In this episode, we try to remember how we have tended the land in the past and we dive into European medieval woods with Paolo Squatriti. We focus on the care of one tree, the chestnut. 
Chestnut was initially rare, then with the help of humans and potentially a wood mouse was turned into the delicious nuts we now know. But it took a 1000 years of stewarding and grafting and feeding that tree to make that happen. The chestnut is the food that helps resist the grain of empire. In those forests live hermits working on spiritual growth, abbots destroying trees sacred to pagans, monks wearing chestnut-colored robes to tend the sheep whose skins they will write manuscripts on, and chestnut “matricinas” - mother trees- sacred elder trees that were protected over time.
Remembering how active forests used to be is not to invite folks to consume the spectacle of the forest but to learn about agroforestry. We read from folktales that mention chestnuts. 

Paolo Squatriti wrote the book : Land and change in early medieval Italy 
Chestnut, Economy and Culture



Image : Double-crested cormorant (Phalacrocorax auritus floridanus)© Robert David Siegel, M.D., Ph.D. Stanford Uni
Music : Paul Husky. Violon : Lucie Petrou
This podcast was made possible by the Creative Work Fund, a Walter and Elise Hass foundation in collaboration with Earth Activist Training

11 - Early medieval European chestnut - A conversation with medievalist Paolo Squatriti

Raconter des histoires et des savoirs faire propres à un endroit, parfois en lien à des connaissances  anciennes, pour qu’elles nous aident à vivre avec les transformations en cours, pour qu’elles tissent là où ça se défait. 
Multiplier les récits qui racontent nos manières de cohabiter en ces lieux et avec les autres êtres.
Écouter le vent, ses variations de puissances et de trajectoires, qui emporte, charrie, bouleverse. 
Et parcourir les collines avec celles et ceux qui les arpentent.

Par les collines

Le Vivant Quartet est composé de :
Jules Calmettes : Flûte traversière et flûte à bec, Saxophone ténor
Henry Fourès : Piano
Richard Breton : Guitare
Alain Joule : Percussions

Ce qu’a vu le Cers
Réﬂexion sur l’écriture n° 8, pour ensemble instrumental et bande magnétique (1977, mais certains passages sont de 1988).
"Le Cers est un vent du nord qui parcourt le pays de l’Aude, souvent avec violence, et lui donne son caractère particulier. Il fait probablement partie de la psychologie des habitants : spontanéité, rafales d’images, rapidité de la parole, maniement virtuose du langage, imagination délirante, etc.

Quand on parle du Cers, on voit quel rôle important il joue dans la vie courante, dans l’organisation du travail des vignes, dans l’aspect du paysage.

Le Cers est comme le Mistral, il rend lumineux tout ce qu’il touche, mais il m ’a semblé plus entêté que le Mistral. Je l’ai pris comme référence parce qu’il est animé, qu’il va vite d ’un endroit à l’autre et qu’avec lui on peut découvrir des personnalités.

Ce qu’a vu le Cers est un hommage au langage, aux traditions populaires, ou comme Henry Fourès et moi l’avions dit dans un autre temps, au « folklore imaginaire ». Mais cette musique est aussi imprégnée de psychologie, des amitiés qui se sont nouées dans ces paysages. Pourrait-on dire qu’il y a là une sorte d’impressionnisme...

D’ailleurs, cela me plait assez, dans le titre, la référence à Debussy, cette relation sensible à la réalité dans laquelle la nature apparaît irrationnellement décrite. Parenté de l’écriture qui chez lui est quelquefois plus un transfert de l’improvisation qu’une spéculation abstraite sur le langage.

La partition de Ce qu’a vu le Cers n’est pas orchestrée au sens ou on le conçoit habituellement. Elle est plutôt thématique et s ’il y a parfois des indications de timbres, les notes ne sont pas destinées explicitement à des instruments. Ainsi, chaque musicien dispose du projet musical, il peut lire l’ensemble et choisir d ’intervenir à son gré il s ’introduit dans le dessin là ou il se sent bien.

La réalisation de cette partition invite les participants à discuter, à se répartir les rôles et l’invention, à trouver l’équilibre et la relation avec la forme dramatique à produire.

