(Couplet 1)
J’me suis fait des potes, des faux, des beaux — (hmm)
Ils répondent juste pour combler l’silence.
C’est trop ironique, l’cœur brisé sous néon,
Triste mais divine — ouais, j’ai d’la prestance.
(gasp) J’bug, j’me perds, j’me freeze, (uh)
Mon cœur boucle sur ton mépris.

(Pré-refrain)
Tu m’as tenu comme un rêve fiévreux,
Ton baiser vrai, trop dangereux.
Ton odeur reste sur ma peau,
J’te déteste, mais j’te veux trop.

(Refrain)
Me promets pas l’amour, promets-moi du drame,
T’es chaos en Prada, j’pleure du Dior, calme.
J’serai ta muse si tu joues la lune, (woo)
Les ruptures me vont trop bien, j’présume.
J’serai ta muse si tu joues la lune.
Les ruptures me vont trop bien, j’présume.


(Couplet 2)
Le temps s’est figé, j’ai perdu mon nom,
Mes selfies savent mieux qu’ma raison.
J’ai supprimé nos photos, nos crashs,
Mais ton fantôme hante mes drafts. (haha)
J’peux pas t’effacer, j’peux pas fuir,
T’es l’bug préféré d’mon délire.

(Pré-refrain)
Tout est chrome, mais j’crache du rouge,
Tes mots m’reviennent, toujours, toujours.
Plaisir doux, douleur 4K,
T’aimais l’drame, pas moi, c’est ça.

(Refrain)
Me promets pas l’amour, promets-moi du drame,
T’es chaos en Prada, j’pleure du Dior, calme.
J’serai ta muse si tu joues la lune, (woo)
Les ruptures me vont trop bien, j’présume.
J’serai ta muse si tu joues la lune.
Les ruptures me vont trop bien, j’présume.

(Verse 3)
Maintenant j’appelle ton nom dans le bruit,
Les lumières s’éteignent, mais je t’entends la nuit.
J’embrasse le vide comme si c’était toi,
Ton fantôme me suit, m’enlace chaque fois.
Dis-moi que tout ça n’était pas qu’un jeu,
Dis-moi que t’as menti mais pas sur “nous deux”.
Je t’ai donné ma voix, ma peine, ma peau,
Et tu m’as laissé là — belle, et sans un mot.

(b-side)
Quelque chose tourne pas rond,
Je cogite, je plonge dans un trou sans fond

(Refrain)
Me promets pas l’amour, promets-moi du drame,
T’es chaos en Prada, j’pleure du Dior, calme.
J’serai ta muse si tu joues la lune, (woo)
Les ruptures me vont trop bien, j’présume.
J’serai ta muse si tu joues la lune.
J’serai ta muse si tu joues la lune, (woo)

(Bridge)
Ne sois pas cruel, bébé, reste encore un peu,
Je joue à sourire mais je me perds dans tes yeux.
Je t’ai donné mon cœur, tu l’as pris sans le rendre,
Je cours après ton ombre, je veux juste comprendre.
Je me souviens — de nos nuits, de ta voix,
De tes mains qui tremblaient quand tu parlais de moi.
Tu disais que l’amour, c’était fait pour mourir,
Mais moi j’y croyais, j’y croyais pour nous deux, pour rire.

(Refrain)
Me promets pas l’amour, promets-moi du drame,
T’es chaos en Prada, j’pleure du Dior, calme.
J’serai ta muse si tu joues la lune, (woo)
Les ruptures me vont trop bien, j’présume.
J’serai ta muse si tu joues la lune.
Les ruptures me vont trop bien, j’présume.

La lune

(Verse 1)
Motels, weekends, hands on my waist,
Breakfasts, blue eyes, clothes all erased.
Thinkin’ of a moment with taste,
I got somethin’ you seek with haste.
(Yeah, yeah)
Fuckin’, screamin’, deep down on it,
I’m ridin’ it until I can’t no more — it’s lit.
Maybe the desire’s covered by the thrill,
'Cause I know I should be fallin’ to the shore.

(Chorus)
The way you kiss me,
Bam in my body, yeah, it moves me.
'Cause I’ve always known that it’s
Always gon’ stay the same, uh-uh-uh.
Always gon’ be a relation where you are too ashamed.
Don’t insult me,
And keep me here like I agree.
'Cause I’ve always known that it’s
Always gon’ stay the same, uh-uh-uh.
Always gon’ be a relation where you are too ashamed.

