Après le langage international espéranto, je passe à l'interplanétaire.
Yeaaar, il m'aura fallut traverser quelques trous de vers, ça pique un peu, mais j'ai fini par trouver une E.T pourvue d'un organe oral et pour qui je n'étais pas le plat de résistance ;-)
Merci à Mélanie qui fait un apprentissage éclair de la langue ! :-)

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Les paroles sont ici: https://pbs.twimg.com/media/FXtoIjhVEAE2r7P?format=png&name=small
Pour les ignares qui ne maitrisent pas l'Aurebesh: https://aurebesh.org/translator

Faut Vous Le Dire En Aurebesh

les carottes sont cuites, mon correcteur s'est mis en PLS
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"Les sanglots longs des violons de l’automne,
Blessent mon coeur d’une langueur monotone.
Tout suffocant et blême, quand sonne l’heure,
Je me souviens des jours anciens et je pleure.
Et je m’en vais au vent mauvais qui m’emporte
Deçà, delà, pareil à la feuille morte."
[Verlaine, Chanson d’automne 1866]

Y a 200 ans, v'la c'qu'on disait et sans exhorte.
Et patatras, tout ça devenu langue morte.

Allez, fait pèter le Verlaine du 21ème.

"Le flow de beats de ta zique de gros naze.
Me fout la gerbe, trop pas je capte son blaze.
Ca sent trop grave la loose, Gros: j'suis open.
je kiffe que le vintage, j'en ai le seum.
Et je me casse, ça chlingue la chiasse, bye la daronne.
Je m'en Balek, en PLS, dans ma piaule."

Verlaine traduit, et sans golri, v'la ce que ça donne.
Restez assis, je vous passe l'écrit, sur ordiphone. 0_0

Ouch, ça pique pire que ta reum. X-|

[passage en mode authentique, ça passera peut être mieux]

Et dans 200 piges, comment sera l'automne.

Verlaine OKLM

Morceau composé dans le cadre des EasyCompo n°22
Texte de netthael

Texte très profond sur la fin de la période des barbecues, si j'ai bien compris  X-P
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Taire le silence, un instant.
Parfois, l'air de rien, Je prends sa main
Dans la rue, dans le train, Au café du coin
Nul ne voit, c'est certain, Ce réflexe anodin
La garder près de moi, Serrer le vent entre mes doigts.
L'intimité d'un geste, Ses promesses secrètes 
C'est tout ce qu'il me reste, Je sais c'est bête.
Des histoires en miettes, Qu'on oublie ou regrette
Je les recolle chaque soir, Pour garder sa mémoire.
   Et pour un instant, Juste un instant...
   Faire taire le silence
Retrouver le boucan, De ses rires d'enfants,
De nos souffles d'amants, De la vie simplement...
Pas juste en rêvant, Au milieu des passants.
Avancer encore a deux, Avant de se dire adieux...
   Pour un instant, seulement...

Un Dernier Boucan

Joyeuse fin de WE et de civilisation  0_0

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"Ci-gît la civilisation censée faire germer l'univers".
Gravez ces quelques mots avant que plus personne ne puisse le faire
On aurait pu on aurait dû mais on aime trop se faire la guerre.
A défaut d'un avenir stellaire au moins une belle Stèle funéraire.

Foutu pour foutu, laissons une dernière lettre.
Une épitaphe perdue sur notre tombeau circulaire.

J'ai pu voir de mes yeux les abysses de la mer,
Damé le fil poudreux du sommet de la terre,
Foulé d'un pas joyeux le sol rocheux lunaire,
Envoyé dans les cieux des sondes interstellaires.

Je n'ai épargné du vivant que pour confort et aliment.
Déversé mes rejets crasseux pour juste la cacher de mes yeux.
J'ai ignoré mes congénères dans le besoin et la misère.
Abandonné de tout combat les profits dégueulants de gras.

