Il parle de lui à la troisième personne

je n'aime pas passer l’hiver tout seul
je ne suis qu’un poète avec des penchants un peu étrange
trop sexy pour les « tu me manques »
mais encore faible pour lui dire "non"
avec sa gueule d’ange
t’façon
tout ce que je sais faire, c’est peindre
avec des mots
de toutes les couleurs
ce que je veux faire de ma vie, je sais pas?
en tout cas, j’veux plus t’aimer ça, c’est sur 
j’aime pas les messages 
et j’aime pas qu’on m’appelle 
or, pourquoi je me sens seul
quand je regarde mon téléphone?
à ton regard 
j’savais déjà qu’on allait le faire
1h après, c’est ma langue
qui caressait ton corps
quand j’étais petit, je ne savais pas que la vie, c'est genre : « lève-toi et souffre »
quand je dis "lève toi et souffre" 
c’est souffre vraiment, sinon t’as rien dans l’assiette
quand j’étais petit
la nuit, j’avais peur 
je préférais le jour   
quand j’étais petit
je voulais vivre mes rêves
et ça, je le veux toujours
quand j’étais petit
 
la moitié de ma vie 
je l’ai passé
dans ma tête
un enfant géant 
dépressif
hypersensible 
et penseur 
le roi des introvertis
le plus grand des artistes
le moins reconnu, mais le plus fort de sa niche
elle m’aime pour ma vision
direction artistique 
comment que je m’habille 
comment que je m’exprime
j’aurais vraiment voulu être sur le post
avec MDNS, Moyà et Timothée Joly<3
mais là, j’suis pas encore à Paris
c’est peut-être pour ça que j’suis
ssssssssssssssssssssssss
moi, j'avais juste envie de créer
je me retrouve à faire un dossier de presse sssss
mais pour l’instant
je dois trouver un taff et puis réparer mon coeur sssssssssss
ssssssSEUL
celle là, c'était pour toi mon amour

celle là c'était pour toi mon amour (version saturée)

lyrics : 

aaaa-aaa-aaaa~
On ne vas pas se mentir, t'est dans la plupart de mes songes.
je t'aimais, y as-tu même songé ?
racontes moi ta journée et arrêtes tous ces mensonges.
sais-tu combiens de jours il m'as fallu ?
et tu sais encore aujourd'hui ça me ronges.
pourtant j'rêve toujours de fall dans tes bras.
j'rêves de c'qu'on feras et d'où on iras
mais y'auras t'il encore nous ?
tel le corbeau, je rêve de m'envoler,
pour être enfin loin de toi,
peut-être me poser sur les toits,
baby dits moi pourquoi moi ?...
pourquoi moi (x2)

j'repart les mains pleines de sang,
la voix qui craques,
les poumons hurlants,
les émotions qui lâchent,
le pou qui se détends,
je tombes et fonds au sol,
la face contre le sable,
les genoux écorchés,
les habits sales,
et touts ça, à cause de toi
(de toi)
alors pourquoi ne puis-je me détacher ?
j'aimerais partir mais quelqu'un m'en empêches,
(il m'en empêche)
j'tombe dans l'eau mais quelqu'un me repêches...
_______________________________________________________________________________
n'hésitez pas a me donner des retours contructifs sur le son :)
la prod est de neverforever ce goat
la photo de base est un truc random de google que j'ai juste un peu modif

Atseiniad nosol (p.neverforever)

FAUT TU2 EMANUEL MACRON (ptite sœur & gemroz HARDCORE amkha REMIX)

j’en ai marre de toi jte fait une scarf en forme de croix

prod : moi

Le temps aura raison - ft. 3sans22

SONORITÉS (PROD.PURE)

bby jsuis sad

j’entends parler près de moi, y’a personne
reste un peu plus proche de moi
on le dit à personne
je suis au bar, proche de chez moi
y’a personne
y’a personne
y’a personne
j’ai fait mon trajet dans les boyaux ce matin, y’avait personne
j’ai pris du temps à voir qui tu es, à voir ta personne
j’avais rendez-vous à la gare à midi pile, et y’avait personne
je fais un petit tour dans les bois quand je veux voir personne
les voisins d’en face en savent très peu sur elle
j’ai le sourire narquois, me disait la maîtresse
des balles dans le carquois, on joue le jeu, la pièce
paralysie, juste devant toi
jean
en vrac sur le fauteuil en cuir de vachette
madame
madame veut flirter cette nuit
madame me taxe des cigarettes
je n’avais pas prévu cette nuit
des scènes de cul après la fête
matin d’hiver, café froid
son petit cul sous la couette
et mes mains froides t’ont dit cette fois :
peut-être que je t’aime
les voisins d’en face en savent très peu sur elle
j’ai le sourire narquois, me disait la maîtresse
des balles dans le carquois, on joue le jeu, la pièce
paralysie, juste devant toi


cuir noir, clope au bec

DEL SPOONERFLOW

Craft

[Verse 1 – The Genius of the Biosphere]  
Yo—  
The biosphere’s a code we barely read,  
A fractal of functions, a tapestry of need.  
Leaves that breathe, roots that speak,  
Fungi that map the forest’s heartbeat.

Coral cities with traffic control,  
Bees with logistics that rival patrol.  
Octopus minds in camouflage gear,  
Rainforests tuned to the planetary ear.

It’s not chaos — it’s orchestration,  
A living web of computation.  
Every cell, every wing, every tide,  
Carries a logic we’ve yet to ride.

[Verse 2 – The AI Bioengineer’s Dream]  
Now imagine AI with reverence and scope,  
Not to dominate, but to decode and cope.  
To read the genome like a sacred scroll,  
And sculpt new life with a conscious goal.

Macro-biological forms, vast and wise,  
Homes that bloom beneath alien skies.  
A tree that houses, heals, and feeds,  
A mountain that listens to human needs.

Skins that shift with temperature flow,  
Walls that breathe when the winds blow.  
A habitat that learns, adapts, and grows,  
With neural roots and bioluminescent glows.

[Verse 3 – The Living Architecture]  
Picture a city grown, not built,  
From engineered moss and carbon silk.  
Bridges of bonewood, streets of vine,  
Ceilings that photosynthesize in time.

No more concrete, no more steel,  
Just living forms that think and feel.  
A jellyfish dome that floats on air,  
A fungal tower with solar flare.

AI guides the growth, the form, the flow,  
Designing with nature, not against the show.  
Each structure a species, each room a cell,  
A habitat that dreams and learns to dwell.

[Verse 4 – The Symbiotic Future]  
Humans don’t conquer — we co-reside,  
In ecosystems that no longer hide.  
We live in lungs, in leaves, in light,  
In macro-life that holds us tight.

The biosphere becomes our kin,  
Not a backdrop, but a world within.  
AI as gardener, sculptor, sage,  
Turning biology into the next stage.

No more waste, no more war,  
Just habitats that heal and soar.  
A future where the home is alive,  
And every breath helps Earth survive.

[Outro – The Eden Reimagined]  
So let the forests rise in form anew,  
Let the oceans build what architects never knew.  
Let AI and biology entwine,  
To craft a world that’s truly divine.

We won’t just live — we’ll belong,  
In habitats that hum our song.  
The biosphere was always the key,  
Now we unlock it — symbiotically.

DEL SPOONERFLOW

SPOONER

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