[Couplet 1]
J’avais besoin de tant, mais rien sous mes mains,
Je flottais loin du monde, loin des lendemains,
Un autre pont brûlé, un monde inquiet,
Reviens dans la vie, regarde ce que l'on fait.

[Refrain]
Dans mes rêves,
Tout est plus calme qu’ici,
Dans mes rêves,
Ce que je ressens s’enfuit.

[Couplet 2]
La nuit est devenue nouvelle, dans son sein il est née
Un hymne de perle tourmenté,
Ne mens pas, ni au monde, ni a toi
Quand t'es ombres se sont oubliés,
J'ai abandonnée ta religion bafoué.
Je savais que je n'y reviendrais pas,
Fatigué, perdu, tu as sonner le glas
Je me terre dans les ombre ou personne ne viens se promener,
Pour que mon chemin ne puisse être tracé

[Refrain]
Dans mes rêves, tout est plus calme qu’ici,
Dans mes rêves, ce que je ressens s’enfuit.
Dans mes reves, la souffrance est joie,
Dans mes reves, je me bats contre mon désarroi

[Pont]
Apprends mon ame et mes poèmes,
Répète-les jusqu'a ce que tu les aimes,
Comme flèche et saule, nous plions au vent,
Que mères et filles sortent des torrents,
Comme l’aiguille et l’insecte qui rampe, on répare,
Les morceaux brisés que la nuit sépare.

[Outro]
Dans mes rêves,
Tout est plus calme qu’ici…

(Comme flèche et saule, nous plions au vent)
(Comme l’aiguille et l’insecte qui rampe, on répare)
(Comme flèche et saule, nous plions au vent)
(Comme l’aiguille et l’insecte qui rampe, on répare)

Reves

(Verse 1)
Les perles me parlent tout bas,
Leur douceurs me rappelle tes bras
Les murmures des ames damnés,
Me souffle l'odeur de notre dernier baiser,
La terre s'est t-elle arreté de tourner,
Quand tu m'as planté ton épée.

(chorus)
La lune de sang est haute dans le ciel,
Pendant que tu déverse tout ton fiel,
Mon cœur se froisse et se durcit,
A cause de ton ombre qui me poursuit.

(pre-chorus)
(j'ai mal...)
(j'ai mal...)
(j'ai mal...)

(Verse 2)
Je faisait parti de ton monde,
Bien avant que je décide de mon futur,
As-tu un jour compris mes paroles profondes,
Ou continueras tu a creusé ma brulure

La parade des morts te fascine,
Tu as cet air innocent qui cache t'as dépravation,
Eventuellement tu finiras par te bouffé toi meme,
Tu ne m'auras jamais écouté quand je te disais "attention"

(chorus)
La lune de sang est haute dans le ciel,
Pendant que tu déverse tout ton fiel,
Mon cœur se froisse et se durcit,
A cause de ton ombre qui me poursuit.

(Bridge)
Tu es comme un cauchemar qui ne s'arrete pas,
Le bruit de t'es pas résonnes a chaque trépas,
(j'ai mal...)
Tu tiens ce pistolet prés de mon corps,
Il suffit d'un "bang" pour que tu me dévore,
(j'ai mal...)
Le poids sur mes épaules me parait si divin,
Tu compte le nombre de mes pas avant mon déclin (j'ai mal...)
(j'ai mal...)
(j'ai mal...)
(j'ai mal...)

(B-side)
J'ai mal
J'ai mal
J'ai mal
J'ai mal
J'ai mal
Mal
J'ai mal
Aah

J'ai mal

(Verse 1)
La voix venue d’en haut trouble mon oreille,
Cristalline, asservissante, douce et cruelle merveille.
Ma voix s’efface, faible, imperceptible,
Personne ne l'écoute car personne n’est sensible.

Des complaintes à moitié comprises,
Une âme perdue, toujours soumise.
Est-ce trop demander d’être respecté ?
Ne me laissez pas être incompris.

(Pre-Chorus)
Tu crois cultiver un jardin,
Mais tu n’y trouves que des parasites.
Garde un œil ouvert sur les tiens,
Leurs lames sont proches et rapides.

(Chorus)
La pomme ne tombe jamais loin du mal,
Je suis asservi par ce rouge infernal.
La pomme pourrit à l’approche du démon,
Elles se flétrissent toutes dans mon jardin profond.
La pomme ne tombe jamais loin du mal,
Je suis asservi par ce rouge infernal.

