Sommes nous condamnés à être des salopards ?


Le texte 

C’est dur d’être civilisé

L’autre qui me regarde n’a t’il pas son doigt levé
Si je ne baisse pas la garde alors j’irai le secouer 
 
Coincé dans le trafic  chacun veut passer le premier 
Tandis que sonnent les klaxonnes 
Dans les caisses  se  lâche 
....les enfoirés

Les doigts sur les claviers 
On peut cracher on peut jeter 
Les mots Les pires 
Sans coup férir
.....se haïr 

Je ne te montre pas du doigt mais
....que c’est dur...d’être civilisé. X2 
...que c’est dur ...d’être civilisé 

Une discussion animée 
Des idées bien  contrariées 
Il faut bien laisser dire 
C’est pas facile 
.....je crains le pire 

Je ne te montre pas du doigt mais
....que c’est dur...d’être civilisé  X2
...que c’est dur ...d’être civilisé 

C’est pas seulement  côte à côte 
Mais plutôt partagé 
Chance ou malchance 
....évitons la défiance 

C’est lui c’est l’étranger
Il est entré sans demander 
Manger ou voler
Sans travailler 
J’suis effrayée 

Je ne te montre pas du doigt mais
....que c’est dur...d’être civilisé  X2 
...que c’est dur ...d’être civilisé 


Il faudrait quand même essayer 
Il faudra essayer 
Il suffirait d’essayer 
Il suffira d’essayer

c’est dur d’être civilisé

Le texte :  Au banc 

Tu cherches dans tes bagages 
De quoi calmer  ta rage
Tu dis ce n’est  pas sage
Mais au moins ça soulage 

Les mots chassent tes maux
Même quand ils n’sont pas beaux
Pas loin du caniveau 
Ça vaut ce que ça vaut


En guerre ou en batailles 
Pour abattre une faille 
A ta taille
Dangereux sans armes à feu
Ignorant les mots bleus 
Tu t’en veux

Coincé dans tes déboires 
Broyant du  noires
Qui Pourraient encore te croire 
Ou vouloir te revoir 

Pas bien tu pleures un peu 
Tu dis « c’est pas du jeu »
C’est eux tu leur en veux 
Ils sont bien trop nombreux 

Seul tu défais les liens 
Même si ça n’sert à rien 
Le mal s’ajoute en moins 
Tu en perds  tes moyens 

En guerre ou en batailles 
Pour abattre une faille 
A ta taille

Dangereux sans armes à feu
Ignorant les mots bleus 
Tu t’en veux

 Coincé dans tes déboires 
Broyant du  noires
Qui Pourraient encore te croire 
Ou vouloir te revoir

Au banc

Une fois n’est pas coutume …j’ai la musique avant  d’écrire les paroles … au départ je bidouille avec day tripper des Beatles … … et voilà

Le texte :
Il était des fois


Il était cent fois 
Abracadabra 
Cette fille la
voulait tout de moi
Voulait tout de moi

Et elle l’obtenait 
Et nos corps se mélangeaient 

Il était mile fois
Des tempêtes plus tard
Bouffée de cafard
Ras l bol de toi
Ras l bol de moi

Et nous nous étripions 
Et nos corps se tiraillaient

Des histoires de l’amour 
Qui s’effritent 
Des histoires de l’amour 
qui se délitent 
Des histoires d’amour 
qui s’émaillent
Des histoires d’amour
 qui déraillent 

Il était sans toi
Que l’ombre de moi
Il était sans toi
A perdre la voie
A perdre la voix 

Et j’errais l’âme en peine 
Et je rêvais que l’on s’aime 


Des histoires de l’amour 
Qui s’effritent 
Des histoires de l’amour 
qui se délitent 
Des histoires d’amour 
qui s’émaillent
Des histoires d’amour 
qui déraillent 

Et j’errais l’âme en peine 
Et je rêvais que l’on s’aime 

Des histoires de l’amour 
Qui s’effritent 
Des histoires de l’amour
 qui se délitent 
Des histoires d’amour 
qui s’émaillent
Des histoires d’amour 
qui déraillent

Il était des fois

Le texte :

Histoire qui ment 

Doucement une atmosphère se dégage 
Doucement je sens  je ne serai pas sage
Sûrement  il faudrait  s’en aller et vite
Sûrement  le mieux serait la fuite

Clairement il n’y a rien à gagner 
Clairement je me suis auto-piégé 
Patiemment je tisse ma toile
Patiemment  tu attends que je me dévoile

Pris dans le mouvement 
On  oublie ce qu’on piétine 
J’envie vraiment ceux sans errements 
Qui savent  simplement rester dignes 


Fatalement  encore une fois je me rate
Fatalement encore une fois je te rate
Grossièrement j’ai joué la défaite 
Grossièrement  j’ai repoussé tes requêtes 


Finalement je repars sans mots ,sans gestes
Finalement  je te laisse  l’amour et tout le reste 
Sommairement  j’ai conté cette histoire 
Sommairement  on m’a dit comment aller me faire voir….