(Verse 2)
You just wait for the day I’m gone,
To go find someone that you can cheat on.
Somehow, we’re still there —
My skirt on the heels of your face again, yeah.
I get obsessive with you,
All that I want is just to feel you.
Ruin all my life and break all my pride, it’s true.

(Chorus)
The way you kiss me,
Bam in my body, yeah, it moves me.
'Cause I’ve always known that it’s
Always gon’ stay the same, uh-uh-uh.
Always gon’ be a relation where you are too ashamed.
Don’t insult me,
And keep me here like I agree.
'Cause I’ve always known that it’s
Always gon’ stay the same, uh-uh-uh.
Always gon’ be a relation where you are too ashamed.

(Outro)
Should fall to the shore,
Should fall to the shore,
Should be fallin’ to the shore.
The way you kiss me.
Should fall to the shore,
Should fall to the shore,
Should be fallin’ to the shore.
(Oh) Should fall, fall,
Should fall to the shore.
The way you kiss me.
(Should fall to the shore.)
Should fall, fall,
Fall to the shore.
Should be fallin’ to the shore.
The way you kiss me (Huh, huh).

Fallin' to the shore

(Intro)
On dîne au resto, sexto, étoiles Michelin.
On dîne au dîner, sexto.

(Couplet 1)
J’te souhaite pas du bien,
J’espère que tout s’éteint.
Et bébé, en enfer tu seras pas bien.
C'est d'un ennuie de penser a toi, j’ai mieux a faire.
J’espère que tu pleures chaque nuit,
Je te laisse savoir que tout le monde te veut mort
Crois-moi, tu n'as jamais était fort.

(Pré-Refrain)
C’est fou comment t’as chuté,
Du parfait au néant complet.
Bientôt tu vas te rabaisser,
Parce que tout l’monde sait que t’es qu’un raté.

(Refrain)
T’avais raison —
Ouais, j’te haïssais quand tu parlais.
Et juste quand j’crois que je sais,
Comment t’faire taire, tu oublies pourquoi tu pleurais.
T’avais raison —
T’as tout gâché, bébé, c’est clair.
Et juste quand j’crois que je peux,
Aimer sans toi, j’oublie comment pleurer.
J’avais si mal à tes côtés.

(Post-Refrain)
(On dîne au resto, sexto, étoiles Michelin.)
(On dîne au resto, sexto, Michelin.)

(Couplet 2)
Les choses que tu ne diras jamais
On sait tous les deux que tu n'etais pas pret
Et maintenant j’pense,
Tu m'as jamais demandé comment j'allais ces nuits ou tu me laissé tomber
Tu m'as jamais demandé pourquoi je pleurait, connard, je prie pour que tu le comprenne
T’u pouvais pas me donner de l'amour — va manger ton cœur complexe.
Maintenant j’écris...

(Refrain)
T’avais raison —
Ouais, j’te haïssais quand tu parlais.
Et juste quand j’crois que je sais,
Comment t’faire taire, tu oublies pourquoi tu pleurais.
T’avais raison —
T’as tout gâché, bébé, c’est clair.
Et juste quand j’crois que je peux,
Aimer sans toi, j’oublie comment pleurer.
J’avais si mal à tes côtés.

(Outro)
(Resto, sexto, étoiles Michelin.)
(On dîne au resto, sexto, étoiles Michelin.)
(On dîne au—)

Resto sexto

(Couplet 1)
Labyrinthe de Mai, toits flous,
J'imagine que j’peux marcher seule dans ce trou,
Lit glacé, grenouilles de printemps,
T’es encore coincé dans ton monologue glaçant,
Elle est cool, tu le montres,
J’suis pas triste, j’étais prête à l’avance.
Tu souffles sur la flamme, purée,
Tu m’as laissée dans les cendres,  priant que je m'efface en meme temps qu'elles.

(Pré-refrain)
Si tu l’aimes autant qu’ça,
Pourquoi tu penses encore à moi ?
Si elle t’fait rire, dis-moi,
Pourquoi tu racontes toujours mes blagues ? (Ooh)

(Refrain)
Est-ce qu’elle sent les fleurs, bébé ?
Elle te touche là où t’aimes, hein, bébé ?
Ses petits câlins te rendent fou ?
T’es vraiment à fond sur elle si tu penses encore à nous ?
Est-ce qu’elle danse comme moi, chéri?
Tu m’écris encore, même quand elle est là.
J’vais pas mentir, j’te veux encore, c’est ironique.
J’sais qu’tu m’oublieras jamais, mais j’espère que t’avanceras.

