Merci par ici, merci par là. Vendredi, la cérémonie de départ de Thomas Roux, directeur pendant quatre ans du centre hospitalier, a été marquée par une succession de remerciements.

Aux traditionnels propos attendus en ce type d’occasion, c’est une reconnaissance du travail accompli, sentiment unanimement partagé et déjà évoqué lors de la cérémonie de vœux du 10 janvier, qui se manifestait.

https://m.lanouvellerepublique.fr/vendome%252Fle-directeur-de-l-hopital-sous-des-tonnes-de-mercis

Thomas Roux Limoges Directeur De L'hôpital

THOMAS ROUX « J’AIMERAIS FAIRE CHANGER LE REGARD SUR LA MALADIE MENTALE »
«Esquirol est au coeur des missions essentielles du service public de la santé mentale »[/caption] Depuis le 19 février, Thomas Roux a pris la suite d’Antoine Pacheco. Rencontre avec le directeur du centre hospitalier Esquirol de Limoges. Info Magazine : Quel est votre parcours professionnel ? Thomas Roux : Après avoir suivi une formation à l’Ecole des hautes études de santé publique à Rennes en 2004, j’ai été directeur d’hôpital pendant quinze ans. Mon premier poste était à Montreuil en Seine-Saint-Denis, puis au CHU de Nantes. En novembre 2013, j’ai occupé mon premier poste de chefferie d’établissement au centre hospitalier de Vendôme-Montoire en Loir-et-Cher, qui dispose d’un petit pôle de psychiatrie. C’était passionnant. Et le 19 février, je suis arrivé à Esquirol. Info : Connaissiez-vous Limoges ? Pourquoi avoir candidaté pour Esquirol ? T.R. : Mon épouse a été collaboratrice dans une banque dont le siège social est à Limoges. Elle m’en avait dit du bien. Je souhaitais travailler au sein d’un établissement de santé mentale. Esquirol bénéficie d’une très bonne notoriété, grâce entre autres au travail réalisé par mon prédécesseur, Antoine Pacheco. C’est une belle opportunité et une évolution dans ma carrière. Depuis sept mois, je me sens bien ici. Il règne à Esquirol une très bonne ambiance et j’ai été extrêmement bien accueilli par toutes les équipes. La richesse d’un établissement, c’est son personnel. Esquirol est au coeur des missions essentielles du service public de la santé mentale. Info : Quelles sont les spécificités de la santé mentale ? T.R. : Au-delà du traitement des pathologies mentales, la prise en charge se doit d’être pluridisciplinaire : médicale, sociale, sanitaire… et Esquirol n’est qu’un tout petit maillon. L’un des gros problèmes est la rupture de parcours. Aujourd’hui, l’objectif est d’avoir une continuité, de construire des ponts avec toutes les autres structures et une myriade de partenaires. Nous donnons du soin, mais pas seulement, car nous sommes un établissement de santé. Donc, nous participons à des actions de prévention, de sensibilisation, de promotion. Nous maillons le territoire en apportant une réponse tout au long de la vie. La psychiatrie, c’est « aller vers… ».
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Thomas Roux : "J'aimerais faire changer le regard sur la maladie mentale"

Thomas Roux J Aimerais Faire Changer le regard sur la maladie mentale

L'hôpital psychiatrique Esquirol de Limoges ouvre une antenne à Saint-Yrieix.
L'hôpital psychiatrique, basé à Limoges, vient de s'associer à la commune de Saint-Yrieix pour ouvrir un conseil local de la santé mentale. L'objectif de cette cellule est de détecter et de prendre en charge les personnes qui souffrent.
C'est une première dans une commune rurale de la Haute-Vienne : l'installation d'un conseil local de la santé mentale, chapeauté par le centre hospitalier Esquirol de Limoges. Il a été créé sur le même modèle que celui installé à Limoges il y a quatre ans, à la seule différence qu'à Saint-Yrieix, les habitants sont loin des centres hospitaliers. "Ces habitants n'osent pas consulter ou ne connaissent pas forcément les compétences du centre hospitalier, explique Dominique Bretenoux-Pennequin, coordinatrice de cette nouvelle antenne, ils ont parfois une vision du centre hospitalier qui n'est pas très positive, ils imaginent souvent le pire en parlant d'Esquirol. Ici, nous sommes au plus près de la population".
Pour lire cet article en entier cliquez sur ce lien : https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/l-hopital-psychiatrique-esquirol-de-limoges-ouvre-une-antenne-a-saint-yrieix-1519743557