(Verse 2)
Peut-être que je suis une mauvaise personne,
Sinon pourquoi ce monde m’emprisonne ?
Perdu dans la brume d’un cœur brisé,
Sans personne pour jamais le remarquer.

Les appels à l’aide sont inutiles,
Ils promettent tous, mais restent immobiles.
Et les pommes meurent une à une,
Mon cœur fragile s’enlise dans la brume.

(Chorus)
La pomme ne tombe jamais loin du mal,
Je suis asservi par ce rouge infernal.
La pomme pourrit à l’approche du démon,
Elles se flétrissent toutes dans mon jardin profond.
La pomme ne tombe jamais loin du mal,
Je suis asservi par ce rouge infernal.

(Post-Chorus)
Mon cœur est fragile,
Le paradis est fragile.
Mon cœur est fragile,
Mon paradis est fragile.

(Bridge)
Envie, mépris,
Je chasse le remède.
Habitué à la solitude,
Mais personne ne mérite d’être seul.
Frappe-moi, frappe-moi,
Je chasse les pommes.
Mon cœur implose,
Mais les larmes résonnent.

(Outro)
(La pomme ne tombe jamais loin du mal)
(La pomme pourrit toujours à l’approche du démon)
(Et mon cœur devient de plus en plus fragile)
(Mais je sens encore les larmes)
(La pomme ne tombe jamais loin du mal)
(La pomme pourrit toujours à l’approche du démon)
(Et mon cœur devient de plus en plus fragile)
(Mais je sens encore les larmes)

Pomme et jardin

(Verse 1)
La voix venue d’en haut trouble mon oreille,
Cristalline, asservissante, douce et cruelle merveille.
Ma voix s’efface, faible, imperceptible,
Personne ne l'écoute car personne n’est sensible.

Des complaintes à moitié comprises,
Une âme perdue, toujours soumise.
Est-ce trop demander d’être respecté ?
Ne me laissez pas être incompris.

(Pre-Chorus)
Tu crois cultiver un jardin,
Mais tu n’y trouves que des parasites.
Garde un œil ouvert sur les tiens,
Leurs lames sont proches et rapides.

(Chorus)
La pomme ne tombe jamais loin du mal,
Je suis asservi par ce rouge infernal.
La pomme pourrit à l’approche du démon,
Elles se flétrissent toutes dans mon jardin profond.
La pomme ne tombe jamais loin du mal,
Je suis asservi par ce rouge infernal.

(Verse 2)
Peut-être que je suis une mauvaise personne,
Sinon pourquoi ce monde m’emprisonne ?
Perdu dans la brume d’un cœur brisé,
Sans personne pour jamais le remarquer.

Les appels à l’aide sont inutiles,
Ils promettent tous, mais restent immobiles.
Et les pommes meurent une à une,
Mon cœur fragile s’enlise dans la brume.

(Chorus)
La pomme ne tombe jamais loin du mal,
Je suis asservi par ce rouge infernal.
La pomme pourrit à l’approche du démon,
Elles se flétrissent toutes dans mon jardin profond.
La pomme ne tombe jamais loin du mal,
Je suis asservi par ce rouge infernal.

(Post-Chorus)
Mon cœur est fragile,
Le paradis est fragile.
Mon cœur est fragile,
Mon paradis est fragile.

(Bridge)
Envie, mépris,
Je chasse le remède.
Habitué à la solitude,
Mais personne ne mérite d’être seul.
Frappe-moi, frappe-moi,
Je chasse les pommes.
Mon cœur implose,
Mais les larmes résonnent.
Envie, mépris,
Je chasse le remède.
Habitué à la solitude,
Mais personne ne mérite d’être seul.
Frappe-moi, frappe-moi,
Je chasse les pommes.
Mon cœur implose,
Mais les larmes résonnent.

Pomme, Jardin et Coeur

(Intro)
Le ciel est grand ouvert,
J’ai chassé toute ma vie,
Je suis une femme, je suis un homme,
Il tient mon corps entre ses mains,
Il ne voulait pas me faire de mal.

(Verse 1)
Mon cœur s’est révélé être plus qu’un muscle,
Il était aussi ce que tu cherchais tant,
Tu ne peux tuer ce que nous avons été,
Peux-tu porter le poids de l’éternité ?