(Couplet 2)
Pourquoi t’es toujours le meilleur ? Essayé de comprendre me donne des sueurs.
Faut que je me bourre entouré de mecs. (bourrer, entouré)
Je fais genre j’m’en fous, mais t’occupes encore mes pensées.
Si j’dois être honnête, t’as su m’aveugler.
Quand j’te regarde, je vois que t'es qualités
Même si je sais que t'es défauts nous ont coulés.

(Pré-refrain)
Si j’pense plus à toi,
Pourquoi j’meurs d’envie d’me sentir vivante ? (Oh)
Tu m’envoies mes chansons préférées,
Tu sais bien, j’confesse en musique. (Ooh)

(Refrain)
Est-ce qu’elle sent les fleurs, bébé ?
Elle te touche là où t’aimes, hein, bébé ?
Ses petits câlins te rendent fou ?
T’es vraiment à fond sur elle si tu penses encore à nous ?
Est-ce qu’elle danse comme moi, honey ?
Tu m’écris encore, même quand elle est là.
J’vais pas mentir, j’te veux encore, c’est ironique.
J’sais qu’tu m’oublieras jamais, mais j’espère que t’avanceras.

(Pont)
Putain, j’pleure, enfermée dans la salle de bain.
Putain, j’crois que j’suis déjà passée par là.
Putain, j’hais d’encore t’aimer.
J’hais d’encore t’aimer, putain.
Putain, t’as dit “Elle n’a pas ton sourire.”
T’as dit “Tes yeux étaient plus verts.”
Putain, j’t’aime encore.
J’t’aime encore.

Labyrinthe de Mai

Refrain)
Club Crazy Bitches out, kiss the men (Be wet)
Club Crazy Bitches out, kiss the men (Be wet)
Lapdances, showin’ tits on Pitbull (Show the tits)
Lapdances, shakin’ tits on Pitbull (Shake that ass)
Club Crazy Bitches out, kiss the men (Be wet)
Club Crazy Bitches out, kiss the men (Be wet)
Lapdances, showin’ tits on Pitbull (Show the tits)
Lapdances, shakin’ tits on Pitbull (Shake that ass)

(Verse 1)
Tanlines where my bikini stands,
Midnight bath, hear the birds wake up.
French girl, arrogant — nails touch,
Got a French on my kiss, lips all wet (Wow).
Dance for the breakup (Wow).
Bad boys, bend me and meet your goddess (Wow).
I can be bad too, I can handle ya (Wow).
Show me your abs in the bathroom, hmmm (Wow).

(Chorus)
French Riviera, partyin’.
Head out the sunroof, girls are dancin’ (Oh).
Back to kissin’ —
You know how to give, you love showin’ me (Oh).
God forbid a young girl (Wow),
Partyin’ like there’s no tomorrow (Wow).
Partyin’ ’cause I don’t see him as a bro (Wow).
Twerk on him, wanna ruin our friendship, oh (Wow).

(Interlude)
(French kiss)
Crazy bitches, XOXO (Uh).

(Verse 2)
Born and raised by the sun and the sand (Yes).
Men gone on me ever since I’m eighteen (Hella pervert).
Walkin’ on La Croisette, boys out by the windows (La Croisette).
Hair long like the Eiffel Tower.
I’m young and I use it to get what I want.
I’m the girl you’re jealous of, can’t blame you (Can’t, can’t).
Gettin’ that bag at the strip club.
Desperate men are my favorites,
’Cause they give me that paper (Paper).
Let me give you a show, bounce my ass on it (Facts).

(Refrain)
Club Crazy Bitches out, kiss the men (Kiss the men).
Club Crazy Bitches out, kiss the men (Get that paper).
Club Crazy Bitches out, kiss the men (Kiss the men).
Club Crazy Bitches out, kiss the men (Get that paper).
Lapdances, showin’ tits on Pitbull (Be wet).
Lapdances, shakin’ tits on Pitbull (Shake that ass).
Wine on ’em, lick up, down, left, right — fuck ’em up (Ooh).
Dick game hard, suck it girls, pick it up (Ooh).
Prada bags flyin’, real bitch buy ’em up (Get tha’ bag).
Red hearts poppin’, balloons, ass fat, suck it up (Hey!).