Pris dans le mouvement 
On oublie ce qu’on piétine 
J’envie vraiment ceux sans errements 
Qui savent  simplement rester dignes 

Rester digne X6

Histoire qui ment

Texte inspiré par des espérances d’après COVID… malheureusement pas du tout visionnaire…


Le feu

Il n’y a pas eu de cadeau 
Jamais le printemps n’a été beau 
Pas de souvenirs à construire 
Aucune images pour se sourire

Les événements ont saturé 
Trop de  réseaux de nos cerveaux 
Eux n’ont pu que ramasser
Les quelques miettes  de leurs idéaux 

Qu’ils chantent qu’ils dansent dans les rues 
Évacuez la colère 
Qu’ils chantent et dansent dans la rue 
C’est la plus belle des choses à faire 

L’horizon était bouché 
chacun devant s’isoler 
A griller ses rêves  devant soi
A pleurer toutes raisons de ses joies 

Les portes fermées  les rideaux tirés 
Interdisant la vie d’ être fêtée 
 Et si  le spectacle c’est être  malheureux 
Que les meilleurs rôles soient pour eux

Qu’ils chantent qu’ils dansent dans les rues
Évacuez la colère 
Qu’ils chantent et dansent dans les rues 
C’est la plus belle des choses à faire 

Qu’il chantent qu’il dansent dans les rues 
Je n’ai pas trouvé mieux que ces vers
Qu’il chantent qu’il dansent dans les rues
Je n’ai pas trouvé mieux que cet air
Qu’ils chantent qu’ils dansent dans les rues
Qu’ils mettent le feu comme on ne l’a jamais vu

Le feu

Chansons aux sonorités Bashunguiesques ! 😎😇😜


Dans la nuit

dans la nuit crois tu 
Que l’on puisse vivre 
De l’ennui ?
Viens …On  y réfléchit 

Ce qui reste des nuits 
Leurs  temps 
 leurs événements 
Ne  te remplissent pas …tu fuis…ohoh…tu fuis

si on vivait la nuit
Nos peaux bronzées 
Pourraient elles s’éterniser 
Cachés sous nos para-nuit 
Englués dans nos vies attendant le paradis 
De nos rêves

Refrain 
Si la nuit s’empare de nos sourires blafards 
connaîtrons nous Au retour du jour  encore l’amour ?

Au crépuscule  quand
  Démarrent  de longues  tribulations 
Tu espères en sortir vivant

Qu’en dira t’on au bout du bout ?
Les corps en accord ou en dégoût 
Dès  l’aube ils repartiront 

si on vivait la nuit
Nos peaux bronzées 
Pourraient elles s’éterniser 
Cachés sous nos para nuit 
Englués dans nos vies attendant le paradis 
De nos rêves

Refrain
Si la nuit s’empare de nos sourires blafards 
connaîtrons nous Au retour du jour  encore l’amour ?

Encore l’amour
Encore l’amour
Encore l’amour
Encore l’amour

Dans la nuit

Hommage à John Lennon 

Le texte :
Désillusion 


Le décors était posé
Le soleil brillait 
écrasait toute volonté 
Personne pour y échapper 
Toi tu visais ailleurs 
Levant haut ton poing rageur 

Au loin l’horizon ardent 
En miroir déformant 
Abasourdi les croyants 
Tout le monde sur le divan
Toi tu rêvais de demain 
Pas d’un monde clé en mains

D’autres clés en main 

Pourquoi les voix d’espoir 
S’éteignent dans la gloire 
Pourquoi ne plus  croire 
Laisser place au désespoir 
 désespoir 

Le mur jamais aussi près 
A prendre de plein fouet
D’un monde à court d’idées 
De Ressouces dilapidées 
Toi tu disais partageons 
Pas un monde de possessions