Foutu pour foutu, laissons une dernière lettre.
Une épitaphe perdue pour les prochains peut-être.

Du soleil si fougueux j'ai dompté la lumière.
J'ai caressé son feu, opéré au laser.
Du rocheux au gazeux j'ai percé les mystères,
Tant du vertigineux, que du moléculaire.

J'ai tant et tant donné de vie pour un Dieu sourd, aveugle et muet.
J'ai tant et tant armé mon pays pour mieux préparer la paix.
Tant d'énergie gâchée, l'univers était mon destin,
Mais j'avais faim, trop faim.

Foutu pour foutu, bouffons les dernières miettes.
Adieu monde tondu. Désolé pour la dette. 

"Ci-gît la civilisation censée faire germer l'univers".
Dernier projet commun au moins se faire une belle Stèle funéraire.
Tant d'énergie gâchée, l'univers était mon destin,
Mais j'avais faim, si faim.

Foutu pour foutu, bouffons les dernières miettes.
Navré peux ceux qui y ont cru, Navré pour ceux à naitre.
Foutu pour foutu, Dernier gueuleton de fête.
Seul futur en visu, Nos vers en seront l'ancêtre.

Projet Stélaire

Ca fait plus de boulot pour l'ankou, mais bon, "n'eo ket strikt"

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Y a pas la mer et pas d'matelots.
C’est pas si grave, c’est pas si grave.
Y a pas la mer ni de rafiots.
Mais on a de la houle dans les bistros.
Y a pas Quimper ni Saint Malo.
C’est pas si grave, c’est pas si grave.
Y a pas Quimper ni Concarneau.
Mais on a moins de Parigots.

A l'ouest de Paname, Ca Bretonne pas mou.
Deuxième capitale, de 29 sur les routes.
Et dans nos rouages, C'est pas du beurre doux.
Bretons de coeurs, Bretons du large.

Y a pas de phares ni d'sémaphore.
C’est pas si grave, c’est pas si grave.
Y a pas de Tribord ni de bâbord.
Mais ça nous va de perdre le Nord.
Y a pas d'lutins ni d'arbre en or.
C’est pas si grave, c’est pas si grave.
Ni une bigoudène dans chaque port.
Mais on sait bien que c'est du folklore.

Nous Bretons du large, marins pousse-cailloux.
Capitaines de barges, insulaires d'eau douce.
Hissons les voilages, Gwen-ha-Du à la proue.
Et dans notre sillage, Un air de biniou.
Nous Bretons du large, d'Ablis à Chatou.
Capitaines de barges, Triskell en tatoo.
C'est face aux gendarmes, qu'on souffle dans l'biniou.
Bretons de coeurs, Bretons du large.

Bretons Du Large

Paroles adaptées d'un texte de Alain VERTIGOBX
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[Refrain]
Je suis l’enfant de dernière chance,
Fait pour resouder les morceaux.
Le germe de la renaissance,
De leur amour, juste le terreau.

J’ai perçu des conversations
Lorsque j’étais dans la matrice
Qui même en cours de gestation
Vont me laisser des cicatrices
Des tas d’amants, trop de maîtresses
Ils jouaient si dangereusement
Pour soulager cette détresse
J'étais censé faire pansement

[Refrain]

Pour un couple qui bat de l’aile 
Qu’un enfant puisse être ciment
C’est croire qu’avec une truelle
On reconstruit les sentiments
Elle pèse alors sur mes épaules
Cette chape de possibilité
De faire qu’à nouveau ils convolent
Et pour quelle durabilité ?

Je ne suis pas un pansement
Pour un couple au bord du naufrage
navré papa maman
Il valait mieux tourner la page
Faudra plutôt qu’on me soutienne
Avec amour assurément
Quant à vous deux, quoi qu’il advienne
Je vous aimerai séparément

Je vous aimerai séparément
Car je suis là dorénavant

J’étais l’enfant de dernière chance
Fait pour recoller les morceaux
Je suis là, pas la renaissance
Elle gît au fond de mon berceau

J’étais l’enfant du renouveau
Je suis l’enfant de l'amour le tombeau.