(Bridge)
Club French Girls get it poppin’ (Poppin’).
S and the baddies hoppin’.
S and the baddies out shoppin’.
Club French Girls get it poppin’ (Poppin’).
Got a high-rise view on Antibes.
Baby, we could party out in Antibes (Ooh).
Off all my clothes when he’s callin’ (Ooh).
Club French Girls on Antibes.

(Chorus)
French Riviera, partyin’.
Head out the sunroof, girls are dancin’.
Back to kissin’ (Wow).
You know how to give, you love showin’.
I could die for the feelin’ (Wow).
Body so tight, waist so skinny (Wow).
I can’t feel the ceilin’ (Wow).
Orange skies, I’m never leavin’ (Wow).

(Outro)
Ooh,
Ooh,
Ooh,
Ooh.

Riviera girls

Bleu plastique

(Verse 1)
I remember a time when I was loved,
Now I can’t define love — can’t even love myself enough.
I know people around me have lost their faith in me,
I know I’ve made bad choices, I can’t disagree.
But is it my fault? I’m not the one who broke it all apart.
And now I’m wondering what I’m even worth for —
Surprises me to think it might’ve been better if I’d never been born before.

(Pre-Chorus)
Writing’s all I found to try and heal myself,
’Cause I can’t forgive or make peace with my past self.
’Cause I don’t have the strength to keep holding on,
Feels like all my light’s already gone.

(Chorus)
If you want to see me one last time — do it now,
I think I’m almost done — I’m praying somehow.
Joy and happiness, they’re words I don’t know,
Dreams that I can’t reach, lights that won’t glow.
Things I don’t think I’m even worth for,
Things I don’t even remember anymore.

(Verse 2)
I made myself a promise, one I may not keep,
But please, understand — you gave your best, don’t weep.
People tore you down, cut you into pieces, left you behind,
Yet you still found the strength to seek the good in humankind.
You tried to forgive, you tried to forget —
But don’t blame yourself for the pain you still get.
I told myself to heal, but maybe that’s too tall,
There was a time I’d whisper “stop crying” — now tears are what make me stand at all.

(Post-Chorus)
’Cause I think…
I stopped living long ago.

(Chorus)
If you want to see me one last time — do it now,
I think I’m almost done — I’m praying somehow.
Joy and happiness, they’re words I don’t know,
Dreams that I can’t reach, lights that won’t glow.
Things I don’t think I’m even worth for,
Things I don’t even remember anymore.

(Outro)
I remember a time when I was loved,
Now I can’t define love — can’t even love myself enough.
(I remember a time when I was loved...)
(Now I can’t define love — can’t even love myself enough...)
I made myself a promise, one I can’t fulfill, I’m sorry —
But please understand, you did your best, truly.

Letter to myself

(Intro)
Hmmm yeah... yeah

(Verse 1)
I’m trying things I never did I’m impressed.
Even if I’m scared of going outside, I confess.
Every time someone hates me, I feel less,
Less capable of being my authentic self.
Sometimes they laugh when I say, “I don’t feel so great.”
I may seem okay, I guess I’m okay.
Sometimes I laugh when they say, “Why aren’t you great?”
I don’t have the answer maybe it’s just a fright.
My head’s a ballroom,
My thoughts aren’t mine, they spin in every room, hmm.
Everything goes so fast, I feel left out in this chaos, hmm.

(Pre-Chorus)
I just need a new start, to screw everything straight.
Need people to hold me tight, to tell me I’m great.
I don’t need empty promises — I’m better on my own.
Don’t give me false hope, help me or leave me alone.

(Chorus)
Still eighteen no plans, no love, no thoughts.
Still eighteen crying alone while they laugh.
Left my hometown, cross my fingers it goes well.
Got memories that fade and come with the wind.
Still eighteen no dreams, no friends, no faith.
Still eighteen haunted by the wraith.
Got memories that fade and come with the wind.


(Verse 2)
I don’t wanna feel desperate,
But damn, I’m exhausted from being separate.
Give me a hand I need a savior.
I’ll give you everything if you’ll be my lifesaver.