Encore quelques mots à propos de la bande. Tous les sons naturels ont été enregistrés dans la région : les martinets de Gruissan, les grillons, les oiseaux de nuit de Tuchan ainsi que la cloche du village, le vent dans les ruines d’un château cathare, etc.

Sauf à certains moments, où des sons musicaux envoient des propositions, la bande n’a aucune relation avec les instruments. Elle crée un climat, un lieu naturel dans lequel se situe la musique et qui l’environne. Elle est l’image."

Luc Ferrari

Ce Qu'a Vu Le Cers - Luc Ferrari (avec le Vivant Quartet)

marine angé et marion cros 2013
format mp3 
L'homme chasseur garde symboliquement sa place de grand prédateur dans la chaîne alimentaire. Gilles Garnier était un "nuisible". Il fut jugé et brûlé à Dole en 1573, pour s'être transformé à maintes reprises en loup-garou...En croisant des éléments anachroniques, les auteurs tissent une trame mettant en rapport les liens de la communauté avec ses nuisibles, ses terreurs, ses lieux communs, ses micros-espaces... Dans Bersekir, il ne s'agit pas de figer une idée ou de chercher une réponse mais bien de questionner notre temps, par l'entremise d'histoires et de voix.

Réalisation, montage et prises de son : Marion Cros et Marine Angé
Mixage : Pierre Devalet
Voix : Otto Von Rhinau, Claude Lecouteux, Daniel Bernardin.
Batterie : Jean-Charles Mougel

Un projet sélectionné dans le cadre de l'appel à projet du coté des ondes, soutenu par la rtbf, la promotion des lettres, la sacd, la scam la sacd france et la scam france.

Avec le soutien de L'Agence Culturelle d'Alsace, du CROUS, de la HEAR et du Conseil Général du Bas-Rhin.

Avec l'aide d'Euphonia, du GMEA d'Albi, d'Ecart production, d'Amange Animation, de la fédération de chasse du Bas-Rhin, de Radio en Construction, radio Panik, et de Claude Lecouteux, de Vincent Samson, de Michel Nachez, d'Otto Von Rhinau, Jean-Charles Mougel, Vincent Pellerin, Thomas Pfeiffer, Daniel Bernardin, la famille Maréchal-Lyet, Jonathan Fishbach, Schnitzler Mickaël, Yvan Etienne, et tant d'autres...

BERSERKIR

Histoires de Pierres est une déambulation et installation sonore à la croisée de la pièce sonore poétique, du cabinet de minéralogie et de l’archéologie imaginaire. Une invitation à se balader dans les rues et à découvrir le village de Fitou, pour écouter le chant des pierres et son paysage rocailleux, au son du vent et des récits intimes des habitants.

Ils ont tous leur propre rapport à la pierre : celle qui fait la qualité incontestable du vin, celle du mur de leur maison, celle qu’ils charrient chaque vendredi pour restaurer des abris dans la garrigue, celle qu’ils ont ramassée lors d’une balade et qu’ils ont gardée presque machinalement, qui trône maintenant sur un coin de la cheminée. Les pierres qui sembleraient banales deviennent précieuses, ce sont des trésors anciens dont les habitants sont les gardiens. Chaque histoire est singulière et les récits associés esquissent l’histoire d’une communauté. Une invitation à découvrir le village sous une autre oreille.

Balade sonore
Rendez-vous : samedi 15 et dimanche 16 octobre, de 10 h à 18 h, place de la mairie
Durée : 40 minutes.
Nous vous remercions de vous munir de votre propre casque audio et de votre smartphone (des lecteurs et des casques seront à la disposition des personnes qui n’en possèdent pas, gratuitement sur dépôt d’une pièce d’identité).

Un projet du Parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée avec la collaboration de la commune de Fitou, la Chapelle de Fitou et la MJC et le soutien de la DRAC.

https://felixblume.com/histoiresdepierres

Histoires De Pierres

La Radio le Tambour du Petit Bois est de retour avec une émission sous forme d'enquête sur le village.
Les enfants sont allés à la rencontre des habitant·es pour mieux connaitre  Saint Dalmas et son histoire.

