Une ambiance mystérieuse qui laisse place à une envolée optimiste et victorieuse jusqu'au climax final.

Triumph

Battle Formations

L'orgue et les cloches renvoient aux églises, où Dies irae était chanté dans des requiems, messes des morts. 
Dies irae (jour de colère en latin) est un très vieux chant grégorien, repris maintes fois en musique classique, musique de films ou chansons. Après Mozart, Berlioz, Verdi et d'autres, il était temps que je propose ma version...
"Jour de Colère", alors puissance, violence, intensité. Les différentes mélodies du chant originel sont reprises, enrichies, entremêlées, le contrepoint obtenu nous donne un sentiment de submersion, d'être dépassé, attaqué de toute part. Pour finir sur une note plus paisible, pour partir en paix... Amen.

Jour de Colère

Trois parties, un triptyque, une trinité. Une passionnée, une plus grave et austère, et une conclusion réconfortante et porteuse d'espoir.
Ce que je joue sur un clavier électronique est enregistré directement sur un logiciel, pas ma faute si ma sonorité piano fait synthétique, mais je préfère largement jouer que bidouiller sur un logiciel de montage. Je suis musicien, pas ingénieur du son.

Trinity

j'avais pas le temps d'enregistrer du coup first try pas le choix

Maquette Polysound

Mon chef-d'œuvre. Non je n'hésite pas à le dire car c'est le morceau le plus long, le plus riche, le plus diversifié et le plus complexe qu'il m'ait été donné de créer.
Malgré le côté expérimental et répétitif, il fait passer par plusieurs émotions, différentes intensités, et présente divers procédés et techniques (si ce n'est tous) que j'utilise pour composer ma musique. Cela donne un côté encyclopédique, à l'image de "Music in twelve parts" de Philip Glass.
Ça ne devait pas être aussi long à la base mais lorsque ça commençait à faire long, j'ai fait le choix de ne pas me brider et de continuer tant que l'inspiration me poussait à suivre un cheminement cohérent.
Un piano électronique répétant des courts motifs évoluant avec le temps sert de support au reste des instruments, qui nous emmènent dans toutes sortes d'ambiance, nous racontent une histoire, un voyage électronique, acoustique, orchestral. Tantôt dansant, tantôt expérimental, tantôt spatial.

Evolution

33 222

Il y a bien longtemps, dans une réalité lointaine... une époque où j'avais composé trois morceaux courts dans une même ambiance spatiale et grandiose, avec du matériel de moindre qualité.
Aujourd'hui j'ai repris entièrement ces morceaux, dont le premier avait carrément été perdu dans les méandres numériques d'un disque dur cassé, c'est pourquoi la première partie actuelle a été spécialement composée pour introduire les deux autres et présenter l'ensemble aujourd'hui. C'est pourquoi vous retrouverez des éléments instrumentaux, structurels de la première partie dans les deux autres, formant un tout lié et cohérent. 
L'ensemble retranscrit l'immensité de l'espace, son grandiose et son inhospitalité, son mystère, mais aussi l'aventure, la passion et l'accomplissement. 
Et oui j'ai vu Interstellar.

Space Odyssey (mvt 1,2,3)

Bouncing, ou "rebondissant". Chaque phrase musicale est constituée d'un motif de percussions répété trois fois, et de motifs musicaux plus courts répétés quant à eux quatre fois, ce qui crée un sentiment de rebond,  de décalage synchronisé, de désordre organisé.

Bouncing

Une rythme de percussions plutôt simple et lent, avec une guitare basse qui donne la pulsation, comme un cœur, puis d'autres éléments finissent par arriver pour habiller les percussions. Après quelques instants de tension, les percussions s'absentent brièvement pour revenir avec une guitare qui donne une ambiance "cool et stylée" (d'après un magazine musical que je viens d'inventer). Un orgue vient annoncer un rappel à l'ordre et une transition vers un final intense et entrainant, relatant une certaine gravité. Tout ceci, à l'instar de Maverick premier du nom,  serait parfait à écouter au volant d'une voiture de sport à réacteur dans l'espace.

Maverick 2

Musique électro, orchestrale, expérimentale... 
Par le Hans Zimmer de Wish,
Le Philip Glass de Primark,
Le Kraftwerk de Lidl.

Bouncing

TheLambdaMan

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