(Pre-Chorus)
I just need a new start (uh-huh), to screw everything straight.
Need people to hold me tight, tell me I’m great.
I don’t need empty promises — I’m better on my own.
Don’t give me false hope, help me or leave me alone.

(Chorus)
Still eighteen no plans, no love, no thoughts.
Still eighteen crying alone while they laugh.
Left my hometown, cross my fingers it goes well.
Got memories that fade and come with the wind.
Still eighteen no dreams, no friends, no faith.
Still eighteen haunted by the wraith.
Got memories that fade and come with the wind.

(Outro)
Oh, oh.
Got memories that fade and come with the wind.
No, oh...
Oh...

Still eighteen

(Intro)
Hmmm... ouais... ouais...

(Couplet 1)
J’essaye des choses que j’ai jamais fait, j’suis surprise.
Même si j’ai peur de sortir, de faire une crise.
À chaque fois qu’on m’déteste, j’me sens moins,
Moins capable d’être moi, moins bien, moins loin.
Parfois ils rient quand j’dis : « J’me sens pas très bien. »
J’dis que j’vais bien, j'imagine que je vais bien.
Parfois j’ris quand ils disent : « Pourquoi tu vas pas bien ? »
J’ai pas la réponse, peut-être juste un chagrin.
Ma tête est un bal,
Mes pensées valsent, se perdent, c’est infernal, hmm.
Tout va trop vite, j’me sens larguée dans ce carnaval, hmm.

(Pré-Refrain)
J’ai juste besoin d’un départ, ranger tout ce bazar.
Besoin qu’on me fasse un calin, qu’on me dise que je suis rare.
J’veux pas de promesses vide, m'offre pas quelque chose de faux.
Me donne pas d’faux espoirs, aide-moi ou pars, j'me sens de trop.

(Refrain)
Toujours dix-huit, sans plan, sans cœur, sans voix.
Toujours dix-huit, j’pleure seule quand ils rient de moi.
J’ai quitté ma ville, j’croise les doigts pour qu’ça aille.
Des souvenirs s’en vont, reviennent quand souffle le vent.
Toujours dix-huit, sans rêve, sans foi, sans trêve.
Toujours dix-huit, hantée par l’ombre qui m’achève.
Des souvenirs s’en vont, reviennent quand souffle le vent.

(Couplet 2)
J’veux pas avoir l’air désespérée,
Mais purée, j’suis crevée d’me sentir isolée.
Tends-moi la main, j’ai besoin d’un sauveur.
J’te donne tout c’que j’ai, si tu m’fais voir la lueur.

(Pré-Refrain)
J’ai juste besoin d’un départ, ranger tout ce bazar.
Besoin qu’on me fasse un calin, qu’on me dise que je suis rare.
J’veux pas de promesses vide, m'offre pas quelque chose de faux.
Me donne pas d’faux espoirs, aide-moi ou pars, j'me sens de trop.

(Refrain)
Toujours dix-huit, sans plan, sans cœur, sans voix.
Toujours dix-huit, j’pleure seule quand ils rient de moi.
J’ai quitté ma ville, j’croise les doigts pour qu’ça aille.
Des souvenirs s’en vont, reviennent quand souffle le vent.
Toujours dix-huit, sans rêve, sans foi, sans trêve.
Toujours dix-huit, hantée par l’ombre qui m’achève.
Des souvenirs s’en vont, reviennent quand souffle le vent.

(Outro)
Oh, oh.
Des souvenirs s’en vont, reviennent quand souffle le vent.
Non, oh...
Oh...

Toujours 18

(Verse 1)
You said I was the best of all time,
The one you’d never lose, the one in your rhyme.
The one you’d never hurt or make cry —
So why are we sitting here, asking why?
With only sadness and regrets in the air,
I don’t blame you for being what you are, I swear.
I blame your father, I blame your anger,
I could blame your mother too — her silence fuel the fire.
At the end, it was never the solution,
We’ll grow apart, that’s our conclusion.
I can only wish you well — no pretention

(Pre-Chorus)
Ooh... ooh... what have you done?
Oh hmm... ooh... ooh...

(Chorus)
I cried so much, I’m dehydrated,
Thinking 'bout the times we created.
When your hands were in your pockets, tight.
I cried so much, I lost my sight.
I almost died at fifteen with vodka,
It wasn’t curiosity — it was trauma.

