Monsieur la question

Tu sais qu't'as la bouche chaude

Je Vais Sortir De Mon Corps

Paré Pour L'Immense Spectacle

Syphonné j'ai une peu la tête qui tourne

Le Démon

Inspection Impact XIII

Musique de Penelope avec un texte de Rob's

----------------------------------------------------------

A ce coin d’enfer dans ma tête
Qui se nourrit lentement et m’assaille
C’est une boîte qui un jour s’est ouverte
Elle est rougenoirebleueorangevioletteviolette
Une pellicule photo qui se déroule
Avec ses négatifs ses positifs
Ses polys ses monos ses chromés
A ce coin d’enfer dans ma tête
A ce coin d’enfer dans ma tête
Que j’invite régulièrement à se placer sur la balance
Prends tes couvertures tes habits en moi il y a des saisons
Chaudes et froides c’est entendu

Prends un dictaphone aussi y en aura pour un moment
C’est moi qui offre tous frais payés
Nourri blanchi choyé
Emmène aussi la famille
Y a réunion
Faut qu’j’vous présente 
A l’immensité qui m’habite

Tout est faux (X15)

Moi j’m’envole (X15)

A Dieu (X32)

A ce coin d’enfer dans ma tête
Qui se nourrit lentement et m’assaille
C’est une boîte qui un jour s’est ouverte
Elle est rougenoirebleueorangevioletteviolette
Une pellicule photo qui se déroule
Avec ses négatifs ses positifs
Ses polys ses monos ses chromés
A ce coin d’enfer dans ma tête
A ce coin d’enfer dans ma tête
Que j’invite régulièrement à se placer sur la balance
Prends tes couvertures tes habits en moi il y a des saisons
Chaudes et froides c’est entendu

Prends un dictaphone aussi y en aura pour un moment
C’est moi qui offre tous frais payés
Nourri blanchi choyé
Emmène aussi la famille
Y a réunion
Faut qu’j’vous présente 
A l’immensité qui m’habite


Rob's

À Ce Coin D'enfer Dans Ma Tête (Penelope Feat. Rob's)

Penelope a recuisiné le morceau "Rechute" de Vald dans sa marmite à acide !
Le lien vers la version originale :   
https://www.youtube.com/watch?v=Oty4M2t21W8

----------------------------------------------------------

Que les anges m'entendent, j'suis pas v'nu faire semblant
J'leur ai tout dit en face, j'leur ai p't-être fait du mal
Moi-même, j'me fais du mal, moi-même, j'me fais du mal

J'sais pas pourquoi j'fais ça, c'est bien plus fort que moi
Même quand j'suis tout seul, s'il vous plaît, guidez-moi
Je ne veux plus continuer, non, je ne veux plus m'oublier, non
J'ai jamais voulu briller, non
Y a ces étranges instants, où j’suis sorti du temps
Regarde-moi dans l’oeil, j’suis pas plus dense qu’une feuille
Quand j’verse le flacon c’est la messe, l’âme dans l’acide tout se disperse
J’ai pris un Trou Noir pour la sagesse

Pourquoi je pense qu'à m'défoncer? Pourquoi j'ai mal à l'prononcer?
J'ai bien mal, tout l'monde le sait, je me déteste, j'ai renoncé
Je sens mes chaînes j’aimerais changer, tout tourne dans tête j’veux m’libérer
Je sais pas rire, me déhancher, je sais pas vivre des lancées
Putain, la drogue, c'est si intense
J'ai jamais su être heureux, avec ça, je le ressens
Un peu
                     
Fils de pute, c'est du LSD
Mais j'vous connais, vous êtes comme moi
(NQNT jusqu'à la mort)
Que les anges m'entendent, j’suis pas v’nu faire semblant
J'leur ai tout dit en face, j'leur ai p't-être fait du mal
Moi-même, j'me fais du mal, moi-même, j'me fais du mal

Pourquoi je fuis ? Pourquoi je fais semblant de rire ?
C'est mieux j'me tais si à chaque fois, j'me contredis
J’vais m’réfugier tout seul dans l’fond de mon délire 
J’en ai ma claque de l’illusion sous mes rétines
Comment s’aimer pour c'que nous sommes si nous n’sommes jamais vraiment?
Et vu qu’ils n’aiment que c’qu’on leur dit, j’suis dans la peur j’veux plus les voir
J'm'ouvre la tête, il m'faut du shit et même si j'sais que Dieu est grand
Même si j'sais que Dieu est grand, j'suis tellement faible que j'oublie
J'suis tellement faible, j'me bousille
Pour oublier que j'suis tout p'tit, pour oublier loin des soucis
Mon seul problème, c'est que j'sais pas m'arrêter
L'amour, mec, apparaît vert, je sais même pas m'rassasier