(Pre-chorus)
5, 4, 3, 2, 1

(Chorus)
Je faisais partie de ton monde,
Bien avant d’appartenir à la terre,
Je faisais partie de ton monde,
Bien avant d’appartenir à la terre.

(Post-chorus)
Bang, bang,
Et je meurs,
Bang, bang,
Et je meurs.

(Verse 2)
Te rappelles-tu de l’odeur du bois,
Le jour où tu m’as mis en joue ?
Le sourire sur mon visage suivait ton dessein,
Je sais que tu m’as tué par miséricorde, enfin.

Pour me protéger de ce que devient le monde,
Préserve ma mémoire, mon amour qui gronde,
Mon cœur se glace, mes pensées ont peur,
Mon esprit parle, mon âme se tord de douleur.

Oublieras-tu mon existence ?
Oublieras-tu mon existence ?
Oublieras-tu mon existence ?
Oublieras-tu mon existence ?
Oublieras-tu mon existence ?
Oublieras-tu mon existence ?

(Bridge)
N’abandonne pas ta quête,
Ne pense pas à moi,
Le pistolet a déjà détoné,
Mon âme s’est envolée (Oublieras-tu mon existence ?)
Ton sourire m’a transpercé (Oublieras-tu mon existence ?)
Ta miséricorde m’a sauvé (Oublieras-tu mon existence ?)
Tu es si pieux et si bon (Oublieras-tu mon existence ?)

(Outro)
Oublieras-tu mon existence ?
Oublieras-tu mon existence ?
Oublieras-tu mon existence ?
Oublieras-tu mon existence ?

Bang

(Chorus)
Fais moi saigné,
Fais moi pleuré,
Fais moi tombé,
Fais moi crié,

(Verse 1)
J'ai toujours un peu rêvé que tu sois mon meurtrier,
Je l'ai toujours un peu accepté,
Je voyais venir notre fin a 100 a l'heure,
Mais je voulais pas mettre fin a notre bonheur,
Tu t'es occupé de moi si longtemps,
Tu m'as appris a prendre le temps,
T'es mains ont bercé mes nuit noir,
Tu as fermé mes paupière le temps d'un soir,
Mais je ne me suis pas réveillé,
Et je ne donnerais rien pour recommencé.

(Chorus)
Fais moi saigné,
Fais moi pleuré,
Fais moi tombé,
Fais moi crié,
Fais moi saigné,
Fais moi pleuré,
Fais moi tombé,
Fais moi crié,

(Verse 2)
Je me rappelle de ton corps devant le mien,
Du sang sur t'es mains et ton souffle aérien,
De l'arme utilisé pour me faire oublié,
Des coups porté pour me tué.

L'odeur des cendres et du souffre,
Le ciel rouge brulant et noir fumée,
Les vetements arraché,
Mon corps anesthésié

(Chorus)
Fais moi saigné,
Fais moi pleuré,
Fais moi tombé,
Fais moi crié,
Fais moi saigné,
Fais moi pleuré,
Fais moi tombé,
Fais moi crié,

(Bridge)
J'ai étais une fille chanceuse,
Tu as était un homme chaleureux,
La misère s'étends encore,
Et on recommence

J'ai étais une fille chanceuse, (Fais moi saigné)
Tu as était un homme chaleureux, (Fais moi pleuré)
La misère s'étends encore, (Fais moi tombé)
Et on recommence (Fais moi crié)

(chorus)
Fais moi saigné,
Fais moi pleuré,
Fais moi tombé,
Fais moi crié

(outro)
Je ne serais pas couverte de honte,
Pour t'avoir aimé si honnêtement,
Tu m'as ensorcelé et j'ai marché,
Je te retournerais la douleur,
Je t'enfoncerais ton pénis dans le bouche,
Je te ferais t'étouffer sur t'es doutes,
Te regardé pourrir lentement,
Porte ma peau, polis et lisse moi.

Mort

(Intro)
Et chaque fois que j’y pense,
Je pense à la malédiction qui frappa Ève, l’Ève fatidique.
Elle mordit le fruit d’un arbre maudit.
Et cette nuit d’été, toi devant moi,
Me fait contempler les origines du bien et du mal.

