirai pas toutes ces nuits qui font mal
quand les amertumes sont dispos, à l'étal.
Je lui tairai les mots qui m'ont blessé le cœur
et, ont rempli ma tête de moment de noirceur.

Je n'lui monterai pas ces chemins de traverse
qui ont brûlé mes rêves ; ces cendres que je disperse
aux quatre coins d'un monde, que je ne comprends pas.
Je ne lui dirai pas que je n'lui dirai pas.

Je n'lui avouerai pas mes échecs, mes mensonges ;
toutes ces erreurs flagrantes, qu'aujourd'hui, rien n'éponge.
je lui cacherai même ces facettes de mon âme ;
ces murs sur lesquels se sont brisées bien trop de femmes.

Je lui masq'rai mes doutes, mes peurs et mes angoisses :
tous ces démons qui cernent mon cœur dans de la glace
qu'aucune flamme de l'Enfer, jamais ne brûlera.
Je ne lui dirai pas que je n'lui dirai pas.

Je lui dirai seul'ment que j'suis bien avec elle
quand tout ses rires emplissent ma tête d'autres images ;
des endroits merveilleux qu'on rejoint d'un coup d'ailes,
où l'éclat des ses yeux m'adresse tous ces messages.

Je lui dirai seul'ment tous ces mots qui rassurent ;
ces perches que l'on se tend pour mieux croire en l'av'nir.
J'inventerai des verbes qui conjuguent le futur
pour qu'on se dise tout, sans avoir à le dire.

Mais, je n'lui dirai pas ...

Copyright © OttO DIDAkT - Tous Droits Réservés (SACD).
Paroles, Musique, Arrangements : Sébastien Bonneau.

01 - Je n'lui dirai pas.

Salut les unes, les uns, et aussi les autres (j'espère n'avoir oublié personne 😉).

Sous cet habile pseudonyme, un projet de 10 pistes ; à suivre 😁.

Un peu parolier, un peu compositeur, un peu interprète, les 10 chansons que je vous propose ; imaginées au fil de mes humeurs, de mes envies et de mes névroses ; ne sont pas un commencement. Au contraire, elle marquent la fin  d'une période, d'une étape avec laquelle je ne suis plus en phase et qui ne me correspond plus.
Invariablement écrites en Français et composées au piano, j'ai orchestré, arrangé ces 10 chansons autour de sons de clavier ; en cherchant à la fois à obtenir une cohérence musicale sur l'ensemble du projet, tout en voulant offrir à chaque titre une personnalité propre, un caractère ; une indépendance.

Un épilogue, donc ; dans lequel je raconte, je me raconte, je me la raconte. 10 boucles qui bouclent la boucle.

Voilà ; rien de révolutionnaire mais j'espère malgré tout que ces 10 titres (vous) conviendront (ou pas 😁).
OttO DIDAkT.

OttO DIDAkT

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