Nickodemus & Quantic feat Richard Shepherd "La Lluvia" REMIXED by HIRD (2010) 
FREE DOWNLOAD from the "SUN PEOPLE REMIXED" album.  www.soundcloud.com/wonderwheel-recordings "10 Year Anniversary Time Capsule"  http://wonderwheelrecordings.bandcamp.com/album/wonderwheel-10-year-time-capsule

REMIX album on itunes

"La Lluvia" by Nickodemus & Quantic featuring Richard Shepherd (Hird Remix)

Memory doesnʼt age, it always remains the same.
 
“Memoria” is an album about my memories, my hometown, the scent and flavours of my childhood, things Iʼve read, movies Iʼve watched at the cinema and my love for music. Itʼs about going back home, re-establishing a link with the past and recalling cheerful and happy memories.
“Memoria” refers specifically to the regions of Minais Gerais and the Brazilian northeast, its hot climate, the religiousness of the people and its faith in miracles, calling to mind images of mysterious and surreal popular tales, where time flows slowly in an intimate dimension.
 
Toco


Toco - Vendaval

Griseville (prod. Tenkapi)

L'Orange & Stik Figa - Smoke Rings Instrumental

11 He Can Save Your Soul

KELLEN DE VOS - GRAND SLAM

Africa 45, number 9 - http://www.mrbongo.com/products/rail-band-mariba-yassah-les-ambassadeurs-du-motel-de-bamako-get-up-james-7

A. Rail Band - Mariba Yassah ft. Mory Kanté

One of Mali’s best known outfits, also known as Super Rail Band and the Bamako Rail Band. Led by the legendary Salif Keita. Their unique style came about as a result of the fusion of Afro-Latin-Jazz and traditional styles.

This track is super funky and tight from the first beat, with a catchy trumpet line running over the top and throughout. Mory Kanté features here on lead vocals.

Originally released on their album entitled ‘Super Rail Band Of The Buffet Hotel Del La Gare De Bamako, Mali - Rail Band’, in 1973 on RCAM. 

B. Les Ambassadeurs du Motel de Bamako - Get Up James

Salif Keita becomes the subject of some unusual A-side/B-side drama here - he left Rail Band to join Les Ambassadeurs du Motel de Bamako! Les Ambassadeurs du Motel de Bamako are considered to be one of Africa’s greatest bands, assembled in the early 70’s in Mali.

This record is a James Brown cover with a psychedelic-West African twist. Loud and proud JB style call-and-response vocals, driving organ, drums and guitar.

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Mariba - Yasa

Punky funk meets hip-hop with a sprinkle of disco

Pepe Deluxé - Go Girl Go

08 - Willy Crook - Eternity RMX Wav Nadia Popoff

https://www.mrbongo.com/products/mr-bongo-record-club-volume-three-vinyl-2-lp-cd

Volume Three in the Mr Bongo Record club series. Another showcase of recent vinyl finds and favourites from our DJ sets and radio shows. This is an extra special one however, as it lands in 2019, the year that we celebrate 30 years since it all began way back in 1989.

Compiled by David Buttle and Gareth Stephens, assisted by Graham Luckhurst and Gary Johnson.

Mr Bongo Record Club Volume Three

Highlife

Dans son panthéon : Tolkien, Zola, Faulkner ou Apollinaire, tous découverts durant l’enfance par cette lectrice et autrice précoce pour qui l’écriture a toujours été « le plus drôle de tous les jeux ». Sa rencontre à l’école primaire avec la romancière et dramaturge Géva Caban la conforte dans son désir d’explorer l’art du récit, en se posant les questions élémentaires. Peut-on chiper des idées à Stephen King ? Lui-même, n’aurait-il pas barboté quelques trucs et astuces à ses illustres prédécesseurs ? À qui envoyer sa prose, quand on a terminé ? Car c’est la règle, pour Alice : « Il faut d’abord apprendre à finir un texte. »
Passée l’évocation de cette jeunesse normande, ce premier épisode s’attarde sur la « danse de l’hésitation » qui précéda la conception de son cinquième roman, « L’Art de perdre », lié à son histoire familiale, ses deux voyages nécessaires en Algérie, le choc ressenti devant le film « La Bataille d’Alger » (Gillo Pontecorvo, 1966) et ses recherches « totalement bordéliques ».