(Verse 2)
Sitting by the window, sun rays warm my sadness,
Everything’s still blue — even in gladness.
It’s like I can’t see colours anymore,
My world’s in grayscale, locked door to door.
I can blame my dad for painting me white and black,
I can blame my mom for leaving with her rainbow-packed sack,
But the one I blame is me —
For not stepping out, for not setting me free.
At the end, anger’s never the solution,
I’ll grow far — my quiet evolution.
I can only wish you well, that’s my conclusion.

(Pre-Chorus)
My tears taste like salt,
Ooh... ooh... I could fill a glass of fault.
But hmm... ooh...
It’ll never solve what I’ve been through.

(Chorus)
I cried so much, I’m dehydrated,
Thinking 'bout the times we created.
When your hands were in your pockets tight,
I cried so much, I lost my sight.
I almost died at fifteen with vodka,
It wasn’t curiosity — it was trauma.
I cried so much, I don’t know...
I wish I could forget the good old times.
So the only memories I’d keep of you...
Are the ones where you raised your hands, it's blue.

(Outro)
The ones where you raised your hands...
The shadows of your anger over my land.
The cries of my sister haunt my mind,
The things you said — you never were kind.
Hmmm... hmmm...
I’ll let this out, and move on.
Hmm... hmm...

B.O.A.T

(Couplet 1)
Tu disais que j’étais la meilleure, ton éternelle,
Celle qu’tu perdrais jamais, ta fleur, ton soleil.
Celle qu’tu blesserais pas, qu’tu ferais jamais pleurer —
Alors pourquoi on est là, à s’regarder douter ?
Y’a que du vide, des regrets dans l’air,
J’te blâme pas d’être ce que t’es, j’suis sincère.
Je blâme ton père, je blâme ta rage,
J’pourrais blâmer ta mère aussi — son silence a rempli le carnage.
Mais au fond, c’était jamais la solution,
On s’éloigne, c’est juste la conclusion.
Alors j’te souhaite le meilleur — sans prétention.

(Pré-Refrain)
Ooh... ooh... qu’est-ce que t’as fait ?
Oh hmm... ooh... ooh...

(Refrain)
J’ai tellement pleuré, j’suis déshydratée,
À penser à nos jours ensoleillé
Quand tes mains restaient dans tes poches serrées.
J’ai tellement pleuré, j’ai perdu la clarté.
J’ai failli mourir à quinze ans, noyée dans la vodka,
C’était pas la curiosité — c’était les traumas.

(Couplet 2)
Assise à la fenêtre, le soleil chauffe ma tristesse,
Tout reste bleu, même dans la tendresse.
J’vois plus les couleurs, mon monde s’efface,
Tout est gris, tout s’enferme, tout s’enlace,
J’peux blâmer mon père pour m'avoir peint noir et blanc,
J’peux blâmer ma mère pour avoir fui avec les couleurs
Mais celle que j’blâme vraiment, c’est moi,
Pour pas m’être levée, pour pas avoir eu foi.
Au fond, la colère c’est pas la solution,
Je pars loin — c’est ma révolution.
Et j’te souhaite le meilleur, c’est ma conclusion.

(Pré-Refrain)
Mes larmes goûtent le sel,
Ooh... ooh... j’pourrais remplir un verre cruel.
Mais hmm... ooh...
Ça n’guérit pas c’que j’ai dans la peau.

(Refrain)
J’ai tellement pleuré, j’suis déshydratée,
À penser à nos jours ensoleillé
Quand tes mains restaient dans tes poches serrées.
J’ai tellement pleuré, j’ai perdu la clarté.
J’ai failli mourir à quinze ans, noyée dans la vodka,
C’était pas la curiosité — c’était les traumas.
J’ai tellement pleuré, j’sais plus...
J’aimerais oublier nos beaux jours d’avant.
Comme ça, les seuls souvenirs de toi..
Seraient ceux où tu devenais violent.

(Outro)
Ceux où tu levais la main...
L’ombre de ta colère plane sur mon chemin.
Les cris d’ma sœur hantent ma tête,
Les mots qu’t’as dits — t’as jamais fait la paix.
Hmm... hmm...
J’vais tout laisser sortir, puis m’en aller.
Hmm... hmm...

Fallin' to the shore

Tsuza

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