Brividi

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midtownjunglelodge

funnels

The Ballad of the Borderline Heart answers that smug PM letter with glitter, grit, and no goddamn apologies. 
Sung by a voice like scraped velvet — cracked, raw, and real. 
No anthems for the fearful. No lullabies for the powerful. 
Just barbed truths wrapped in sugar-pop defiance. 
Play it loud — let the borderlines shake.

Ballad of the Borderline Heart

A bold, brainy banger. 
“Say the Word: VERITAS” fuses funk, fire, and fearless flair.
With groove, grit, and a gutsy gospel growl: “VERITAS shall not bow!”.
From crimson corridors to crowded commons, it calls.
Click. Crank. Chorus. Carry it.

Say the Word "VERITAS"

Le Bon Sens

Président de Parti

justeunerose

No One Was Ever First

Je n'oublie pas

Nobel Pees Prize

Sors de là.

Je me pavane, fier comme un paon,
Je donne des leçons du soir au matin.
Vous m’applaudissez, c’est votre destin,
Et je souris, maître du clan.

Quand je commande, vous rentrez au pas :
Fin de la blague, embrasse mes bagues.
Fin de la blague, embrasse mes bagues.

Je parle, je tranche, je fais le beau temps,
Vous notez tout, dociles enfants.
Je distribue des sièges fragiles comme verre,
En échange d’une loyauté de fer.

Vos ambitions tiennent dans ma main :
Fin de la blague, embrasse mes bagues.
Fin de la blague, embrasse mes bagues.

Je tiens vos égos, je tiens vos peurs,
Je garde les titres, je garde les honneurs.
Vous baissez les yeux quand je hausse le ton,
Ma majesté brille comme un flambeau.

À ma cour on rampe, à ma cour on ploie :
Fin de la blague, embrasse mes bagues.
Fin de la blague, embrasse mes bagues.

Vos sièges sont de paille,
Vos titres de carton…
Mais pour moi vous courbez,
Vous suez sans pardon.

Dansez encore, mes fidèles soumis,
Moi je parade et j’encaisse l’applaudi.
Vous disparaîtrez quand tombera le décor,
Moi je demeure et je gagne encore.

Je suis le prince et vous l’ombre qui s’efface :
Fin de la blague, embrasse mes bagues.
Fin de la blague, embrasse mes bagues.

Fin de la blague.

Par amour du beau, du bon et du juste

Par amour du beau
Du bon et du juste
Ils murmurent des doutes
Des ombres qui s’ajustent
Les voix se lèvent
Mais l’écho s’efface
Un murmure de feu
Une flamme qui embrasse
Tu vois l’orage
Tu sens la pluie
Mais au fond
C’est toi qui choisis
Se lever quand tout se tait
Se briser pour ce qu’on est
Marcher seul
À contrevent quand quelque chose te tarabuste
Par amour du beau
Du bon et du juste
Dans les silences lourds
Les regards figés
Les murs se resserrent
Mais l’âme veut bouger
Un pas
Un cri
Une fissure qui s’étend
Ils ne voient que le vent
Toi
Tu vois l’instant
Les chaînes sont douces
Mais elles pèsent encore
Un souffle suffit pour briser le décor
Respire
Écoute
La vérité murmure
Elle danse dans l’ombre
Elle est ta parure
Se lever quand tout se tait
Se briser pour ce qu’on est
Marcher seul
À contrevent quand quelque chose te tarabuste
Par amour du beau
Du bon et du juste

Par amour du Beau, du Bon et du Juste (Prismatic Edit)

Par Amour du Beau, du Bon et du Juste (Glassy Edit)

Par Amour du Beau, du Bon et du Juste (Minimal Edit)

Par Amour du Beau, du Bon et du Juste (Cachassa Edit)

Par Amour du Beau, du Bon et du Juste (Bob Edit)

Par Amour du Beau, du Bon et du Juste (Rambla Edit)

Vedo i volti vuoti, lenti
velano il vento della città
Silenzî stanchi, sguardi spenti
sfiorano il tempo senza volontà
L’indifferenza lenta sale
striscia, soffoca la verità
Spezza i sogni, stende tele
senza luce, senza libertà
Vivo, voglio parlare
voglio vedere la vita vibrare
Vivo, voglio scegliere
voglio sentire la storia cambiare
Odio chi tace
chi lascia tutto scivolare
Vivo, sono partigiana
non voglio solo guardare
Leggi leggere, levigate
lasciata ai ladri la libertà 
Tra sassi e statue, storie spezzate
si perde il senso della città
Tra l’assente e il silenzioso
pochi tessono senza pietà
e la massa si volta altrove
lasciando il tempo travolgerla
Se avessi alzato la voce
se avessi dato un segno
forse il vento avrebbe voltato
il suo destino terreno
Ma piangi adesso, anima muta
piangi da eterno innocente
Io non divido le mie lacrime
non mi consumo inutilmente
Vivo, voglio parlare
voglio vedere la vita vibrare
Vivo, voglio scegliere
voglio sentire la città cambiare
Odio chi resta fermo
chi lascia il tempo passare
Vivo, sono partigiana
non voglio solo guardare
Vivo… voglio vedere la vita vibrare
Sento… la città futura respirare
Chi vive guarda, chi ama partecipa
chi tace lascia tutto svanire
Io vivo. Io lotto. Io sento.
Perciò odio gli indifferenti.

