Hangora - live @Dox'Art Festival - 2022, FR

"The #BoomTrap movement is so exciting for me, so I wanted to keep the party going with my new Volume 2 EP. To me, it's a step up in terms of energy and creativity. I'm having so much fun with 808 bass, and I hope you enjoy it just as much as I enjoy creating it!" - !llmind

08 Fat (Produced By !llmind)

Preview of REBELTEK 004 B

Chris Liberator & Sterling Moss With DVS - Down Underground

Due soon on coloured vinyl

Chris Liberator & Sterling Moss With DVS - Down Underground (REBELTEK 004 B)

François Cervantes fréquente le Théâtre du Merlan depuis de nombreuses années. Un théâtre dans les quartiers Nord de Marseille. Un territoire vaste et hétérogène, si peu fréquenté, si mal connu du centre ville de Marseille. L’an passé, François Cervantes avait donné à voir sur scène un récit tissé de ses rencontres avec les habitants du Grand Nord. Une trentaines d’habitants partageaient alors le plateau avec des comédiens. Une fiction à partir du réel, du réel d’un territoire, du réel des vies. Une épopée. 
Les 7 & 8 novembre, c’est au second volet de cette épopée du Grand Nord que François Cervantes nous convie. Au Théâtre du Merlan, sur son plateau, il a reconstitué un snack proche du Merlan. Un Snack qui sera prochainement détruit du fait des transformations urbaines dans ces quartiers. Un Snack tenu par Latifa, dont les parents sont arrivés d’Algérie à Marseille dans les années cinquante, au début de la construction des quartiers Nord. De l’épicerie de son père transformée depuis en Snack, cette nouvelle pièce est à la fois le récit d’une immigration et le récit d’un territoire. 

Au bord du plateau, le Snack vide devant nous, reconstitué à l’identique, discussion avec François Cervantes.

Le rouge éternel des coquelicots

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Radio Mawimbi #48

Radio Mawimbi #48 w/ Love Saves the Day (Toulouse)

Une émission préparée par William Gloria et Fanny Dujardin
Liens : 
- site de Baudoin : http://www.edmondbaudoin.com/edmond_baudoin.html 
- documentaire de Clémentine Lathelier : https://soundcloud.com/user-51667392/au-pied-du-frene 
- documentaire de Laëtitia Carton : https://vimeo.com/ondemand/edmond

[RADIO-BD] Les yeux dans les yeux, deux regards sur le portrait avec Baudoin et Clementine Lathelier

À Marseille, l'accueil des mineurs isolés étrangers s'appuie sur des réseaux d'hébergeurs solidaires.

l y a un mois, Jean-Marie et Lise de Radio Campus Clermont vous amenaient à Toulouse, à la découverte du collectif autonoMIE, qui accompagne les mineurs isolés étrangers, ces jeunes de moins de 18 ans qui ont fuit leur pays pour arriver en France.

Dans ce nouvel épisode, co-produit avec Quentin de Radio Grenouille, on découvre que le département des Bouches-du-Rhône n'est pas à la hauteur des besoins des jeunes. Marseille est une ville violente pour ces jeunes qui arrivent souvent d'Afrique subsaharienne. Heureusement, des collectifs comme el Manba ou MIE13 agissent au quotidien pour accompagner ces jeunes : aspects juridiques, hébergement, accès à l'éducation, tous les aspects de leurs luttes sont essentiels.

Pour en savoir plus: http://elmanba.noblogs.org/

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🗣️L'accueil des mineurs isolés étrangers à Marseille | UNIVOX

Un "radiocollage" collectif réalisé pour Radio Galère 88.4FM à Marseille, à l'occasion du FID (festival international de cinéma) 2018. 
Mélange d'interviews, d'impressions, d'ambiances, d'éclats de la vie marseillaise de ces deux semaines de juillet.

par Fanny Dujardin, Clémentine Lathelier, Jimmy Kirnisky

From Marseille with love - Radiocollage

Emanuele Coccia est maître de conférence à l’EHESS.
Auteur de La vie sensible et La vie des plantes aux éditions Rivages.
Il était à Marseille, invité par Opéra-Mundi

L’entretien s’articule à partir de la lecture de La vie des plantes, une métaphysique du mélange.
Emanuele Coccia philosophe ayant reçu une formation de botaniste, tente de connaître la nature du monde en observant les plantes. S’intéresser aux plantes c’est décrire un mode d’être-au-monde radicale. En cela que les plantes n’entretiennent aucune relation sélective avec ce qui les entoure. Elles sont exposées et ne peuvent se déplacer. L’être-au-monde des plante est une immersion. Elles transforment ce qu’elles touchent en vie. Elles font de la matière, de l’air, de la lumière solaire, un monde. « La vie des plantes est une cosmogonie en acte ». Être, ici, signifie faire monde et tout organisme vivant est l’invention d’une manière de produire le monde.

Au terme de la lecture du livre, on reprends conscience de la métamorphose permanente, comme vérité du vivant. On redonne sa relativité nécessaire aux notions d’environnement et de milieu, qui nous retirent la compréhension du mélange dont nous faisons pourtant l’expérience à chaque instant. Après tout, quand nous inspirons, ne faisons-nous pas venir le monde en nous et quand nous expirons nous nous projetons dans le monde. De sorte que "ce que nous appelons respiration n’est que l’agriculture de l’atmosphère".

Le vivant façonne le monde, autant qu’il se laisse façonner par lui. La transformation est permanente. Rien n’est solide, « le monde à la consistance d’une atmosphère ». Mais la transformation c'est aussi pour le pire. Les espèces sont sans fraternités, elles produisent un monde, transforment ce qui leur est accessible, se répandent et peuvent mettre en péril d’autres espèces. C’est notre condition, notre vérité. Peut-être nous faudrait-il contrarier notre nature. Nous faire les jardiniers du monde et refuser de nous répandre au point de tout détruire.

Lire La vie des plantes d’Emanuele Coccia, c’est refermer le livre avec une envie pressante d’ouvrir un livre de culture. Car ce dont nous avons besoins face à l’immense crise écologique, c’est d’un moment de culture. Ce que nous avons appelé culture ( chemins de fer, internet, techniques, extractivisme …) n’aurait sans doute été rien d’autre que la manière dont nous nous sommes laissés aller à la nature du monde. Et les inégalités sociales et économiques rien d’autre que les lois du vivant. En appeler à un moment de culture, c’est accepter de ne pas être un simple vivant parmi les vivants, mais une espèce responsable de toutes les espèces, ayant le tout du monde en héritage et la responsabilité de sa persistance.

entretien > Emmanuel Moreira

Emanuele Coccia, le monde a la consistance d'une atmosphère

Un Salon de Musique avec la guitariste, compositrice et interprète Melissa Laveaux, enregistré le jeudi 11 juillet 201ç dans les cadre du festival Les Suds, à Arles, avec un extrait de son concert le soir-même au Théâtre Antique.

Plus d'infos: http://www.radiogrenouille.com/antenne/les-suds-a-arles-salon-de-musique-avec-melissa-laveaux/

LES SUDS A ARLES, SALON DE MUSIQUE ET CONCERT AVEC MELISSA LAVEAUX

L’émission de radio pour tous les pitchouns quel que soit leur âge, de 3 ans à l’infini : c’est RADIO TÊTARDS !

Radio Têtards #4

Emission, Chroniques, Lives & Exclusive Mixs

Radio musicale et culturelle, à Marseille et au-delà.
88.8 FM - www.radiogrenouille.com

Le rouge éternel des coquelicots

Radio Grenouille

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