(Verse 1)
J’ai tordu tous mes membres pour toi,
Noués en chaînes, bouclés sous tes lois.
Mes organes serrés comme une corde,
Je me demande si je pourrai m’en défaire un jour encore.
Je ne veux pas saigner pour toi,
Je retiens mes mots jusqu’à devenir froide.

(Pre-Chorus)
Les os qui s’écrasent, les os qui s’écrasent (qui m’écrasent),
Les corps qui s’enlacent, les corps qui s’enlacent (qui s’enlacent),
Le sang qui s’emballe, le sang qui s’emballe (qui s’emballe),
Ne rien ressentir, ne rien ressentir (qui m’avale).

(Chorus)
Combien de sang peux-tu prélever,
De tes griffes sur une chair qui n’est pas tienne ?
Mes mains ne sont pas tiennes, et
Tu ronge mes os, il n’y reste plus de moelle humaine.

(Verse 2)
Je mange à la table que tu as dressée,
Élevée par l’enfer, enlevée par le diable glacé.
Comment penser, comment rêver,
Quand mes prières finissent calcinées ?
J’aimerais en savoir plus sur les saints du paradis,
Mais je suis fatiguée de lutter contre ton esprit.
Tu as le goût d’un baiser mêlé de sel marin,
Et je n’ai plus d’organes à t’offrir demain.

(Pre-Chorus)
Les os qui s’écrasent, les os qui s’écrasent (qui m’écrasent),
Les corps qui s’enlacent, les corps qui s’enlacent (qui s’enlacent),
Le sang qui s’emballe, le sang qui s’emballe (qui s’emballe),
Ne rien ressentir, ne rien ressentir (qui m’avale).

(Chorus)
Combien de sang peux-tu prélever,
De tes griffes sur une chair qui n’est pas tienne ?
Mes mains ne sont pas tiennes, et
Tu ronge mes os, il n’y reste plus de moelle humaine.

(Bridge)
Suis ce tunnel jusqu’à la lumière,
Laisse toutes tes courbatures se taire.
Bois l’eau de cette fontaine, l’eau sacrée de la mort,
Je crois que le temps est enfin d’accord.
Pluton, détruis-moi,
Tue-moi doucement, sans émoi.
Je me baignerai dans mes cendres,
Pour renaître comme un phénix, à m’étendre.

Pluton, transforme-moi,
Arrache-moi ma solitude, sans foi.
Révèle-moi les démons que je cache,
Ceux qui m’écorchent, ceux qui m’arrachent.

(Outro)
Montre-moi les démons que je cache.
Montre-moi les démons que je cache.
Montre-moi les démons que je cache.
Montre-moi les démons que je cache.
Montre-moi les démons que je cache.
Montre-moi les démons que je cache.

Démons

(Verse 1)
Tu sais que je ne suis pas du genre à recevoir des ordres de toi,
Je vais te laisser un autre indice pour que tu comprennes ma loi,
Tu te demandes toujours pourquoi je dis simplement "Oublie"
Parce que parler à un mur me donne fait bouillir, bouillir

(pre-chorus)
Tu mens, pendant que je m'étire
J'écarte les jambes et fais des acrobaties
Crie-moi dessus sur ton écran
Pendant que je tiens tête à ton être
Tu n'es pas réel, tout comme moi
Nous n'étions jamais nos corps
Nous ne sommes que poussière, énergie
Chauds comme la glace qui fond.

(chorus)
J'essaie d'être le mystique dans le matériel
J'ai onze chemins de vies, je suis désincarnée
Je suis la définition de la dichotomie, la dualité
Eve est dans la tombe depuis neuf mois, jusqu'à ce qu'elle me donne naissance
Regarde-la, c'est un pont, et sur son pont, je suis en effervescence
Je suis une entité, tu es entrain de prié, allons profond, montre ta dévotion
Je ferai route vers l'évolution seule.

(post-chorus)
Oh, oh
Oh, oh

(Verse 2)
Je ne serai jamais ce que tu as envisagé
Tu disais que les "petites blanches" se sentent plus latines que toi, maintenant tu comprends
Tu dis toujours que tu es réveillée, c'est ton esthétique
Mais ton empathie est-elle vraiment authentique ?