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Hopital Psychiatrique Esquirol De Limoges Ouvre Une Antenne A Saint Yrieix

“ Je suis fier de ces quatre ans passés à l’hôpital ”
Hier, Thomas Roux, qui quittera Vendôme le 5 février, pour Limoges (lire la NR du 10 novembre), livrait un rapide tour d’horizon des dossiers suivis depuis quatre ans.
Pas de fausse modestie pour Thomas Roux, 38 ans, directeur du centre hospitalier qui, hier, faisait pour nous le bilan de ces quatre années. Rencontre.
Ce 1er janvier, les hôpitaux de Vendôme et Montoire ne feront plus qu’un. Quelle conséquence pour les personnels et pour les usagers ?
« Ce sont les mêmes équipes et les mêmes budgets, la fusion ne change rien pour les usagers et peu pour les personnels. Sur les 150 salariés de Montoire, 140 restent au service d’Ehpad qui compte 150 lits, plus les 14 lits de l’unité d’hébergement renforcé (UHR) qui sera ouverte au cours du premier semestre. Sur les dix autres agents, une partie rejoint les services administratifs à Vendôme et les autres restent à Montoire au service cuisine qui sera désormais préparée en direct par Vendôme. Pas de directeur adjoint à Montoire, mais une antenne administrative de deux agents pour la gestion du personnel et l’accueil des familles et un référent, Laurent Couret, le directeur des ressources humaines basé à Vendôme. Par ailleurs, cette fusion a bien sûr aussi été travaillée depuis un an avec le chef du pôle de gériatrie, le Dr Stéphane Brun, pour harmoniser les pratiques des deux sites avec l’arrivée, ce 2 janvier, du gériatre coordonnateur, le Dr Deshayes. »
Arrivé en novembre 2013, vous quittez la direction de l’hôpital de Vendôme le 5 février pour celle du centre hospitalier spécialisé en psychiatrie à Limoges. A l’heure du bilan, de quoi êtes-vous le plus satisfait ?
« Je suis d’abord triste de quitter l’hôpital et la ville de Vendôme où je me trouvais bien. Mais ces mutations font partie de mon métier… Lors de ma première cérémonie de vœux, je m’étais donné cinq buts qui sont en partie atteints : le renforcement de l’activité médicale, le développement des filières de soins, le développement de la coopération territoriale, la promotion de la qualité de soins, des droits et la sécurité des patients, le renforcement de l’attractivité du centre hospitalier. Par exemple, le nombre de gériatres est passé de trois à six, celui de psychiatres de deux à trois… L’équipe mobile de soins palliatifs a été renforcée par deux infirmières et un aide-soignant. Nous avons veillé à la qualité des conditions de travail notamment par un suivi des risques psychosociaux. Nous avons conduit une démarche continue de promotion en participant à de rencontres dans et hors de l’hôpital… En ouvrant les murs aux Journées du patrimoine, en travaillant avec l’école de La Cormegeaie et l’unité Alzheimer, en s’associant aux Promenades photographiques et, bien sûr, en participant à la réflexion lancée dans le cadre du Groupement hospitalier de territoire. »
Pour lire la suite de cet article : https://www.lanouvellerepublique.fr/loir-et-cher/commune/montoire-sur-le-loir/je-suis-fier-de-ces-quatre-ans-passes-a-l-hopital

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Thomas Roux est fier de ces 4 ans passés à l'hôpital

Hôpital Esquirol, Un nouveau directeur à Limoges
Thomas Roux est bien parti pour succéder à Antoine Pacheco à la tête de l'établissement psychiatrique limougeaud. La commission administrative paritaire nationale (CAPN) des directeurs d'hôpital s'est prononcée, le 7 novembre, en sa faveur. Le ministère de la Santé devrait valider.
Le décret officiel de sa nomination n'est pas encore sorti, mais le nom du successeur d’Antoine Pacheco à la tête du centre hospitalier Esquirol est, semble-t-il, désormais connu.
Parmi cinq candidatures, c’est celle de Thomas Roux, actuel directeur des hôpitaux de Vendôme et Montoire-sur-le-Loir (au nord de Tours), qui a reçu l'avis favorable de la commission administrative paritaire nationale (CAPN) des directeurs d'hôpital, mardi, selon une dépêche de l'agence de presse médicale. 