Le Pansement

Hé oui, bientôt le retour à l'époque ou Les Yvelines étaient en Armorique. 0_0
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Nous les gars, de la future côte celtique,
Yvelinois du pays d'Armorique.
Ne cherche pas le bug géographique,
C'est le résultat du changement climatique.
Dans 20 ans, les pieds dans l'Atlantique,
Ce sera à nous d'perpétuer la pratique.
On promet pas 100% identique,
Mais tu verras, y a des restes authentiques.

Y'a neuf à dix moutons dans mon village en haut,
Y'a neuf à dix moutons dans mon village en bas.
Dans mon village en haut, Dans mon village en bas (bis) 
Et chanj an tu, Madeline, Madeleine,
Et chanj an tu Madeline dors tu ?

Y'a Huit à neuf moutons
Y'a Sept à huit moutons
Y'a Six à sept moutons
Y'a Cinq à six moutons
Y'a Quatre à cinq moutons
Y'a Trois à quatre moutons
Y'a Deux à trois moutons
3, 2, 1, Dors tu ?
Et chanj an tu, Madeline, Madeleine,
Et chanj an tu Madeline dors tu ?

Un kan-ha-diskan, tape la galoche
Un kan-ha-diskan, la digue, la digue
Un kan-ha-diskan, Venez danser jeunes gens 
Se chante De Versailles à Lorient.

Nous les gars du côté Atlantique,
Yvelinois du pays d'Armorique.
On promet pas de chanter les cantiques,
Mais pour danser, on y met toutes nos tripes.

C'est dans 5 ans je m'en irai, 
des tripes d'andouilles du boudin salé, (bis)
Des tripes d'andouilles, du boudin, du boudine, 
des tripes d'andouilles du boudin salé (bis)

Un Kan - Ha - Diskan Des Diablintes D'Armorique

Aimez vous à mort

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J'avance et tu m'accule
Cherchons la bonne formule
 
Si j'avais un bouton, pour virer tous les cons,
Je sauterait à pieds joints, dessus tous les matins.
Mais comme je suis le con de quelqu'un,
qu'aurait le même refrain,
Je me retrouverait donc demain,
avec tous mes crétins.

J'voulais pas être vulgaire,
Mais là c'est salutaire,

Aimez vous, putain !
Pas besoin d'un bac+20.
Même tes démodex y arrivent bien.
Comme eat dog aime son joint.
Comme Kim aime son chirurgien.

La Haine n'est qu'une rivière, 
qui prend source dans la trouille (vrai de vrai ;-) ).
Si t'y pars en croisière, Tu perds au port tes couilles.
Tu y pèche du Poison, Plonge dans l'obscénité,
Les vers que tu y bois, ne sont qu'eaux usées.

Mais aimez vous, putain !
L'amour c'est pas que pour les chiens.
Reniflez vous le culte au besoin.
Comme Sepp aime les billets de vingt.
Comme Kim aime son popotin.

Mes biens chers frères, mes bien chères soeurs,
persécutés, persécuteurs,
Ceux à qui ce refrain ne convient guerre,
Quand l'amour a raté le coeur,
Il arrive souvent par derrière.

Mais aimez vous, putain !
Même vos morpions le comprennent bien,
Un seul pubis, tous cons sans gains.
Comme Kaili aime les pot-de-vin.
Comme Kim aime les Louboutins.
Aimons nous, putain,
Aimons nous bande de crétins,
Les seuls qui s'marrent sont les martiens.
Comme j'aimerais crever serein,
Comme un gosse aimerait un destin.

Aimez Vous, Putain !

Oyez oyez gueux et bourgeois,
De l'an de grâce 533.
2023 selon les syndicats.
Oyez le barde vous narrer l'épopée du roi.