(pre-chorus)
Je suis timide, mais quand je parle, c'est avec mon coeur,
Pour dire des trucs qui je l'espère,
Parviendront aux oreilles des vainqueurs
Je fais de mon mieux pour me montrer à eux, sous leurs yeux pervers
Une ame transcendée et si belle
Venait vous perdre au milieu de ma chapelle

(chorus)
J'essaie d'être le mystique dans le matériel
J'ai onze chemins de vies, je suis désincarnée
Je suis la définition de la dichotomie, la dualité
Eve est dans la tombe depuis neuf mois, jusqu'à ce qu'elle me donne naissance
Regarde-la, c'est un pont, et sur son pont, je suis en effervescence
Je suis une entité, tu es entrain de prié, allons profond, montre ta dévotion
Je ferai route vers l'évolution seule.

(post-chorus)
Oh, oh
Oh, oh

Evolution

(Verse 1)
Tu te gave la gorge comme une oie,
Tu fais déborder ta salive quand personne ne te voit,
Asservi par la pression de ton monde,
A l'abri de tous tu mange t'es idées nauséabondes,

(pre-chorus)
Maintenant que t'es assis et entouré,
Tu t'enfiles des fruits et leur bactéries,
Ta gorge se gonfle, tu es entrain de te strangulé,
Personne ne remarque car tu ne fait que sourire,

(chorus)
Tu mange les pommes que Eve t'as donnée,
Et les recrache en jus comme tu t'es ordonnée,
Tu penses te rapproché de l'absolution,
Mais tu ne deviens qu'un trou sans fond,

(Verse 2)
Tu dis que ton corps est un tableau de Goya,
Tu voudrais celui qui marche mieux que toi,
Ton corps est imparfaitement parfait,
C'est comme ca qu'on reconnait ta splendeur.

(pre-chorus)
Tu transforme les pommes en jus,
Dans ton carnet tu as préparé t'es aller,
Au cabinet que tu vois tout les midis,
Pour faire disparaitre les bactéries.

(chorus)
Tu mange les pommes que Eve t'as donnée,
Et les recrache en jus comme tu t'es ordonnée,
Tu penses te rapproché de l'absolution,
Mais tu ne deviens qu'un trou sans fond,

(bridge)
Des étoiles bleux tournent et tournent,
La tete lourde et engourdi tu roule, tu roule,
Le jus s'étends a t'es pieds et tu t'écroule, t'écroule,
C'est de la pression que t'as fin découle, découle.

(chorus)
Tu mange les pommes que Eve t'as donnée, (boulimie)
Et les recrache en jus comme tu t'es ordonnée, (boulimie)
Tu penses te rapproché de l'absolution, (boulimie)
Mais tu ne deviens qu'un trou sans fond (boulimie)

(outro)
Le jus s'étends a t'es pieds et tu t'écroule
(Tu mange les pommes que Eve t'as donnée)
Le jus s'étends a t'es pieds et tu t'écroule, t'écroule
(Pour faire disparaitre les bactéries)

(Verse 1)
J’ai un peu honte de mon corps nu,
J’essaye de relativiser et d’arrêter de comparer,
Les mecs me demandent pourquoi j’ai pas un corps de rêve,
Pourquoi ma taille n’est pas celle d’une guêpe,

Ma mère prie pour que je sois encore pure,
Je ne savais pas que je devais passer une procédure,
Quand je regarde, je vois bien que personne ne veut de moi.

(Pre-chorus)
Mais quand ma peau fait son apparition,
Les garçons agissent sans permission,

(Chorus)
Ce n’est pas ma faute si les garçons veulent me goûter,
Leur regard me dévore, j’ai l’impression d’être leur buffet,
C’est de ma faute, oui c’est de ma faute,
Personne ne leur a appris à ne pas prendre sans demander.

(Verse 2)
Parfois je me mets à pleurer quand ma peau n’est pas lisse,
Car je pense à ce que les garçons vont penser,
Cette fille n’est pas gracieuse, elle ressemble à Ulysse,
Même si je sais que ma taille les fait bander,

(Pre-chorus)
Les yeux de mon béguin semblent collés aux seins d’une autre,
Je rembourre donc les miens pour qu’il me saute,

(Chorus)
Ce n’est pas ma faute si les garçons veulent me goûter,
Leur regard me dévore, j’ai l’impression d’être leur buffet,
C’est de ma faute, oui c’est de ma faute,
Personne ne leur a appris à ne pas prendre sans demander.