Au programme : microtrottoir, interview d'un ancien cheminot, chronique humour, sport et bd !
Bonne écoute

avec : Nayla, Maëlys, Théo, Johan, Teliau, Ryan, Lino, Maël et leur instituteur Emmanuel 
réalisation et animation : Léa Arson

janvier 2023

Saint Dalmas - Le Tambour du Petit Bois / Mieux connaitre son village - janvier 2023

« - 𝐸𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑒𝑧 𝑜𝑢̀ 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑒̂𝑡𝑒𝑠 ?
- 𝑃𝑎𝑠 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐽𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛 𝑒́𝑡𝑎𝑡 𝑑’𝑎𝑟𝑟𝑒𝑠𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛,
𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑎𝑠 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑟 𝑑’𝑖𝑐𝑖. »

Nous ne sommes pas en France. Nous sommes aux frontières, en zone d’attente.
La zone d’attente, c’est une idée administrative.
Il y a des voix téléphoniques qui surgissent d’espaces clos difficilement localisables, et des bénévoles qui tentent de décrypter la situation des personnes enfermées pour leur venir en aide et témoigner.
Et entre les deux : la police aux frontières, des haut-parleurs et des avions qui décollent.
Enfermé.es nulle part, c’est un documentaire immersif, une traversée vers ces lieux d’enfermement qui ne semblent exister aux yeux de personne, mais où, pourtant, l’inconcevable règne.

𝗗𝘂𝗿𝗲́𝗲 : 54 minutes
Auto-production
𝗘́𝗰𝗿𝗶𝘁𝘂𝗿𝗲, 𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝗼𝗻, 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗼𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲́𝗹𝗲𝗰𝘁𝗿𝗼𝗮𝗰𝗼𝘂𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗺𝗼𝗻𝘁𝗮𝗴𝗲 : Antoine Bougeard et Nausicaa Preiss
𝗧𝗿𝗮𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗮𝗰𝗵𝗶𝗻𝗴 𝘃𝗼𝗶𝘅 𝗼𝗳𝗳 : Trinidad Plass, Esra, Emre Talay, Camille Hoinard
𝗠𝗶𝘅𝗮𝗴𝗲 : Hélène Magne
𝗜𝗱𝗲𝗻𝘁𝗶𝘁𝗲́ 𝘃𝗶𝘀𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 : Clara Lou Lacombe
Prix Grandes Ondes 2024 au Festival Longueur d'Ondes 2024, 
Prix du public catégorie "Archives de la parole" aux Phonurgia Nova Awards 2023

𝖤𝗇𝖿𝖾𝗋𝗆𝖾́.𝖾𝗌 𝗇𝗎𝗅𝗅𝖾 𝗉𝖺𝗋𝗍 𝖺 𝖾́𝗍𝖾́ 𝗌𝗈𝗎𝗍𝖾𝗇𝗎 𝗉𝖺𝗋 𝗅𝖺 𝖻𝗈𝗎𝗋𝗌𝖾 𝖡𝗋𝗈𝗎𝗂𝗅𝗅𝗈𝗇 𝖽’𝗎𝗇 𝗋𝖾̂𝗏𝖾 𝗌𝗈𝗇𝗈𝗋𝖾 𝖽𝖾 𝗅𝖺 𝖲𝖢𝖠𝖬, 𝖽𝗎 𝖥𝗈𝗇𝖽𝗌 𝖦𝗎𝗅𝗅𝗂𝗏𝖾𝗋, 𝗅’𝖠𝗂𝖽𝖾 𝗌𝖾́𝗅𝖾𝖼𝗍𝗂𝗏𝖾 𝖺𝗎𝗑 𝖺𝗎𝗍𝖾𝗎𝗋𝗂𝖼𝖾𝗌 𝖽𝖾 𝗉𝗈𝖽𝖼𝖺𝗌𝗍 𝖾𝗍 𝖽𝖾 𝖼𝗋𝖾́𝖺𝗍𝗂𝗈𝗇 𝗌𝗈𝗇𝗈𝗋𝖾 𝖽𝗎 𝖬𝗂𝗇𝗂𝗌𝗍𝖾̀𝗋𝖾 𝖽𝖾 𝗅𝖺 𝖢𝗎𝗅𝗍𝗎𝗋𝖾 𝖾𝗍 𝖽𝖾 𝗅𝖺 𝖣𝖱𝖠𝖢 𝖭𝗈𝗎𝗏𝖾𝗅𝗅𝖾 𝖠𝗊𝗎𝗂𝗍𝖺𝗂𝗇𝖾 ; 𝗆𝖺𝗂𝗌 𝖾́𝗀𝖺𝗅𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍 𝗉𝖺𝗋 𝗅𝖾 𝖲𝗍𝗎𝖽𝗂𝗈 𝖤𝗎𝗉𝗁𝗈𝗇𝗂𝖺 (𝖬𝖺𝗋𝗌𝖾𝗂𝗅𝗅𝖾), 𝖫𝖺 𝖬𝖾́𝗍𝗂𝗏𝖾 (𝖬𝗈𝗎𝗍𝗂𝖾𝗋𝗌 𝖽’𝖠𝗁𝗎𝗇), 𝗅𝖾 𝖲𝗍𝗎𝖽𝗂𝗈 𝖤́𝗈𝗅𝖾 (𝖡𝗅𝖺𝗀𝗇𝖺𝖼) 𝖾𝗍 𝖫𝖾𝗌 𝖯𝖺𝗎𝗅𝗂𝗌𝗌𝗈𝗇𝗇𝖾𝗌 (𝖲𝖺𝗂𝗇𝗍-𝖯𝖺𝗎𝗅-𝗅𝖺-𝖱𝗈𝖼𝗁𝖾).

