Hill Sentenza, Sad Leão 

Cannabysal

Instru : The message, Nas


Assis sur la charpente ft Hill Sentenza

Cannabyssal 
769 clan
Sad Leao ft Srine

Ceux qu'on dissimule ft Srine

Feat Ben Real / Pulp / Palpalengua 
Instru : Rare phénomène par Art Aknid/
https://www.youtube.com/watch?v=zP7smc0lcCU


Lyric's 
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Sad Leão :

En vérité la vie je m'en bats les reins, la peine c'est mon terrain
Mon quotidien sans intérêts, sans but c'est pas terrible 
Et sans thune c'est pâtes et riz, difficilement t'atterri 
Quand t'es tombé de si haut
C'est comme tuer un funambule avec une paire de ciseau 
Et c'est dégeu comme un père qui viole sa fille de 6 ans
C'est saisissant vivre sans elle c'est lassant j'ai vu la faucheuse m’enlacer
Pour mort elle m'a laissé, elle m’a buté je suis bé-tom comme une bête qu'on abat 
Et de remède il n'y en a pas, condamné à vivre a part
Dans une bulle entouré de rempart, édifié de l'amour qu'elle ne rend pas 
J'ai finis en rampant la mort venant à grand pas
J’ai repris des airs de battant en insultant les beau ren-pas 
Depuis des mois, leur fille ne rentre pas je sais que j'ai le ventre plein
Mais constamment je me débats entre mes déboires et mes défunts 
Voila comment un homme peut arriver à boire sans fin, 
Et moi je fume sur le sofa en écrivant des verbes sans formes  
Voila comment un homme s'enferme


Ben Real : 

Ici le mal agi, on grandit dans la merde
Motivé par la vie et par le teushi en lamelle
J' dois m'activer l’ami si je veux poursuivre mes rêves
"Ben Real tu veux vivre de ta zik, mais là t'a craqué t'es raide !"
Oui je sais mais faut garder espoir, gratter jusque tard le soir 
j'vais tout donner dans la chanson les sceptiques peuvent aller se faire voir
La routine m'as pris, j'pense pas qu'elle me r'lachera
j' finirai pt’être en psychiatrie le stylo collé aux doigts
Regardes les marcher au pas, conditionnés depuis l'enfance
Le fait de consommer est devenue une vraie dépendance
Au plus vite faut que j' prenne la tangente , j'me barrai d'ici s'il le faut 
J'prendrai ma feuille un stylo et j' irai voguer sur le flow
Ecrire des pages entières, je le dit c'est tout ce qui me reste 
A ceux qui me jettent la pierre, vous savez bien où vous la mettre
On reste honnête dans nos textes on a pas retourné nos vestes
Encore moins pris la grosse tête ici pas de phases cotorep
Si tu kiffs poto restes on va rouler des pécos d' Herbes 
On passe notre vie à se morfondre les yeux rivés vers le ciel
Et pour mon crew, mes soces, j' balance une dédicace 
Avant de finir dans la sauces, On fera tout pour gratter du cash !


Pulp : 

We sound hardcore like the two World Wars, 
You know I want some more, basses shocking the floors,
We explore, doors of perceptions, my life crushed poisoned by love and his blowguns,
I'm not real I'm a show-off, I'm not real, 
You know what I'm saying that's what they say.
As soon as you're born, they make you feel small, 
By giving you no time instead of it all. 
They hurt you at home and they hit you at school, 
They hate you if you're clever and they despise a fool.
I'm not crazy enough man to follow their rules.
But who the fuck am I to be wrong to be right ?
Who the fuck are you to be wrong to be right ? 
That's what I'll say to the next who will fight."


Palpalengua : 

Ma plume est sincère c'est du Palpa pas de ruse
ils se ruent sur mon rap, pourtant j'fais pas de rap de rue
vieux avant l'âge, crois moi les petits sont déjà loups
j'rap avec le cœur, mes autres organes sont des jaloux 
parti de rien ,j'ai souvent été scred en cours
batard et zonard ,j'ai deux points communs avec Haroun
héritier de Kriss Kross ,les rapeurs sont dos a dos 
veulent faire du hip hop sur une musique a fond électro
j'ai les crocs, crachent les vérités coincés entre les molaires 
les 5 années de Sarko n'ont pas pansé les plaies de nos mères
la tête dans les nuages ,a croire que je pourrai voler
les pieds dans la merde ,le banquier va encore me faire chier 
Au royaume des rageux on est en chien,
On tient les murs comme des communistes a l'est de Berlin
le savoir est une arme, armé que d'une armure
sur le chemin du rap ,on se ballade avec un M-16 mesure