Vivo (Antonio Edit)

Veo los rostros vacíos, lentos
velan el viento de la ciudad
Silencios secos, sueños sueltos
se rozan sin rumbo, sin voluntad
La indiferencia lenta sube
se arrastra, sofoca la verdad
Rompe ríos de esperanzas
sin luz, sin libertad

Vivo, quiero hablar
quiero ver la vida vibrar
Vivo, quiero elegir
quiero sentir la historia latir
Odio al que calla
al que deja todo deslizar
Vivo, soy partisana
no quiero sólo mirar

Leyes leves, limadas
la libertad, a los ladrones lanzada
Entre estatuas y piedras partidas
se pierde el pulso de la ciudad
Entre ausentes y silenciosos
pocos traman sin piedad
y la masa mira a otro lado
dejando al tiempo arrastrarla

Si hubieras alzado la voz
si hubieras dado una señal
quizás el viento habría virado
su destino terrenal
Pero lloras ahora, alma muda
lloras como inocente inmortal
Yo no reparto mis lágrimas
no me consumo en vano

Vivo, quiero hablar
quiero ver la vida vibrar
Vivo, quiero elegir
quiero sentir la ciudad latir
Odio al que queda quieto
al que deja el tiempo pasar
Veo los rostros vacíos, lentos
velan el viento de la ciudad
Silencios secos, sueños sueltos
se rozan sin rumbo, sin voluntad
La indiferencia lenta sube
se arrastra, sofoca la verdad
Rompe ríos de esperanzas
sin luz, sin libertad

Vivo, quiero hablar
quiero ver la vida vibrar
Vivo, quiero elegir
quiero sentir la historia latir
Odio al que calla
al que deja todo deslizar
Vivo, soy partisana
no quiero sólo mirar

Leyes leves, limadas
la libertad, a los ladrones lanzada
Entre estatuas y piedras partidas
se pierde el pulso de la ciudad
Entre ausentes y silenciosos
pocos traman sin piedad
y la masa mira a otro lado
dejando al tiempo arrastrarla

Si hubieras alzado la voz
si hubieras dado una señal
quizás el viento habría virado
su destino terrenal
Pero lloras ahora, alma muda
lloras como inocente inmortal
Yo no reparto mis lágrimas
no me consumo en vano

Vivo, quiero hablar
quiero ver la vida vibrar
Vivo, quiero elegir
quiero sentir la ciudad latir
Odio al que queda quieto
al que deja el tiempo pasar
Vivo, soy partisana
no quiero sólo mirar

Vivo… quiero ver la vida vibrar
Siento… la ciudad futura respirar
Quien vive mira, quien ama participa
quien calla deja todo desvanecer
Yo vivo. Yo lucho. Yo siento.
Por eso odio a los indiferentes.

Yo Vivo (Andreu Edit)

Je n’attends rien… je tends le soir aux songes  
Je laisse les lueurs glisser, lentes, qui prolongent  
Je vous aime sans détour, sans dessein  
Comme un souffle se glisse entre les mains  

Je vous le soufflerai, suave et sans éclat  
Avec la lenteur liquide des pas  
Mot après mot, murmure après murmure  
Je délierai vos silences, vos armures  

Goutte à goutte, je me faufile en vous  
Comme une pluie de velours au seuil des verrous  
Lettre à lettre, je laisse couler  
Ma liqueur lente dans vos pensées  

Je veux verser ma voix dans vos veines  
Comme une onde qui s’épanche et se promène  
Qu’elle caresse vos doutes, qu’elle sème ses lueurs  
Qu’elle se love au plus doux de vos heures  

Je ne réclame rien, je ne retiens pas  
Je me fonds dans la brume, je demeure là  
Heure après heure, lentement je me glisse  
Comme la lumière lèche une vitre lisse  

Goutte à goutte, je me faufile en vous  
Comme une pluie de velours au seuil des verrous  
Lettre à lettre, je laisse couler  
Ma liqueur lente dans vos pensées  

Et si, un soir, sous un ciel sans défense  
Vous sentez frissonner une douce présence  
Alors peut-être, dans un souffle suspendu  
Vous murmurerez : “Moi aussi…” éperdu  

Goutte à goutte, je me faufile en vous  
Comme une pluie de velours au seuil des verrous  
Lettre à lettre, je laisse couler  
Ma liqueur lente dans vos pensées  

Goutte à goutte…  
Velours et pluie douce…  
Je vous aime… en silence.