Enfermé.es nulle part

Ce qui passe par la Terre (What passes through th Earth) (version 54 minutes), 2024, Aurélien Caillaux et Benoit Bories, coproduction Reconnexions Département de l’Aude / RTBF La Première / Les Voix de Traverse / Faïdos Sonore, versions 14.2 pour la performance live et stéréo pour la diffusion radiophonique et podcast.

Avoir un rendez-vous quotidien avec un étourneau grand imitateur de sons d’activités du village, attendre impatiemment l’arrivée des chants des rossignols, s’étonner encore et encore des variations des chants du merle, observer une plante au-delà de la catégorie mal nommée « mauvaises herbes », entretenir le mythe de coins à champignons qui sont à peu près dans cette direction, vivre l’excitation de l’apparition d’une mouche nécrophage disparue des radars depuis longtemps, lire le paysage pour comprendre l’histoire des pratiques paysannes, travailler la terre mais pas que car il faut savoir prendre le temps et faire collectif, prendre le temps d’écouter les anciens pour faire ensemble, saisir ces occasions pour faire la fête, expérimenter de nouvelles pratiques paysannes basées aussi sur un savoir-faire ancien, écouter les traits de caractère de ses compagnons d’élevage, veiller à être délicat avec des endroits fragiles, passer le mot à celles et ceux à qui l’on fait découvrir la magie de ces fameux lieux, s’amuser comme un gosse à se laisser entraîner par les rythmes des machines à embouteiller, patouiller la terre pour colorer sa maison d’enduits, débusquer la genette en guettant patiemment les rythmes de la faune autour d’un point d’eau.

La liste est loin d’être exhaustive de tous les gestes, savoir-faire que nous avons enregistrés en suivant sur quatre saisons des habitant.es, paysann.es des Hautes-Corbières. Ce qui passe par la Terre est le récit sonore documentaire et musical fait des sonorités au quotidien de ce lien au pays transmis entre différentes personnes.

Ce qui passe par la Terre a été présentée la première fois le 21 septembre au coucher du soleil dans le village de Villerouge-Termenes, un des lieux central de la narration. La création a été jouée comme un concert, le public installé dans un champ sur un dispositif spatialisé de quatorze haut-parleurs.

Have a daily meeting with a starling, a great imitator of the sounds of village activities, impatiently await the arrival of the nightingales' songs, be surprised again and again by the variations of the blackbird's songs, observe a plant beyond the category poorly named "weeds", maintain the myth of mushroom spots which are approximately in this direction, experience the excitement of the appearance of a scavenging fly that has long disappeared from the radar, read the landscape to understand the history of peasant practices, work the land but not only because you have to know how to take the time and work collectively, take the time to listen to elders to do things together, seize these opportunities to celebrate, experiment with new peasant practices also based on ancient know-how, listening to the character traits of your breeding companions, taking care to be delicate with fragile places, spreading the word to those who are introduced to the magic of these famous places , having fun like a kid letting each other driven by the rhythms of the bottling machines, patting the earth to color your house with coatings, flushing out the genet while patiently watching the rhythms of the fauna around a watering hole.