Une autre révolution 
 
Pourquoi les voix d’espoir 
S’éteignent dans la gloire 
Pourquoi ne plus  croire 
Laisser place au désespoir 
désespoir 

Le mur jamais aussi près
Le mur jamais aussi près 
Le mur jamais aussi près
Le mur jamais aussi près

Désillusions

Paroles

Réveil

Les discussions s’éternisent
Tout est brouillé 
Les voix s’additionnent de personnages obscures pâles 
Les décores changent de couleurs d’atmosphère 
Rien n’a ni queue ni tête 
Comme un lendemain de fête 

Si ces visages connus 
 pas vraiment inconnus
S’approchent et virevoltent autour de toi
Tu n’as encore rien vu
Tiens toi ils vont se mettre à nu

Les images s’accélèrent 
 tout s’envoie en l’air
Au loin derrière 
Tu  entends 

Ton réveil sonne 
Plus rien ne t’étonne
Ton réveil sonne 
Rien ... rien…  pour changer la donne 

L’histoire continue de plus bel
De Plus réelle à irréelle 
Pris dans le mouvement tu tangues
sourd a tout mots tu as perdu ta langue 
La violence te dépasse  enragée 
Tu t’agites alors  espérant te libérer ....et crier 


Un scenario en boucle 
De portes en tiroirs secrets
De sensations impalpables 
Ta mains se tend mais ne saisit rien 
Va tu finir par faire le lien 

Les images s’accélèrent 
 tout s’envoie en l’air
Au loin derrière 
Tu  entends 

Ton réveil sonne 
Plus rien ne t’étonne
Ton réveil sonne 
Rien ... rien  pour changer la donne 

Ici toutes les terreurs  te serrent le cœur 
Et nouent tes entrailles  des moindres failles


Au loin derrière 
Tu  entends 

Ton réveil sonne 
Plus rien ne t’étonne
Ton réveil sonne 
Rien ... rien  pour changer la donne

Réveil

Paroles et musique de moi-même 
Histoire d’un homme ….ou d’un monde …qui passe à côté….qui sombre !

RATÉ

Le texte : 
Avant que le blizzard
 
J’aurai bien aimé rester encore la semaine dernière 
Mais Comme on n’ peut pas revenir en arrière 
Avec le temps on a pas le choix 
C’est toujours lui qui dicte sa loi
 
Je n’connaitrai pas , pas ce goût amère 
De notre monde qui tombe tombe par terre 
Je ne m’inquiéterai pas que tu ne sois pas là 
Je voudrai tout simplement simplement
Te serrer dans mes bras
Te serrer dans mes bras
 
Jamais on ne sait avant 
Avant que le blizzard 
Le Blizzard tournoyant 
N’éloigne nos regards
 
J’aurai bien aimé rester léger encore longtemps 
Ne pas devenir,  devenir si grand 
N’être là que pour les joies
Jouir de la vie défier ses lois
 
Je n’connaitrai pas ce bruit ,  si sourd
Qui rend les nuits d’un noir , d’un noir trop lourd 
Tu me dirais t’inquiète pas je suis  là 
Je voudrai tout simplement ,simplement 
Me blottir contre toi
Me blottir contre toi
 
Jamais on ne sait avant 
Avant que le blizzard 
Le Blizzard tournoyant 
N’éloigne nos regard
 
Jamais on ne sait avant 
Avant que le blizzard 
Le Blizzard tournoyant 
N’éloigne nos regards
N’éloigne nos regards 
N’éloigne nos regards
Nos regards
Nos regards

Avant que le blizzard

Nouvelle production perso ,
Le texte 

L’heure est passée

L’heure est passée  l’heure est passée 
Celle où nous rêvions d’être 
C’est deja l’heure c’est déjà l’heure 
de ce que nous sommes
Ou pire de ce que nous étions 
Doit on en avoir honte 
 Ou En est on déçu 
De  se voir face  au miroir brisé 
Flouté par les années 
La presbytie 

Que C’est dingue que c’est dingue
 quand on regarde derrière soi
 ce qu’on a ce qu’on a 
 rêvé fantasmé d’autres vies 
s’imaginer un autre, 
s’imaginer cent autres ,
se construire ..se déconstruire se reconstruire  encore et encore
enfin se trouver
 
C’est avec un brin de nostalgie 
Que l’on fantasme nos rêveries 
On trouve toujours un peu plus jolie
L’imagerie de nos vies ´