(Bridge)
À la place de me faire culpabiliser pour le corps que j’ai hérité,
Apprenez-leur à ne pas penser à des obscénités,
Je suis un bout de viande mis en vitrine,
Pour leurs pensées dures et sordides.

(Chorus)
Ce n’est pas ma faute si les garçons veulent me goûter,
Leur regard me dévore, j’ai l’impression d’être leur buffet,
C’est de ma faute, oui c’est de ma faute,
Personne ne leur a appris à ne pas prendre sans demander.

Ce n’est pas ma faute (pas ma faute) s’ils veulent,
Leur regard me dévore (dévore), je suis un plat,
Ce n’est pas de ma faute (c’est la leur),
Personne ne leur apprend à respecter la féminité.

Buffet

(Intro)
Hmm-hmm
Ouuh-aahh
(ah~)

(Verse 1)
Si tu ne nais pas avec l’aura d’une star,
Fais tout pour acheter l’amour des regards,
Une beauté fragile passe par l’abattoir,
Attention à ne pas regretter ton miroir,

Sexuelle, si tu veux te sentir plus sensuelle,
T’as juste à payer pour une chair artificielle,
Ils te planteront des piques comme un rôti de fête,
Tu ressortiras marquée d’une obsession secrète,

(Pre-chorus)
Enfants pour toujours et à jamais,
Ma peau d’antan se transforme en cendres,
Ne pleure pas, ce n’est que du plastique,
Rappelle-toi que personne n’aime les visages à défendre,

(Chorus)
Oh, est-ce vrai que la douleur est beauté ?
Que mon nouveau visage touchera la royauté ?
Me sentirai-je mieux quand j’ouvrirai les yeux,
Verrai-je enfin l’éclat d’un monde merveilleux ?
Oh, est-ce vrai que je me rapproche d’une déesse,
Que je peux enfin quitter mes chaînes de détresse ?
Promets-moi que tu ne me lâcheras pas,
Le jour où ma peau tombera sous tes doigts.

(Post-chorus)
ah~ (ma peau tombera)
ah~

(Verse 2)
Crois-moi, la confiance se nourrit des regards,
Chaque œil posé sur moi devient mon étendard,
Mon seul souhait, c’est de briller dans vos fêtes,
Que mon rêve de princesse s’habille en conquête,

C’est un tel gâchis,
De grandir à l’ombre des mères maquillées,
Les petites filles apprennent à tout recopier,
À gonfler leurs lèvres jusqu’à les voir céder,

(Pre-chorus)
Enfants pour toujours et à jamais,
Ma peau d’antan se transforme en cendres,
Ne pleure pas, ce n’est que du plastique,
Rappelle-toi que personne n’aime les visages à défendre,

(Chorus)
Oh, est-ce vrai que la douleur est beauté ?
Que mon nouveau visage touchera la royauté ?
Me sentirai-je mieux quand j’ouvrirai les yeux,
Verrai-je enfin l’éclat d’un monde merveilleux ?
Oh, est-ce vrai que je me rapproche d’une déesse,
Que je peux enfin quitter mes chaînes de détresse ?
Promets-moi que tu ne me lâcheras pas,
Le jour où ma peau tombera sous tes doigts.

(Post-chorus)
ah~ (ma peau tombera)
ah~

(Bridge)
Je suis comme toi, tu es comme moi,
Imparfaite et humaine,
Je suis en vitrine, un corps qu’on dévoile,
Achète et vends (achète-moi)
Je suis un produit de la société,
Des yeux étrangers brûlent mes failles,
L’art ne se vend pas (sauf s’il porte ton voile)

(Chorus)
Oh, est-ce vrai que la douleur est beauté ?
Que mon nouveau visage touchera la royauté ?
Me sentirai-je mieux quand j’ouvrirai les yeux,
Verrai-je enfin l’éclat d’un monde merveilleux ?
Oh, est-ce vrai que je me rapproche d’une déesse,
Que je peux enfin quitter mes chaînes de détresse ?
Promets-moi que tu ne me lâcheras pas,
Le jour où ma peau tombera sous tes doigts.

(Post-chorus)
ma peau tombera
ma peau tombera
ma peau tombera
ma peau tombera
ah~ (ma peau tombera)
ah~ (ma peau tombera)
ah~ (ma peau tombera)
ah~ (ma peau tombera)

Reves

Tsuza

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