The list is far from being exhaustive of all the gestures and know-how that we have recorded by following the inhabitants and farmers of Hautes-Corbières over four seasons. 

What Passes Through the Earth was presented for the first time on September 21 at sunset in the village of Villerouge-Termenes, one of the central locations of the narrative. The creation has been performed on a spatial device of fourteen speakers.

English script : https://faidosonore.net/sons/notes/Ce_qui_passe_par_la_Terre_english_script.pdf

Ce Qui Passe Par La Terre, version 54 minutes

Carnet de bord de la résidence de création pour le Festival Numéro Zéro (24 au 27 avril 2025).

Ces derniers temps : le rythme du vivant, des rendez-vous de chasse et des correspondances d'usages.

Une fenêtre sur la recherche en cours, sur l'écriture sonore en train de se faire et ses errements. 
Un carnet de bord, avec ses notes audio et ses gribouillis radiophoniques dans les marges. 
Des tentatives de formes pour chercher quoi garder et quoi faire glisser ailleurs.

Qui est vraiment cueilleur, qui est vraiment chasseur ?
Comment écouter-récolter des paroles chargées de stéréotypes ?
Des traces rituelles héritées du fond des ages...?

Carnet de résidence 4 | N° Zéro | de Cruis à Forcalquier

Combinaison de faune, c’est-à-dire l’ensemble des espèces animales, et du suffixe -phone, consacré au son, Phaune est une webradio dédiée à la nature. 

Mathias Virilli a rencontré Floriane Pochon, réalisatrice et porteuse de ce curieux projet, ainsi qu’Alain Damasio, scénariste de la série Fragments hackés d’un futur qui résiste diffusée sur Phaune Radio.


Phaune Radio : la nature sur écoute

"Le réel en mouvement permanent"
Sur le fil, à la lisière entre l’intérieur et l’extérieur, là où fuir et faire face se répondent, là où tout se joue, c’est là que se tient Valérie Vivancos... C’est là qu’on la cherche et là qu’on la trouve, après avoir sillonné longtemps les bords du monde - de Sète à Rio en passant par San Francisco, New York ou Liverpool.
Valérie Vivancos, aussi connue sous le nom d’Ocean Viva Silver, nous ouvre les portes de ses perceptions sonores pour ce nouvel épisode de Headphaune et nous fait également l’honneur de participer à notre première Phaune Box.
> http://www.oceanvivasilver.com/ <
> https://phauneradio.bandcamp.com/track/slippery-seas <

Avec des extraits de : Meira Asher - refuse: military​.​01, Valérie Vivancos - Slippery Seas, OttoannA (Rodolphe Alexis & Valérie Vivancos) - Get Rid of These Rubber Noises.

Entretien & réalisation : Floriane Pochon

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"The real in permanent movement"
On the edge between the inside and the outside, where fleeing and facing are holding a dialogue, where everything comes together, this is where  Valérie Vivancos stands...
This is where we look for her and where we can find her, after she criss-crossed for a long time the edges of the world - from Sète to Rio, via San Francisco, New York or Liverpool.
Valérie Vivancos, aka Ocean Viva Silver, opens for us the doors of her sound perceptions, for this new episode of Headphaune - and also honors us by participating in our very first Phaune Box.
> http://www.oceanvivasilver.com/ <
> https://phauneradio.bandcamp.com/track/slippery-seas <

Featuring : Meira Asher - refuse: military​.​01 (excerpt), Valérie Vivancos - Slippery Seas, OttoannA (Rodolphe Alexis & Valérie Vivancos) - Get Rid of These Rubber Noises (excerpt)

Interview & audio-edit : Floriane Pochon

HeadPhaune

Headphaune #3: avec Valérie Vivancos

Jean-Baptiste Imbert
Auteur-Réalisateur sonore
Radio Grenouille - Euphonia https://www.radiogrenouille.com/

En résidence au Rocher d'Ongles
Miroiterie / Festival Numéro Zéro (24 au 27 avril 2025).
https://festivalnumerozero.com/residence/jean-baptiste-imbert/

Carnet de résidence 4 | N° Zéro | de Cruis à Forcalquier

JiB

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