Le sire Arthur et ses preux chevaliers,
Stoppant l'allure de leur fiers destriers.
Ôtant armures, cotte de mailles et cirés.
Leur quête est enfin achevée.
Foulant verdure du foyer retrouvé,
Excalibur au poing levé.
D'un même ton sûr se sont tous écriés :
"Le Graal les gars, on l'a trouvé !"

Chevaliers de la table ronde,
Du globe nous avons vu chaque coin.
Des pôles à Brocéliande,
Et point Trouvé de divin.
Pourtant la quête fut féconde,
Nul besoin de partir si loin.
Pour que le plaisir abonde,
Ton Graal emplit le de vin.

Moults aventures et lieues avalés,
A chercher l'âme pure, esprit et vérité.
Pales furent nos figures quand lumière fût trouvée...
Seule compte la mixture qu'importe le gobelet,
Pour le prix d'une biture, des cieux effleurés,
Point de serrure, ni enigmes à délier.
Lance l'eau du lac et emplit d'Rhum Ambré,
Puis viennent les Anges sans même se déguiser.

Chevaliers de la table ronde,
Trinquons et d'esprit faisons le plein.
Aux caresses brunes, rousses ou blondes,
Aux déesses surtout leurs saints.
Buvons et que succombe,
L'ankou et ses étouffe-chrétiens.
Et que les cornes abondent,
Gloire aux potions de Merlin.

Chevaliers Ronds De La Table

Texte d'Alan sans I (VERTIGOBX) ;-P

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Quand je vois Sophie, ma belle des S
Me voilà d’un coup le cœur bien les G
Elle me fait planer, voler dans les R
Comme si j’étais un ballon des C

Avec ma Sophie, l’hiver com’ les T
Je suis à l’abri de tout A les A
Que le soleil soit ou soit pas le V
Au chaud dans ses bras, je suis en tout K

Quand elle s’allonge sur le sofa. Sauf A
Elle est si jolie, si jolie Sophie. Sauf I
Que j’ai répudié toutes les prunelles. Sauf L
Et voilé tous les autres yeux. Sauf E
Sauf A, sauf I, sauf L, sauf E
À tire d’AILE, à tire d’AILE
Sauf A, sauf I, sauf L, sauf E
À tire d’AILE tous les deux

Comme un bucheron qui n’a plus de H
Doux comme un mouton, plus rien ne me fâche
Comme un oisillon perdu sans ses L
Je n’ai plus envie de voler loin d’elle

Elle m’a envouté à coup de D
Pour que l’amour gagne sur toutes les N
Qui réussirait à tous les C
Sans lui murmurer « je t’M »

Sauf I

Une vieille promesse qui malheureusement a prit corps trop tôt.
A Vincent

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Ton fantôme

On a grandi comme côté à côte, toi mon cousin, mon ami.
A partager les même attentes, quelques secrets et mêmes envies.
Les moments de silence n'étaient ni gênés ni subits.
Mêle enfance et Connivence, Une des recette de magie.
Dans ces moments qui se prolongent, A regarder les étoiles.
A parler encore et encore, D'la vie son sud et son nord.
On s'est promis, oui oui, que le premier de nous qui périt.
Fasse signe à l'autre, quelle niaiserie, Mais voilà tu es parti.

[Refrain]
Ton fantôme. J'attends, j'attends sans presse.
Ton fantôme. Est ou ?
Ton fantôme. Sans tristesse ni ivresse.
Ton fantôme. Que vienne, la promesse.

Je scrute ombres et nuages, Une forme, un mot, un message.
J'attends les yeux fermés, Un son, un souffle insufflé.
Toi qu'la vie n'attendait pas, qui en demandais si peu. 
Tu as maintenant pour toi, 1000 raisons d'en vouloir à Dieu.
[Refrain]

(Enregistrement à vide dans l'espoir d'une voix)

Puduculte

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