Photo prise à 14h44 dans un photomaton toulousain pile un quart de siècle après mon premier cri.
Merci papa, merci maman.
Mix by me & Meikyu.
Master by Meikyu.

Un quart de siècle

J’ressens la nature c’est puissant, épuisant 
L’impression d’en être l’épicentre 
Que dans mon cœur y’a un puit d’sang 
Elle a pris ses distances comme on prend un café 
Elle reviendras quand j’serais acclamé
Avec Dans ses yeux la même chaleur qu’à Abidjan 
Sachant très bien que je peut pas la remplacer 
Il ne me resteras qu’à l’enlacer 
J’ai mis l’temps à capter faut pas mille plan, ni mille gens 
J’étais naïf chuis pas à blâmer 
Ah bas ouais dans ma tête j’ai passer le balais 
J’Danser avec mes démons a croire on prépare un ballet 
C’est le plus chelou des spectacles 
Desfois chuis magnifique et desfois chuis détestables 
Mais jamais stable ni très loin de l’estrade 
La vie m’a fait serrer les dents comme si c’était une ecstas 
Dépêche toi ouais j’entends dépêche toi 
Cette vie te crie baise moi il faut en faire des exploits
Déteste toi ouais j’entends déteste toi 
Et ce seras pas guéris pas des millions et des palais 
Des voyages à Palerme des diamants sur des barrettes 
Des mallettes et des mallettes, et des mallettes et des malettes 
j’ai pas rêvé de tout ça 
J’voulais juste tes couleurs sur ma palette 

Merde
voler le vent, emporter la Mer 
trouver les mots, apaiser ma Mère 
ouvrir les bras jusqu’à serrer la Terre 

Pour ce monde de merde j’étais pas parer 
Des humains et des humains qui s’racontent qui sont pas pareil 
J’ai criés nique un paraitre tout en pensant à ma DA 
J’me suis rêvé Mandela pendant qu’jrepetais leurs pattern 
Merde

voler le vent, emporter la Mer 
trouver les mots, apaiser ma Mère 
ouvrir les bras jusqu’à serrer la Terre 

voler le vent, emporter la Mer 
trouver les mots, apaiser ma Mère 
ouvrir les bras jusqu’à serrer la Terre

J’veux serrer la terre (p.w8t)

Si t’écoutais mes textes
tu demanderais pas pourquoi j’ai si mal 
Petit comme une décimale 
pour guérir je n’ai que des images 
C’est plus des névroses c’est un récital 
Il parle de choix il parle de mérite 
Mais même ton prénom tu le décide pas
J’viens d’une famille ou avant d’manger on dit bismillah 
Car T’as beau tenir le crayon la nature tu ne la dessines pas 
Faut rester humble j’écoute même quand l’imbécile parle 
Faut rester simple j’ai pleuré sur le bruit des sitar 
Y m’as dit elle est belle bonne douce elle est délicate 
Le poto parlais pas d’sa femme nan il me parlait de la médicale 
Car elle guéris son angoisse 
Celle qui fait que l’appétit part
Gros l’humanité c’est noir j’appelle ça men in black 
Ou l’intérieur de mes poumons que j’ai détruis depuis l’âge de quinze 
Certain frère laches moins de sourire, qu’il ne te lâche de guinz 
On s’endommage avec une juste une main 
Maman désolée je suis juste humain 
Pour m’aider à respirer 
Y faudra pas juste du thym…

Ici les humains sont plus tendus que leurs mains
Ont répètent faut les thunes car ici faut des thunes hein 

Ici les humains sont plus tendus que leurs mains
Ont répètent faut les thunes car ici faut des thunes hein

Juste une main ft. M4TIAS

J’ai fait un rêve - BJP remix (p.sventoskah)

J’te répond plus ft. jakeVII (p.sventoskah)

J’dis merci car ça éclairci 
Pas besoin d’un textile pour aller bien dans ma tête 
J’ai mes frères leurs amour dans la fête
Qu’est que j’irais faire d’un Bercy 
J’dis merci comme je dis bonjour 
Bb faut qu’on bouge loin des immenses tours 
L’odeur de sa clope et son gros cul 
Nos corp en lotus, ses bras qui m’entourent 
J’viens d’la villes aux bâtiment pourpre 
La même couleur que le ciel quand le soleil tombe 
C’est rare que mon sommeil vienne 
Avant qu’ma journée devienne la veille 
le bas n’est pas sage le sommet gronde 
J’ai rêvé d’leurs palais sous les bombes 
Mais comme armes j’ai que mes sonnet 
Eux c’est des armés bb l’avenir est sombre 
Ma seule certitude c’est ma tombe 
ma seul compagnie c’était la blonde 
Que je déposais dans une longue feuille 
J’l’allumais pour qu’mon seum fasse pas long feu
J’en ai cramés 10000 il est resté là 
Dans des pièces qui empestait grave 
Mon père me disait « mais qu’est que t’es pale »
J’lui répondait pas, j’écoutais Nepal 
Si y’avais un fonsdal j’égouttais des pâtes 

J’ai nourris mes frères 
Et j’ai nourris mes sœurs 
On as dormis dans les mêmes lits sales 
Y’en as qui connaissait la bible 
Y’en as d’autres des versets d’l’islam
Y m’ont soutenus comme un steady cam 
M’ont prouvés à quel point c’est vitale 
L’amooooooooour
C’était pas la beuh mais eux là médicale 

Dans tout mes sons je les dédicace 
Ouais tout les sons je les dédie pour eux 
Les souvenirs restent, c’est le temps qui passe 
Dans tout mes sons je les dédicace 
Ouais tout les sons je les dédie pour eux 
Les souvenirs restent, c’est le temps qui passe 


Et j’ai souvent disparus d’leurs yeux 
Mais Chuis rester dans la tête des vrai 
On s’est jurés de gravir l’Everest 
Dans un monde de la pire espèces 
Pour viser les sommet j’empile des fresques 
Bae c’est bancale comme la tour de pise
J’ai pas l’bonheur comme un fou j’le piste 
Dans des mirages, dans des smile de fées

Un quart de siècle

Samir Flynn