Goutte à goutte

Drops

I expect nothing… I lean the night toward dreams.
I let the lights slip slow, soft streams.
I love you plain, with no disguise,
Like a breath that drifts between two hands and sighs.

I’ll whisper it to you—smooth, without a spark,
With the liquid hush of steps through dark.
Word by word, murmur by murmur,
I’ll unlace your silence, undo your armor.

Drop by drop, I slide inside you,
Like velvet rain at your threshold, true.
Letter by letter, I let it flow,
My slow sweet liquor through your thoughts below.

I want to pour my voice in your veins,
Like a tide that wanders and softly remains.
Let it brush your doubts, sow its gleam,
Curl in the calm of your tenderest dream.

I ask for nothing, I don’t hold tight,
I melt in the mist, I stay in the night.
Hour by hour, I slowly blend,
Like light that licks a window’s end.

Drop by drop, I slide inside you,
Like velvet rain at your threshold, true.
Letter by letter, I let it flow,
My slow sweet liquor through your thoughts below.

And if one night, beneath an open sky,
You feel a tender shiver passing by,
Then maybe, in a breath subdued,
You’ll murmur back—“Me too…” imbued.

Drop by drop, I slide inside you,
Like velvet rain at your threshold, true.
Letter by letter, I let it flow,
My slow sweet liquor through your thoughts below.

Drop by drop…
Velvet, soft rain’s hush…
I love you… in silence.

Mass Av Drops

indiscoteca del tempo french

We never spoke in simple lines,
Our truths were tuned, our hearts in rhyme.
You’d drop a verse, I’d hum reply,
Two melodies beneath one sky.

In every chord, a clue was cast,
In every key, a glance that passed 
We borrowed words from vinyl ghosts,
And said the things we feared the most.

We were speaking in songs, not saying a thing,
Letting Lennon and Cohen confess what we mean.
Every chorus concealed what our courage postponed,
We were lovers who whispered through microphones.

You’d cue the crackle, soft and sly,
A sigh disguised in “I’ll Be Fine.”
I’d send a tune at 2 A.M.,
A trembling truth in requiem.

And in those tracks, our souls entwined,
Between the bass and borrowed lines 
Our love was played, not plainly told,
A secret spun in stereo gold.

We were speaking in songs, not saying a thing,
Letting Billie and Bowie translate our feelings.
Every bridge that we crossed was a record we’d known,
We were ghosts in a groove, decoding our tones.

Some nights I still scroll through the sound,
Your voice’s echo wrapped in vinyl round.
A needle finds what lips once meant,
Our silences still instrument.

We were speaking in songs, not saying a thing,
Letting lyrics and longing entwine in between.
Now the station is static, but the feeling’s not gone 
We still speak in songs…
when the silence comes on.

Ghosts in a groove

Que du vent

Covfefe, baby, what the hell did you write that night?
Moon was high, your brain took flight,
Your thumbs went wild, your caps lock too,
Now every sharpies laughin’ right at you.

Covfefe go-go, dude just hit the road,
Covfefe solo, take your ego load,
Covfefe oh no, your wave’s gone flat,
So grab your board, bro, and don’t come back!

Down in Mar-a-Lago, you’re tanning that face,
Orange glow’s brighter than the Vegas Space,
The people shout, “Yo, Don, you’re done!”
Your comb-over’s surfing, your poll’s at none.

Oooh, make your end great again,
Oooh, and please don’t talk again,
The tide’s gone thhe crowd’s gone mute,
You’re just an F-wordin’ fat-ass in a business suit.

Covfefe go-go, time to fade away,
Covfefe slow-mo, sunshine’s here to stay,
Covfefe bro no, that ride was rough,
You wiped out big time, enough’s enough!

Melania’s yawnin’, the jet’s on the pad,
Even your golf cart’s lookin’ kinda sad,
California’s cool, no room for your hate,
We’re cruisin’ on peace, you missed that wave.

Covfefe go-go, drift into the blue,
Covfefe solo, world’s done with you,
Covfefe yo-ho, don’t make us beg,
Just ride off, Don, on your fake gold segway!

Bye-bye, Donnie… keep your tan and your cov-fe-fe-fe-fe-fe plan!

yo’ don’

It all started by « Ça plane pour moi » with a Bontempi.
Notes are nothing, emotions are everything.

Ticobsi

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