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Je m'appelle ft Ben Real, Pulp, Palpalengua

Instru : Le silence crie par Olsen /
http://www.youtube.com/watch?v=KS24qHH_-Ng
  

Lyrics :

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Le même propos le même topo demande au poto 
On a grandi trop tôt  moins de larme qu’un croco
On va pas finir en craquant,  encore moins devant ce flic et sa gopro
Qui ne cesse de répéter que je vais finir au trou 
Mais c’est outrant monsieur l’agent cette fois c’était de trop, 
Vos histoires à franc deux trois j’ai finis par en avoir plein le dos, 
Pour deux grammes de tamien tu voudrais me mettre en prison ? 
Essaye un peu cousin tu verras que j’ai perdu toute forme de raison, 
Tous les jours je cherche un but comme un portable qui recherche le réseau,
À la quête de mes racines sur les chemins de mes rhizomes
Je suis tombé sur de l’acide, la dérision de l’homme 
Regarde l’œil de celui qui est assit, sont mal à l’âme et c’est ainsi 
Cette vie t’insiste à être seul et même à six t’es esseuler, 
Sous la douche tu reste sale tu veux enlever tes cicatrices mais laisse les,
Je titube comme un mec qu'on viendrait d’assommer
Sale habitude sur le bitume, on est tellement loin du sommet
L'altitude de la biture réveille en moi la bête qui sommeille
Quand je me couche je peu regarder le soleil, 
Mon bang à la bouche avec ma douille de pollen 
Ouai ma couille c’est comme ca que j’esquive le froid polaire, 
Les frappes honnêtes on laisser place aux coups de couteaux 
Écoute poto pour avancer il faut que tu ose, 
Sa fait longtemps que j’ai découvert le pot  au rose, 
J’ai envie ouai de me barrer en bateau et de quitter cette vie morose, 
Tous les jours je me casse le dos et on me parle d’équité ?
Mais c’est les même qu’on arrose, qu'on se le dise, se consoler dans la tise 
Pour te donner une image c'est comme un feu qu'on attise, 
Ouai la poisse on attire, j'ai vu des potes finir à terre, 
Voici ma satire, en quelques mots voici ce qui m’atterre 
Et c'est pas facile à dire mais a terme on est du-per, 
Je m'en bats les reins du saint esprit du fils et du père, 
Je compte sur moi, sur mon esprit mes complices et ma paire, 
Ceux qui ont compris mes peurs, s’reconnaitrons 
Peut être dans mes erreurs, Mes envies de fracture de serrure,
Et ouai frère les factures s'accumulent, 
Pas de sous sous la commode, la galère et au commandes 
Dans se tumulte on fait comment, Comme dit Anraye,  
Ya des cowboys chez les Comanches, 
Je suis mon propre maitre l'auteur de mon roman,
Comme césar a la tête du monde romain ce texte je le dédiasse à mon poto Romain, 
Et nique sa mère les romances on cherche à parer notre démence 
Dans nos têtes trop de démons ma folie est immense 
Et par centaines je compte mes maux, c’est la haine qu’on essence 
Dans mon salon c’est Woodstock sans les vapeurs d’encens
Comme mon poto Ilon j’esquive les soirées dansantes 
En préférant les coins sombre ou tu a vite fait de finir en sang 
Et comme un con j’avais pensé qu’on aller finir ensembles 
Mais c’est passé à présent l’avenir est terne il me semble, 
Je me sens sans la peau d’un condamné innocent 
Même si mes défaut ils sont cent j’ai pas la force de Samson
Mais je l’espère l’esprit bien pensant 
Et sur ce son c’est pas des larmes mais du sang 
Qui coule de la plume et qui finit sur le bitume juste a coté des cendres 

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Fauve en cage

CA SE PASSE PAR ICI MAINTENANT : 
 
https://www.youtube.com/watch?v=aSWU4T6JvH0&list=PLxD4t_1fKGIVKVrBE-prtQpcH3LglvczW

et les potes ici :
https://soundcloud.com/bescri-loriginal 
https://soundcloud.com/ikondef
https://www.youtube.com/user/ozdezeta

Sad Leão

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