Ablaye Cissoko

Part I

Hex, fronted by Toshio Matsuura, have just released their self titled debut album out on Blue Note Recordings. Toshio Matsuura formerly of the United Future Organisation, has delivered the finest japanese infused jazz and electronica mix. 

They will be performing in London at The Jazz Café on the 2nd July and later joining the Worldwide family in Séte on the 3rd July 2014.

Tracklist 
Max Roach – The Dream/It’s Time (Columbia)
HEX – Jazzstep (Blue Note)
Naná Vasconcelos – Terráqueos – Vida – Bush-Dance (Pernambuco)
Robertinho Silva – Falange Dos Tambores (Philips)
Moritz Von Oswald Trio – Pattern 3 (Honest Jon’s)
HEX – Hell To The Wind (Blue Note)
Stereolab – Off-On (Duophonic)
Galaxaphone – Monomania (Fluid Ounce)
Karin Krog & Archie Stepp – Steam (Compendium)


Hex Mix on Gilles Peterson Worldwide (GPWW 898)

The new single from the forthcoming album, Mean Love, out Sept 2 on City Slang (EU) and DFA (US).

Pre-order the album:
iTunes: http://smarturl.it/SinkaneiTunes
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Amazon LP: http://smarturl.it/SinkaneAmazonLP

Direct from DFA (US):
http://store.dfarecords.com/collections/frontpage/products/dfa2445

Direct from City Slang (EU):
LP: http://cityslang.frocksteady.com/shop/music/mean-love-1.html
CD: http://cityslang.frocksteady.com/shop/music/mean-love.html


How We Be

Ember performing their cover of Cheap Thrills by Sia

Elliot Lyte - Violin, Tom Huet & Chris Gascoine - Cello

Recorded by Pink Bird Recording Co.

Arranged by Elliot Lyte © 2016

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Cheap Thrills - Sia Cover

Afro Celt Sound System - Persistence Of Memory

LUSOPHOLIE c'est une célébration de la diversité culturelle lusophone. Une voyage trepidante entre Samba, Kuduro, Funana, Marrabenta, Forro, Semba... La découverte d’un territoire symbolique, sur quatre continents, cimenté autour de la langue portugaise : la Lusophonie. Du Portugal à l’Angola, du Cap-Vert à la petite enclave asiatique du Timor Orientale, du Mozambique au Brésil, de l’archipel volcanique de São Tomé et Príncipe à la Guinée Bissau, la soirée navigue de rives en rives, par-delà les océans, pour donner corps à tous ces mélanges, ces métissages, cette « créolité », tissées par l’Histoire, au gré des grandes explorations du XVe siècle, des affres douloureuses de l’esclavage, celles de la colonisation, jusqu’aux migrations actuelles de population, dans un contexte mondialisé.

Si, dans ce grand chaudron lusophone, la gastronomie, le folklore, le patrimoine ou l’architecture dialoguent, affirmant, selon les pays, leurs similitudes et leurs différences, la musique, art de l’oralité par excellence, bagage et poésie des plus déshérités, constitue le témoin le plus évident de ces croisements. La Samba brésilienne tire ainsi ses origines du semba angolais ; les mornas cap-verdiennes se rapprochent du landu brésilien ; le kuduro angolais (musique électro des ghettos) affirme des liens de parenté avec le baile funk carioca, quand le fado dialogue avec la bossa nova... Des sonorités classiques du XX siècle jusqu'aux sons électroniques, la création digital et les effets de la mondialisation, l'océan lusophone nous plonge dans un labyrinthe d'influences autant diverses comment en constant dialogue.



Ablaye Cissoko

Sylvie Brule 2