Nous ne serons nous ne serons 
jamais nos héros 
Nul doute de moins en moins beau 
Rendons nous rendons nous 
à l’évidence ,Le temps n’est plus à la dance 
On peut peut-être encore crâner
De peur de se ramasser
Les plats eux ne repasseront pas
Ne nous resterons   
que quelques éclats 


C’est avec un brin de nostalgie 
Que l’on fantasme nos rêveries 
On trouve toujours un peu plus jolie
L’imagerie de nos vies 

C’est avec un brin de nostalgie 
Que l’on fantasme nos rêveries 
On trouve alors  toujours un peu plus jolie
L’imagerie de nos vies 


L’heure est passée 
L’heure est passée 
Celle où je rêvais d’être
C’est déjà l’heure c’est déjà l’heure de ce que je suis 
Ou pire de ce que j’ai fuis
Dois je en avoir honte 
Ou en être déçu 
Si on voulait que je débarrasse 
Pour pouvoir prendre ma place
Je n’irai jamais  à la chasse
Je n’irai jamais à la chasse
Je n’irai jamais à la chasse

L’heure est passée

Avance

Ballade  lucido -nostalgique.  Toujours avec des conditions d’enregistrement rudimentaires.  À vous de juger

Voici le texte :

Les vieilles histoires

On reparle de hier autour d’une deux trois bières, 
on a bien conscience que tout ça c’est loin derrière 
Dans nos regards on s’y voit  tous les yeux dans l’univers 

Par les champs, sur les chemins, lancés sur orbite 
Chacun son rôle, ses rêves, roulant bien trop vite 
Ancrés dans nos présent, n’attendant rien, et tout de la vie qui vient 

L’innocence n’est plus  x3
Que de biens vieilles histoires 

On fonçait sans regarder, sans trembler, comme de vrais terreurs 
La vie n’était que jeux, les dés passe encore, jetés
Les journées passaient, et nous toujours joueur, à rire de se faire, peur

L’innocence n’est plus  x3
Que de bien vieilles histoires 

Quand je regarde les nouveaux, je les vois, et je crois qu’encore plus tôt,  ils déchantent
Nous avons réussi l’exploit, de détruire ce que signifiait, l’espérance 

Le regard amer ,cassé après plus d’une ,deux trois bières 
Le visage marqué, tout comme l’esprit déboussolé 
Nous rêvons tous de savoir comment tout refaire .

les vieilles histoires

Tout se paye

longtemps on a cru que 
Tout irait de soi
Que l’amour était 
Ne se gagnait pas 

Nous voilà bras Balans 
A regarder maintenant 
Ne comprenant  plus rien 
Clamant  haut et fort  « ca c’est pas bien « 

Mais tout se paye
Tout se discute 
Rien ne s’égaille
Tout se paye
Sans une lute 
Tout se paye 
Tout se paie

Le nez dans le carnage 
On ne voit qu’un pourcentage 
Inconscient de l’ampleur
Des egos ravageurs 

On a cassé le lien 
souvent été bien trop loin
Saccageant le brillant 
En quelques sortes « Tout réduit à néant » 

Oui tout se paye
Tout se discute 
Rien ne s’égaille
Tout se paye
Sans une lute 
Tout se paye 
Tout se paie

Tout se paye 
Laissons nos cœur s’embraser 
Tout se paye 
Armons nous a tout retourner 
Tout se paye 
Soyons meilleur qu’on n’ ll’a été

Tout se paye

Auteur /compositeur /interprète : Esteban thé late artist

Demain

Les mauvaises herbes …. Et la jolie fleur

Auteur compositeur interprète : Esteban thé late artist

Paroles :

Coincé dans le tourbillon des jours passés
J’avais décidé de prendre le temps de m’égarer 
Mon regard s’est arrêté sur cette bulle fragile 
Va t’elle tenir ou se laisser mourrir 
Dans un silence léger , elle se courbe lentement 
Laissant au vide , l’air passant , du châtiment 

Inspiration profonde 

Soudain la flamme jaillit, me libère , me sort de l’enfer 
Soudain les ondes abondent, changeant le monde
Et je succombe, plus rien  ne m’incombe, rien ne m’incombe, rien ne m’incombe 

Les doutes qui planaient s’étaient envolés 
Au bruit des ailes déployées je l’avais remarqué 
Les racines ,bien ancrées, dans le ciel se laissaient 
Bercer par le vent gracieux que le soleil éclaire 
La nature offrait à mes yeux fatigués, ce spectacle hypnotique chassant le tragique 

Encore une bouffée 

Soudain la flamme jaillit, me libère , me sort de l’enfer 
Soudain les ondes abondent, changeant le monde
Et je succombe, plus rien  ne m’incombe, rien ne m’incombe, rien ne m’incombe 


La la la la la la la la la …..