A 38 ans, ce diplômé de l’Ecole des hautes études en santé publique a été auparavant directeur des finances et des affaires médicales au CH de Montreuil, puis contrôleur budgétaire à l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP, entre 2006 et 2010), et directeur d’un des hôpitaux du CHU de Nantes.

Pour lire la suite de cet article : https://www.lamontagne.fr/limoges-87000/actualites/un-nouveau-directeur-a-limoges_12621681/

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Un nouveau directeur à Limoges

Centre hospitalier ESQUIROL : 3 axes prioritaires pour 2019
Lors des voeux au personnel, Thomas Roux, le directeur du centre hospitalier Esquirol, a dressé le bilan des actions menées en 2018 et les projets pour 2019.

Lancement du projet territorial de santé mentale, poursuite des coopérations, ouverture d’« Handiconsult », 20 ans des premiers appartements de coordination thérapeutiques et 40 ans du CSAPA, mise en place d’une unité de sevrage ambulatoire… sont autant d’actions qui ont ponctué l’année 2018. Pour le pôle Adrien Dany, l’année passée a été celle des nouveautés : un nouveau chef de pôle, trois nouveaux médecins et un nouveau cadre supérieur. Cette année a été également l’aboutissement d’un travail initié en 2015 sur le parcours du patient cérébrolésé. Sans oublier d’importants travaux pour le pôle universitaire de psychiatrie de la personne adulte et de la personne âgée au sein du bâtiment Jean-Marie Léger. Le pôle des usagers a connu une activité particulièrement soutenue, en luttant contre la stigmatisation des maladies mentales. Un certain nombre d’opérations est en cours et sera achevé en 2019 (l’unité d’hospitalisation complète pour les enfants et adolescents, l’unité Matisse…). Avec 18 500 patients (dont près de 3 000 enfants et adolescents) accueillis en 2018, le CH Esquirol a connu ...

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Centre hospitalier ESQUIROL : 3 axes prioritaires pour 2019

Accompagner les blessés de l'encéphale
Michelle Denis-Gay, la directrice régionale APF France handicap Nouvelle-Aquitaine, et Thomas Roux, le directeur du CH Esquirol, favorable à l'accompagnement global et cohérent du parcours des personnes présentant une cérébrolésion acquise et non évolutive, ont signé une convention de coopération pour une durée d'un an.

Celle-ci définit les modalités pratiques et organisationnelles d'accompagnement des établissements signataires et les outils de travail dans le cadre de la mise en place de l'accompagnement.

APF France handicap est une association nationale créée en 1933 et reconnue d'utilité publique depuis 1945. Sa spécificité réside dans le fait que l'association est à la fois un mouvement national de défense et de représentation des personnes atteintes de déficiences motrices ou polyhandicapées et de leur famille et une association gestionnaire de 458 établissements et services dans le champ du handicap.

Elle accompagne 30 000 usagers, fédère 22 330 adhérents, mobilise 25 000 bénévoles et emploie 13 785 salariés. L'association gère en Nouvelle-Aquitaine 42 établissements et services pour adultes ou enfants dans le champ du handicap. Les ESMS représentent 1866 places autorisées (hors entreprise adaptée). L'effectif total au 31 décembre 2018 est 1 650 salariés.

La convention est signée plus particulièrement avec le Pôle des blessés de l'encéphale dans un contexte local d'évolution tant sanitaire que médico-social : ouverture de ...

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Accompagner les blessés de l'encéphale

Coronavirus : l'hôpital psychiatrique Esquirol de Limoges face à la crise sanitaire

Le centre hospitalier Esquirol de limoges a du réorganiser son fonctionnement pour faire face à l'épidémie du Covid-19. Deux unités vont recevoir des patients atteints par la maladie et souffrant de troubles mentaux. Une cellule téléphonique de soutien a également été déployée.