Fils de pute, j’suis sous L.S.D
Mais j'vous connais, vous êtes comme moi
(NQNT jusqu'à la mort)
Que les anges m'entendent, j’suis pas v’nu faire semblant
J'leur ai tout dit en face, j'leur ai p't-être fait du mal
Moi-même, j'me fais du mal, moi-même, j'me fais du mal

Que les anges m'entendent, j’suis pas v’nu faire semblant
J'leur ai tout dit en face, j'leur ai p't-être fait du mal
Moi-même, j'me fais du mal, moi-même, j'me fais du mal

Penelope - Rechute (Vald Cover)

Penelope a le pouvoir de bilocation.

----------------------------------------------------------

J’suis comme une bombe. Le palais sous les côtes. J’inspire du bas du ventre jusqu’en haut des trapèzes. 
J’ai la bête au sacrum. J’suis comme un fauve. La fontanelle qui plonge mon regard en Dieu.
Dans cette rivière j’ai baigné tout mon corps. Ruisselle l’eau sous la lueur céleste et béni ma nuque. 
Je suis humble et sauvage au beau milieu du monde. Je suis un singe hilare et j’me balance de branches en mécaniques cosmiques. 

Je suis l’espace d’un instant. Le vertige sidéral sous sa forme de spirale. 
Je suis fou délié. Barjot pour allié. 
Est-ce que tu l’vois tout l’long d’ma peau c’est l’électricité.
Est-ce que tu l’vois tout l’long d’ma peau c’est l’électricité.

Certains sauront qu’on a brisé les cycles. J’ai les pieds dans la Terre. Son feu du noyau jusqu’au cœur. 
J’ai la joie l’allégresse. J’ai la douleur. J’ai la rage. Non je n’ai plus de peur. 
J’ai la bouche ouverte et les crocs comme pour l’entrée du temple. Les atomes qui s’agitent entre les possibilités. 
Plus. Moins. Le ciel qui tombe sur l’continent d’Hadès. Je n’rêve que quand le l’horloge s’arrête. Je n’bouge qu’là où l’destin m’projette. 
Au seuil de toutes choses je dépasse la vie comme la mort. Paré et pour l’un comme pour l’autre. Ici. Suspendu au battement fractal. 

J’ai le frisson d’la grâce. La gratitude des oracles. Une énergie orange qui me parcoure en fluide. 
La couleur violette du plasma d’électron. J’ai le cerveau dans le corps d’un aigle et je surplombe la vallée. 
J’ai de l’air dans les plumes. La précision d’un bec au ras la cime des arbres.

Je suis la naissance et l’explosion. Celle qu’j’ai toujours souhaité être. Celle qui souffle et aspire. 
J’ai les mains jointes en prières sur la poitrine et j’avance le visage lisse. Kamikaze comme un saint vers le centre du Trou Noir. 
Est-ce que tu l’vois tout l’long d’ma peau c’est l’électricité.
Est-ce que tu l’vois tout l’long d’ma peau c’est l’électricité.

Je peux me dépasser inconditionnellement. 
Je dois laisser couler la voie. 
Toujours me souvenir d’une étoile filante. 
Sentir la fluidité des liens qui parcourent mon esprit allumé. 
Je dois travailler. 
Sous l’œil attentif du vieux sage espiègle qui m’attend. 
Le rêve fait partie du travail. 
Gouverner la croyance. 
Croyance comme source du réel. 
Apprendre à diriger le « Croire » comme une force. 
Apprendre à diriger le « Croire » comme une force.
Je peux me dépasser inconditionnellement. 
Je dois laisser couler la voie. 
Toujours me souvenir d’une étoile filante. 
Sentir la fluidité des liens qui parcourent mon esprit allumé. 
Je dois travailler. 
Sous l’œil attentif du vieux sage espiègle qui m’attend. 
Le rêve fait partie du travail. 
Gouverner la croyance. 
Croyance comme source du réel. 
Apprendre à diriger le « Croire » comme une force. 
Apprendre à diriger le « Croire » comme une force.