Enfin le lâcher prise , laisser s’envoler la crise, s’évapore la matière grise , se permettre de partir
Un temps volé , un temps perdu, fuir la réalité, la réalité, s’abandonner , s’abandonner……

Retour sur terre

Bulle illusoire

Les haches de guerre , croisant le fer 
Au sortir de six pieds sous terre
Le cœur enfermé, mis en prison 
Donnant le ton , brouillant l’horizon

Des terres d’occupation, se soulèvent 
Au profit de mauvais élèves 
Vengeances et mesquineries ,de mise
Alimentent horreurs et mépris 

Refrain 
Terminologie d’un conflit sans  intérêt 
Terminologie d’un conflit sans intérêt 
Terminologie du monde qui se défait 


Stratégie discours, des vautours 
Agressifs sans aucun détour 
Anatomie de la chute
La défaite de longues luttes 

Refrain 
Terminologie d’un conflit sans  intérêt 
Terminologie d’un conflit sans intérêt 
Terminologie du monde qui se défait 

Arc bouté sur ses positions 
L’ignorance coupable de vies 
En destruction, en perdition
Oui en perdition, en destruction

MAUX DE GUERRE

Démo initiale que j’envoie à Brice le 14 août 2024,  ce guitare voix  enregistré au Dictaphone du iPhone  en live  sur l’ampli. C’était le début de l’aventure collective !
Lien pour la version aboutie :

https://on.soundcloud.com/8LkQgqP2CA1QajiX6

sur les traces de ses aïeux (demo initiale)

Sur les Traces ses Aïeux est une chanson française aux influences pop-rock anglo-saxonne assumées. Après une intro digne d’une musique de film fantasmagorique, la chanson emmène, au travers d’un texte poétique, dans les pensées, les hésitations et le choix d’un personnage dans lequel chacun peut se reconnaître à différents moments de sa vie.
Sur les Traces ses Aïeux est le premier morceau coproduit par le trio Esteban the late Artist / Ze Scott / Bribinvoile et le premier morceau d'Esteban diffusé sur les plateformes musicales.
Écriture, composition et interprétation : Esteban the late Artist 
Composition, arrangements et vidéo-clip : Ze Scott
Composition et mixage : Bribinvoile
Janvier 2025

Un grand merci à Arnaud Bréchet du groupe Brüle qui a permis la prise de voix d'Esteban. 

Pour les écoutes et les avis sur le mix, merci à Fadoua A., Grégoire M., 
Guillaume F. du groupe Bess, Jean Pierre P., Jorick D., Julie B., Marie C., Maxime D.J., Nicolas, Romane S., Sylvain F.,

Pour les captations vidéos de Bribinvoile dans le Caux Maritime, merci à Grégoire B.
Pour les prises vidéos d’Esteban,  merci à l’EHPAD « Les Capucines » à Argelès-sur-Mer . 
Lien pour le clip : 

https://youtu.be/UqAUVary0es?si=_8bOnNH5TkPJPnB-

Lien plateformes: 

https://musics.to/70117GvZvL

Sur Les Traces De Ses Aïeux

Auteur compositeur  interprète sur le tard  …. Kiff de jouer à l’artiste ,  univers chanson française plutôt rock …
Ma dernière chanson mise en ligne  : Sur les Traces de Ses Aïeux, est le résultat d’une collaboration à trois @bribinvoile @ zescott  , avec un résultat incroyable pour moi … 
Pour mes autres compos ce sont toutes des sortes de démo bien évoluées mais  les  conditions d’enregistrement des chansons que je propose sont  assez  médiocre   
Mon materiel :  mes guitares , une pédale  trio+, un ampli, un micro, et le Dictaphone de mon iPhone 
Je prends aussi un plaisir certain à créer les illustrations ou pseudo pochette  de mes différentes chansons…pour des disques qui ne sortiront jamais ! 😎😉

Page Facebook : https://www.facebook.com/lateartistesteban


Chaîne YouTube : https://youtube.com/@babannes?si=1QFlQX2-jitBW_EB

Esteban the late artist

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