Deux unités d'hospitalisation de 13 et 15 lits ont été mises en place au CH Esquirol, établissement public de santé mentale de Limges, pour accueillir les malades contaminés par le coronavirus et souffrant de troubles mentaux. Un public particulier qui a besoin d'une prise en charge spécifique.

"Il peut s'agir d'une personne déjà hospitalisée dans une autre unité et qui commence à présenter des symptômes et qui est dépistée positive. Le patient sera amené à venir ici, pour pouvoir être isolé et éviter que les autres unités ne soient mises en confinement et qu'elles puissent continuer à fonctionner comme d'habitude. Il peut s'agir aussi d'une personne qui arrive par les urgences", précise le docteur Émilie Legros-Lafarge, referente médicale 

Il a fallu adapter les chambres avec des apports en oxygène, et former le personnel aux mesures de sécurité.
 
Nous avons une trentaine de personnes volontaires pour venir travailler dans ces unités : des internes, des médecins généralistes, des psychiatres, qui ont été formés très rapidement.(Thomas Roux, directeur CH Esquirol)

Au sein d'Esquirol, les hospitalisations non-urgentes ont été reportées et tous les autres lieux de soins ont été confinés afin d'endiguer la propagation de la maladie.
 
Soins ambulatoires maintenus
Les soignants rappellent les patients suivis en ambulatoire pour les informer, les conseiller et organiser leur suivi à distance. Les centres de proximité en santé mentale continuent à recevoir des patients en urgence. Les urgences psychiatriques poursuivent leur activité en prenant au maximum en compte le risque de propagation virale.
 
Une cellule téléphonique de soutien

Une cellule de soutien de 1ère ligne a été mise en place depuis ce mercredi 25 mars. On entend par 1ère ligne les personnels soignants travaillant...

Pour lire la suite de l'article : https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/haute-vienne/limoges/coronavirus-hopital-psychiatrique-esquirol-limoges-face-crise-sanitaire-1807504.html

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Coronavirus : l'hôpital psychiatrique Esquirol de Limoges face à la crise sanitaire

Pass sanitaire : quelles sont les règles pour entrer dans les établissements de soins ?
Depuis le 9 août 2021, le pass sanitaire doit être présenté pour entrer dans les établissements de soins (hôpitaux, maisons de retraite...). La mesure concerne les accompagnants, les visiteurs mais aussi les patients non-urgents.

Depuis le 9 août 2021, le pass sanitaire doit être présenté pour entrer dans les établissements de soins (hôpitaux, maisons de retraite...). Pour une simple prise de rendez-vous, une consultation ou une visite à la Polyclinique de Limoges, il faut désormais montrer patte blanche. Soit par une vaccination complète, soit par un test négatif à la covid-19 (PCR ou antigénique).

"Si les personnes n'ont pas fait préalablement de test, qu'elles ne présentent pas de test antigénique ou de test PC négatif, elles ont la possibilité de faire sur place un test antigénique avec le laboratoire Biolyss pour pouvoir assurer au mieux leur consultation, leur séance ou leur hospitalisation" explique Thomas Roux, le directeur de la Polyclinique de Limoges. 

Cinq lignes de vaccination sont ouvertes à la polyclinique de Limoges, sur rendez-vous. Pour les personnes qui optent pour un test, il est aussi possible d'obtenir sur place ce test antigénique dont le résultat est disponible en 15 minutes. Mais il vaut mieux être patient et muni d'un téléphone bien chargé. Il faut en effet scanner un QRcode qui vous donne accès, dans un premier temps, à un questionnaire à remplir en ligne (renseignements d'identité) Cette procédure a été mise en place par le laboratoire pour alléger la tâche des employés au guichet. Puis, après le prélèvement, un second QRcode vous est envoyé par sms, il vous donne alors accès à votre résultat négatif et c'est celui-ci que vous présentez comme pass sanitaire.

Pour lire la suite de l'article : https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/haute-vienne/limoges/pass-sanitaire-quelles-sont-les-regles-pour-entrer-dans-les-etablissements-de-soins-2209801.html

Pass sanitaire : quelles sont les règles pour entrer dans les établissements de soins ?

Thomas Roux - Directeur d'hôpital -
Cycle des Hautes Etudes de Service Public 2022-2023

Thomas Roux Limoges

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