En Abitibi, la communauté algonquine de Lac-Simon s’affaire à diversifier son économie et à s’adapter aux changements climatiques en misant sur la culture de champignons en forêt.

Pour le myciculteur Renaud Longrée, favoriser les ectomycorhiziens, ces champignons que l’on retrouve dans les sous-bois parce qu’ils forment une symbiose avec les arbres ou les arbustes, permet à la forêt d’être plus résiliente aux sécheresses et aux différents écarts de température, phénomènes plus fréquents avec les changements climatiques.

Pour une forêt plus résiliente face aux changements climatiques - Renaud Longrée

Cheminer dans le monde professionnel est rarement simple pour les personnes vivant avec un trouble de santé mentale comme la schizophrénie : incompréhension de l’employeur, manque de confiance en soi, perte d’emploi. Et si en les aidant, il devenait aussi possible d’agir concrètement sur les changements climatiques? C’est le pari que fait l’Hôpital Pierre-Boucher, à Longueuil. Rencontre avec Émile Mbaba-Miloudi, un homme qui prend son travail à cœur.

Rencontre avec Émile Mbaba-Miloudi, un homme qui prend son travail à cœur

John-Alex Ottawa et Maikaniss Vollant Niquay, deux élèves de l'école secondaire Otapi, de Manawan, font part de leurs impressions après avoir répondu à un sondage sur les impacts potentiels de 10 conséquences des changements climatiques.

Des élèves de la communauté de Manawan échangent sur les répercussions des changements climatiques

L’accès aux sources traditionnelles d’alimentation et de médicaments est le souci principal des Atikamekw dans le contexte des changements climatiques.

Le peuple atikamekw préoccupé par les changements climatiques - René Ottawa

Avec la multiplication des cercles de discussion, comme celui tenu à l’école Otapi, les trois communautés atikamekw devraient être mieux à même de choisir les meilleurs projets d’action et d’adaptation face aux changements climatiques, croit René Ottawa.

Une prise de conscience nécessaire - René Ottawa

Que ce soit par les voyages, les films, les études supérieures ou la politique, Sipi Flamand carbure à un seul but : défendre sa nation et la survie de son territoire ancestral, le Nitaskinan.

L'éducation Populaire - Sipi Flamand

Que ce soit par les voyages, les films, les études supérieures ou la politique, Sipi Flamand carbure à un seul but : défendre sa nation et la survie de son territoire ancestral, le Nitaskinan. Unpointcinq s’est intéressé au parcours éloquent du vice-chef de la communauté atikamekw de Manawan.

Une préoccupation Passive - Sipi Flamand

Clémence Lalloz, 38 ans a co-fondé le média d’action climatique Unpointcinq. Elle n’a pourtant pas grandi dans un milieu qui l’a sensibilisée à l’environnement. D’où lui vient cette préoccupation? Dans cet épisode d’Échos, elle raconte le déclic qui a changé sa vie.  

Enfant introvertie, Clémence se souvient chercher le calme en nature pour se ressourcer. Mais au-delà de ça, rien ne la prédisposait à mettre l’environnement au cœur de ses choix personnels et professionnels. Diplômée en marketing, elle quitte la France pour le Québec où la projection d’un documentaire insufflera un vent de changement dans sa vie.

[ÉPISODE 5] Clémence : la connexion à la nature comme moteur

Vincent Wilson, 46 ans a travaillé longtemps comme réalisateur à la télévision et en publicité, avant de tout lâcher pour devenir entrepreneur en économie circulaire. Qu’est-ce qui a motivé ce virage? Dans cet épisode d’Échos, il relate le chemin parcouru. 

Plongée sous-marine, photographie, voyages…Vincent Wilson carbure aux projets. Le dernier en date est ambitieux : réduire l’impact des déchets textiles sur l’environnement. Pourquoi a-t-il laissé de côté une carrière florissante en réalisation pour se lancer dans un projet entrepreneurial risqué?

[ÉPISODE 4] Vincent: changement de cap et prise de risque

Ingénieure dans une firme de génie conseil et mère de trois enfants, Manuelle Croft, 44 ans, a développé une méthodologie pour minimiser les impacts environnementaux et climatiques de projets d’infrastructures. Elle raconte comment sa préoccupation pour l’environnement a jalonné sa vie. 

Enfant curieuse, avide de comprendre le monde qui l’entoure, Manuelle Croft grandit sur la Côte-Nord. Elle ne comprendra que bien plus tard que l’industrie minière qui donne du travail à de nombreux habitants de sa région a des impacts sur l’environnement. C’est par intérêt pour les sciences qu’elle se dirige vers des études en génie, puis en réalisant ensuite que son travail contribue à l’efficacité énergétique des bâtiments, elle s’engage dans la mise en place de pratiques qui intègrent le développement durable.

[ÉPISODE 2] Manuelle : sciences, génie et engagement

Coach de joie, Karine Cloutier 46 ans considère l’environnement comme un engagement social et culturel. De son enfance à Thetford Mines à ses voyages en Afrique, en passant par les défis zéro déchet, elle raconte son parcours singulier. 

« C’est pas sexy de ramasser les déchets, » lance Karine Cloutier. Et pourtant, elle est impliquée dans l’organisation Mission 1000 tonnes depuis plus de cinq ans. Cet engagement concret l’aide à apaiser son écoanxiété. Mais cette envie de prendre soin de l’environnement remonte à bien plus loin: elle a pris vie aux côtés de son grand-père, un pionnier du recyclage dans sa communauté.

[ÉPISODE 3] Karine : son grand-père lui disait

Jérémy Hamel, un père de famille de 36 ans d’Hochelaga-Maisonneuve raconte le cheminement qui l’a mené à placer l’environnement au cœur de ses choix de vie. 

« Le Jérémy de 16 ans aurait peut-être un choc à voir le Jérémy de 36 ans », plaisante l’architecte paysager. En 20 ans, il a opéré de nombreux changements pour limiter son impact sur le climat. Il explique ce qui a guidé ses choix.

[ÉPISODE 1] Jérémy: adieu la motocross, bonjour l’architecture de paysage

Charge mentale, vulnérabilité économique : les femmes sont les plus touchées par les impacts des changements climatiques. Paradoxalement, cela les positionne également au cœur de la solution.

Charge mentale et gaz à effet de serre (made with Spreaker)

Si la présence de plus de femmes dans les sphères décisionnelles avait un effet positif sur la lutte contre les changements climatiques ?

La politique du genre (made with Spreaker)

Déménagements forcés, freins aux pratiques économiques : très touchées par les changements climatiques, les femmes autochtones détiennent aussi des connaissances traditionnelles précieuses pour s’adapter et lutter. Comment s’en inspirer?

Unpointcinq

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