Je vais laisser couler la voie. Faire la place au grand saut. Résoudre le pattern manquant. Réparer la faille dans la chaîne. Alors le vide n’est plus exactement. Pour la même chose devient entier. Je me prends par la main. Je me mets même cœur-contre avec celui qu’on a laissé. Désormais je suis là. Prêt à m’offrir à l’échiquier magique. Aux possibilités.
C’est l’heure où les choses se mettent en lien. Reprennent leur unité. La peur cède sa place au moteur. Je vais rejouer la scène mais cette fois je la dépasserai. Le vieux me cligne dans l’œil d’un regard espiègle et esquisse un sourire en coin. Tu as compris mon garçon. Sois la force. De toi à moi je suis le sommet. Tu as trouvé la corde. C’est l’heure de l’ascension. J’ai cette fois l’oracle avec moi. 
Le chaos est la loi. 

Fauve ! Bombe ! (X16)

Fauve-bombe. Fauve-bombe.
Fauve.

Fauve Bombe

Penelope se baigne quelque part dans la rivière de feu

                                 ----------------------------------------------------------

Bleu. Cobalt. Rêve. Dors. Joie. Embrasse. Mords. Réveil. 

J’ai crié à tous les dieux. J’ai mangé à tous les râteliers. J’me suis scié en deux. J’ai tout laissé traîner dans l’atelier. Mon tablier j’l’ai enlevé, j’me suis mis nu sous les rayons gamma. 
(Aïe aïe aïe aïe…) 
Tu sais comment on s’sent léger une fois qu’on a perdu sa soie ?!
T’entendras l’son d’une sirène. T’avanceras sous les rires obscènes. Là-bas ceux qui r’gardent la tempête de loin. Entre nous deux le seuil. Mange ta main garde l’autre pour demain. Regarde par-là gamin ceux qu’on l’cyclone dans l’œil. 
(Tsunami !)
Je suis d’âme et de sang. Je suis d’homme et de vent. Quelque part je suis bleu. Quelque part j’me baigne dans la rivière de feu. 
(Sauvage !)
Pour le vivre immergé. Pour ne laisser que des cendres. Pour me faire émerger. Me remonter du fin fond des méandres. 
(Boouuuhh !)
Je sais qu’on est tous déjà mort et je vois des squelettes bariolés. Des primates délirants. Tandis que je me remue les tripes. Que je suis viscéral. La marmite remplie de sève, de sévices, de vices et de râles.
Ode à ma chair. Ode à mon vide. Ode à la, ode à la, ode à la, ode à la mort. Ode à la vie.
(Ya ya ya ya ya…)

¡Rumbo tumba! ¡Vamos todos à muerir si!

Ode à la vie ! Ode à la vida ! Ode à la joie ! Ode à la vida !
Oh qu’elle est belle ! Oh qu’elle est bella ! La vida ! La vida ! La vida !
(¡Caramba!)
¡Rumbo tumba! ¡Rumbo tumba! (X8)

Je suis un robinet à merde fumant. Absorbant la merde et la rejetant à mon tour. Le reste d’un bout d’chiasse sur le pourtour flasque du fion d’un vieux puant qui sait plus s’torcher seul ! … 
Un jour j’ai compris qu’ils étaient tous complètement tarés !
Je suis un pachyderme fécal.

Je suis un être silencieux. Je lie les lettres et les cieux. Je scie le mètre dans le fond des yeux.
J’ai appris à réagir. Réappris mes appuis. Je sais aller et bondir. Mon sang coule calmement dans mes veines. J’ai changé de dégaine. Tourné autour de mon centre. Appris à connaître mon ventre. A me caler dans mon antre. 
Dans des langues imprécises jusqu’aux instincts. J’ai fini d’me tordre les intestins. Y a cette fois comme une clarté face au destin. Ne peut-on jamais s’écarter que d’un trait à l’autre du dessin ? Je peins comme je bois. Je crois comme je vois. J’ai du souffle et des tripes. Du sens et d’la direction. Ici commence le hors addiction. J’veux être libre, je l’serai. J’l’ai rêvé haut et fort et je l’ferai. C’est pas d’la DMT mon sang qui s’écoule dans la réalité.

¡Rumbo tumba! ¡Vamos todos à muerir si!

Ode à la vie ! Ode à la vida ! Ode à la joie ! Ode à la vida !
Oh qu’elle est belle ! Oh qu’elle est bella ! La vida ! La vida ! La vida !
(¡Amigos!)
¡Rumbo tumba! ¡Rumbo tumba! (X8)

¡Rumbo Tumba!

Penelope se sent bizarre parfois. Parfois pas. Parfois souvent.

Penelope Off

Popular tracks