L’écrivaine du mois : Alice Zeniter
Romancière, dramaturge, metteuse en scène, traductrice et scénariste, Alice Zeniter, 33 ans, est l’un des voix les plus énergiques de la littérature francophone. Née d’un père algérien et d’un mère française, diplômée de l’École Normale Supérieure, elle publie un premier roman confidentiel à 16 ans puis signe à 23 chez Albin Michel pour le second, « Jusque dans nos bras » (2010), dans lequel elle aborde la question du mariage blanc avec un héros malien menacé d'expulsion. Elle s’installe ensuite pendant trois ans à Budapest où elle enseigne le français, étudie le théâtre et « flâne ». Viendra « Sombre dimanche » (2013), roman d’une famille hongroise sur trois générations, puis « Juste avant l’oubli » (2015), à propos du suicide étrange d’un maître du polar sur une île brumeuse des Hébrides. Tout s’accélère deux ans plus tard avec « L’Art de perdre », prix Goncourt des lycéens, dont nous parlerons ici de A jusqu’à Z.

« L’Art de perdre » (Flammarion, 2017)
« Ai-je oublié d’où je viens ? », se demande Naïma, trentenaire parisienne en sévère gueule de bois. « Ma détresse n’aurait-elle pas la taille d’un pays manquant, d’une religion perdue ? » Par sa voix, L’Art de perdre suit le destin d’une famille kabyle sur trois générations – des années 40 à nos jours, sur 500 pages, en trois parties. Il y a d’abord Ali, le grand-père, harki, c’est-à-dire « supplétif indigène au service de l’armée française » comme dit le dico, contraint de fuir ses montagnes avec femme et enfants face au FLN et ses « règlements de compte au milieu de la nuit », à l’heure de l’indépendance de 1962. La deuxième partie se focalise sur Hamid, le père, qui n’oubliera jamais leur installation dans « la France froide », dans ces camps d’accueil insalubres et surpeuplés des Bouches-du-Rhône, entourés de barbelés, dans le silence de ceux qui attendent, humiliés, parqués « dans le royaume de la boue », « comme des bêtes nuisibles » ; Hamid, qui se politisera et s’en sortira grâce à ses études, et qui épousera une Française. Il y a enfin Naïma, la petite-fille, qui cherche sa place dans cet héritage.

Sacré du Goncourt des lycéens et du prix du journal Le Monde, « L’Art de perdre » a beaucoup gagné : le roman se vend à plus de 580 000 exemplaires et décroche des récompenses en Espagne, en Suisse ou en Pologne, tandis que Barbet Schroeder obtient les droits d’adaptation au cinéma. Le succès critique n’a d’égal que sa reconnaissance publique, voire intime, lorsqu’au premier rang de certains festivals où Alice Zeniter est invitée, d’anciens harkis s’assoient parfois, en uniforme, la poitrine chargée de médailles, comme jadis son propre grand-père. Mais comment s’est-elle jetée dans cette fresque romanesque à haute teneur documentaire ? 

En partenariat avec Babelio
Entretien : Richard Gaitet - Prises de son : Sara Monimart - Montage : Antoine Larcher - Réalisation, musique originale et mixage : Samuel Hirsch - Illustrations : Sylvain Cabot

Bookmakers : Alice Zeniter (1/3)

Live Hip Hop, 90's Hip Hop, Jazz, Soul, Funk, Rock, Metal, RapCore, Hard Rock, Reggae, Swing, Instrumental, Epic Records, Sony Music, Nyc

11 He Can Save Your Soul

Smokin Suckaz Wit Logic

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